SIGNALETIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
Ce sont des après-midi de brume et de civilisation dans le bruit blanc de la ville magnifique bien et mal.Le bord d'un siècle débrouillé après le coucher du soleil,et ces rues bleues-vert,qui inventent la nature,près du manoir de Zschtaghilutzwa,lieu mystérieux,évanescent,dont personne ne semble approcher,sauf seize fantômes,tourmentés par la définition et la rive,dont deux filles Schtriydura et Narya.Les beaux jeunes gens difficiles chargés du Mal,les plus las de la liberté.Les solitaires des parkings sous la pluie inférieure,de son signe confus,qui est un démon,qu'ils prétendent insister là,pour une action, et une descendance pure d'exception et pure d'hérédité.Tous,pensent la qualité gardienne et conservatrice,de révolter.Et ne se consolent pas d'etre en présence.
Cet égard à prendre société qui vaille naitre...à une incroyable déclaration de certitude double le Poème,et dure ou s'avance en une seule nuit.
Le poids d'un pratique,c'est à dire d'un homme libre és-qualités d'un homme puissant principal,et l'addition interne d' un esclave.Les hommes sûrement libres et intentés en liberté.Un feu de chandelles sur la ville flottante, et la rue identique.
Ne sont jamais opposés un esclave,qui n'a pas de maitrise,et dont le premier problème est de se soumettre à la liberté,et un maître.
La promesse de l'obscurité...
D'où le Mal contracté en cette nuit de la rive bleue-noir,un ALPHABET savant,sophistiqué,raffiné,élégant, en "guisarme",racé,unique en Méditerranée,et trés simple à utilliser.Il attribue seul l'unification linguistique,chacun,en étant muni,pouvant de ce fait,garder et traduire immédiatement,c'est à dire dès l'identification (pour tous) de la lettre à son juger,la marque propre de son quartier,faubourg,pays,port et cité.
Le lecteur (ou le jeune homme à la dix-septiéme porcelaine),conscient de la défaillance alphabétique,en est donc alors,de faire,désigné comme l'auteur,à la beauté certaine...
SIGNALETIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
SIGNALETIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
Auteur: SANTA (MOLINELLI)
Titre :LA PRATIQUE...et Autres Rythmes pout un grand oiseau scandé,
bleu noir aux yeux topazes
Santa Molinelli " Presses du Centre Littéraire d Impression Provençal "
Marseille
Dépôt légal: 4ème trimestre 2009
ISBN 978-2-9535058-0-1
N° d impression 091 10 559
FORMAT A4 396 PAGES
PRIX 16 EUROS + 7 EUROS DE FRAIS DE PORT
"Tout cela d un cortège incontestable et d un brouhaha de bougies ou d une phrase intense pour des hommes surprenants occupés à une quantité de silence assez souvent.La nuit.Et d un ALPHABET ne pratiquant qu une résonance qui garde,et distingue longtemps.
Puis chacun,de cette faveur exceptionnelle,tînt sa lampe".
L OISEAU ITALIEN, LES YEUX DESEMBRUMES UNE DEUXIEME FOIS , SUR ... CE SOIR DE NOTES ET DE DOUCHE D HIVER , UN BRIQUET EN NACRES , A LA MAIN GAUCHE
Sa fabuleuse imagination le faisait suivre dans une rue, mystérieuse avec esclandre.
Déjà, le quotidien "La Nuova" , le 4 mars, avait noté :
" Quest'uccello (si sà dir "morsicatrice ") si sposta come il bel ragazzo del cattivo augurio sulla frasca, d una rabbiosa lumiera , al via in bestia , bluastra-pazza. E' un fatto esatto,estremo e maraviglioso che nella nostra città,l'uccello sia , diventato un pericolo e l'agressiono per la vita, sconfinata ,indicata da alcuni...testimoni , ma , stata notata da nessuno , dei giornalisti stupendi , e dolci , quanto mai.
Pur troppo - invita la note delle forze dell'ordine alla prudenza con , iniziative urgenti e l'intervento , dei veterinari , per evitare , gli estremismi dei passegiatori contro l'uccello , dopo sul vicendo d ' un questuante ucciso.
IL FENOMENO E STRANO ."
Firmato : Denis Artiolus (per Roma ,domenica , 4 Marzo 2012 )
L'aricle , titré :
"RANDAGI , allarme delle squadre mobile, navale ed aerea " , et souscrit :
"Appello arrivato , dagli urbani "
faisait , la une.
Moi même, depuis cela , les vitres désordonnées de ma chambre bleuie , en avalanches de verre pluvieux , à l'étage , donnant... , sur des inquisiteurs de matin , qui extravaguaient et hantaient les femmes du room-service vêtues de drap pâle et d'un peigne , de l'hôtel l'Ancora , oui tombaient comme des ossements , et des gouttes de neige et de bruit , sur les parapluies en cristal , ou nylon plastifié , des inconnues et, des anglais à la boucle d'oreille bleue , chargés... , à leur nuque , de lys en scotch transparent et feuilles synthétiques apeurées , par brumes , sur les mèches de leurs cheveux , et leur conscience , irréparable que j'aimais bien , moi même... , le sens définitif , par la provocation de leur commentaire à la réception , j'avais remarqué , un groupe de bel ragazzi incompréhensibles , faits pour être invisibles , et ... peut-être sans vie , comme le journaliste ayant signé , l'article que je venais de lire à la lueur clignotante de la croix grecque , verte-phosphorescente , d'un caffè-bar près de la pharmacie mais , exactement lacéré d'or et de spots la nuit , et le jour que j'aimais bien aussi.
C'était une étrangeté.
Voici une horlogerie immédiate.
A chaque rectangle de maisons blanches , de retour à l'hôtel , je constatais malgré moi , que la population , sauvage , craignait le pire , et ...qu'elle devînt , enfin quasi maladive , après lecture , des visions excellentes et réelles de l'auteur de ce papier , express , imprimé , puis dès lors , migrant.
De plus,le lendemain , le journal précisait que quelques minutes , après minuit , un tremblement de terre " tra sabato e ieri , al largo della costa occidentale , si era verificato e in quel caso , erano segnalati problemi e danni agli uccelli in questa zona sismica , caratterizzati della emersa di una specie di rabbia nuova , a persone e da l'affluenza animalesca migratoria in correlazione tra di loro."
J'habitais la chambre 122 , une tempête de peinture blanche dans la ville terrestre , puis surtout , la porte-fenêtre , striée de persiennes à faire jour sur un petit balcon blanc aussi , mais parfumé , de règnes de coffres-forts à nuages ou d'étincelles de tringles à linge , et où , je voyais des fleurs pendues comme des solutions de nacres en étoiles , des toits roses , l'enseigne de l'hôtel l'Ancora, et un ciel , noir , mais à faire stupeur aux silhouettes animales égarées ici depuis Londres avec des yeux bleus.
D'après les vétérinaires interrogés par des rêveurs , la contagion débutait , au début..., de la lune et à l'aube , et je m'attendais à un moment d'angoisse , au journal.
Et...sur les échafaudages d'une des places centrales , en travaux déployés , par bâches translucides , à l'initiative d'un poète fantasque qui voulait y entendre l 'hiver , et des violons pour Paganini , et avait confectionné les costumes des musiciens postés là grâcieusement livides comme les vivants.
J'avais des manières pareilles au silence.
Pas de doute , le journaliste était un migrant , et courait les rues , comme s'il avait existé.J'étais oui , probablement seul , à m'en rendre compte , à l'heure où j'écris.
Et le lendemain encore , au lever de la petite lune meurtrière et blanche encore , et étoilée par becs de réverbère , la presse n'avait pu imprimer.
La pluie qui était autrement noirifère et violette pour les oiseaux poignardait les terrasses brutales , les tordaient , de chaînes de corail aux gouttes pourpres sous les tuiles rouge et le nouveau matin incohérent au bord de la grande nuit qui avait duré , hélas , autant que possible , et...qui m'était connue.
Puis , les bel ragazzi qu'il m'avait semblé certains , peu après , parce qu'en compagnie de chanteurs , masques en plumes d'albâtre déchirées par le sel de mer , se ... déplaçaient toujours évidemment , de la via Calabria , rue bleue et bitume , où se trouvait l 'hôtel nuit et jour , à la Spagnola Torre de Longonsardo , tour cicatrisée de flocons de pierres houleuses , mieux éclairées , et piquée , de seringues à poussière-stuc corrosif , par les survivants gris , les absurdes , pendant les naufrages.
J'étais ... destiné , une fois de plus , à leurs perchoirs blessants loin des miroirs , et je savais qu'ils... , cherchaient des cascades de salières , de sabliers en vitre et de réveils-matin dans des quartiers chancelants , et entr'ouvraient les dorures , et les breloques glycine et goudron , des lustres dans les caniveaux , pour leurs yeux , mauves ...dans , la colère.
Je comprenais la situation : c'était ENCORE UNE DERNIERE FOIS , par la désormais sinistre via Roma , qu'ils inquiétaient , et multipliaient leurs agressions ; inquiétantes.
Cette rue cadencée , sur leur trajet plus tard , habituel et introuvable par temps d'incidence , tremblait , et claquait d'épouvante sous les rayons de la pluie bleue et bleue-menthe , pour que dansent les spectres , défendus , contre les appels d'un noctambule , mais qui prenaient le risque , de la pensée quotidienne.
De toutes façons.Sens unique.Douée de pavés-rectangle où n'avaient de velours , ni pizzerie ni trattorie ni caffè ni alberghi ni servizi , insolite , automatiquement grise-perle , et ...caressant. Fragment exceptionnel brut , brusque , déraciné , stupéfiant d'une promenade sans but , hasardeuse , enragée.
D'une divagation.
Dans le crépuscule le plus court.
Attractif et brillant.
Déclenché.
Pour... , Randagi !
C'est là , qu'il commençait à pleuvoir , et que l 'uccello , appelé alors uccello d'Italie , après une succession de joailleries de Bohême à son cou , plutôt distraites , souvent...fugitif , et fluide , gabardines légères fondues à des flanelles ceintrées d'astrakan sombre , errait... , imprévisible , sans faire attention aux hommes , n'ayant plus qu'à décider de la morsure fatale , aux journalistes , débutant à mourir , le chant fade , et les crocs incisifs , ...photographiés , et , aux mendiants de gâteaux.
Enfin le lendemain , Denis Artiolus ajoutait :
"Il latore della presente ipercritica , è ombrato.Il sbarco è nato sul contrattaco del sopra-luogo ,al pare della deambulazione degli uccelli del settore , urbana e d'Urbanità.
Si mostrano bel ragazzi vaganti , con particolar riferimento sicuramente eccelentissimo e del tutto , disastroso , al quasi inesistante , come , il giornalista...dolce ,giovan questuante di dolci , ossesso , andado matto della dolce sera , ed accostato , pur troppo , via Roma ,rabbiosamente ucciso , morso alla testa.
A dare l'allarme sono stati pure i veterinari e dopo , non hanno voluto parlare con nessuno.
L'uccelli , senza esser visti nella sinistra via Roma , passano pochi minuti , gente pericolosa , venuti da dove ?... , preferiscono , i ritmi in fuga ,sprofondati dentro i lastricati color malve dalla luminara-pioggia."
L'uccello.
Je me trouvais debout au bord d'une galerie d'autres réverbères aux becs dorés , et marchais parmi les vitrines exquises en direction du soir soudain , vers la Spagnola Torre dentata de Longonsardo.
Randagi.
Stava piovendo.Lanières étoilées de perles grelottant sur les murs noirs plantés de fenêtres d'or rose et de palmiers.
Un cliquetis de nacres.
La via Roma.Très pâle , aux deux maisons jaune et safran et balcons sous un ciel.
Une lampe âcre , électronique , essence , roccoco.
Je suivais cette ombre extrême.Un gant de laine pastel , à sa main gauche.
Le ciel bleu céleste pulvérisé au sol s'envolait en cris de paradisiers bleus-nuit.
Le ciel éteint.La nuit.Un briquet.
La Spagnola Torre , très bizarre , paraîssait réelle devant moi seulement au relief du soleil , jusqu'au feu , sur un escalier chaotique habité de bourrasques innombrables , et de sable avec ramages , violents et , vrilles , "très caramel égrenées" , laiteuses et ...en flammes , dans la ville où suspendaient les fleurs barbares , pour l'heure qui tardait aux ailes de ses pierres et la chute du midi oui encore tombé , en coraux noirs.
Puis , encore le soir célèbre immaculé de lampes marmorées par le retour , via Lamarmora , à gauche , et , le hall favori et direct de l'hôtel , perdu , où viendront les splendides urbains , les égarés , la boucle bleue ,voir des songes.Des becs de gaz paradisiaques à l'intérieur d'embarcations spectrales laissées brûler , subitement sur l'eau élégante de la ville.
Moi même là , à ma petite chambre , je me douchais et , couronnais , de grelots de savon , torrides , que j'écoutais plus tard , depuis leur pluie géomètrique sur les parois d'un rideau diaphane aux musiques mates , et , la nuit , silencieuse , poursuivait le miroir.
Cela allait ainsi des heures de brume.Une deuxième fois.
Je comprenais... , que le rapport accablant de Denis Artiolus , qui témoignait alors personnellement , à "La Nuova" , d'un nouvel article , comme un , des seuls survivants , titré :
"ANCHE SE SA CHE NIENTE SARA PIU COME PRIMA "
avait glacé de peur l'instant des rues , et , les lieux considérables , s'enfuyaient.
A l'approche des journalistes.
Et des mendiants de gâteaux d'hiver et de gâteaux d'été.
Nota Bene
...J'étais alors , vraisemblablement seul , à boucler mes sacs et quitter , siècle par siècle , la chambre 122 , de l'hôtel avec les carreaux d'or et sel , qui tendait à être visible , et dont les environs montraient , aux seuls ragazzi , des signes d'existence , avant qu'il fasse complètement splendeur.
A l'heure du taxi possible et excellent , et , qui mérite la nuit je me déplace depuis longtemps , mais...la via del Porto disparaît.
Où aurait elle pu être?
C'est errant , un bracelet de rubis , pour homme , au poignet , que je pars.J'avais , peu à peu une allure et pris à ma gorge , une précision rageuse mortelle , mais je reconnaissais le jour emprunté , à moi même , et , le bateau que personne ne prenait plus , ne bougeait plus , laissant à la lumière qui ne tient... , qu'à un fil ,la ville de tous ces endroits et la brume , des soirs sans ombre en état d'urgence.
L’HEURE DES CHARMEURS OBSCURS
Expression effrayante et sentimentale, d’une constitution véridique chez les hommes, pour un jeu étrange incontestable extraordinairement simple, dans une île étoilée près d’une tour.
Sardaigne,
le 7 juin 2014
20 heures
Je n’avais jamais vraiment quitté l’hôtel l’Ancora le jour de l’année 20.. par ailleurs au
brouillard silencieux, quand fut la véritable nouvelle, de la nuit d’un monde de toutes
parts. C’est parce qu’alors que je prenais l’allure nocturne, et que j’étais encore sur ce
bateau, je croisais un chien affaibli, les yeux étoilés, exceptionnellement tenu entre ses
2 maîtres et par eux, sur un carré de toile qui suffisait pour brancard, un setter anglais
revenu à la conscience d’un lieu si pénétrant oniriquement après, une opération lourde
subie, il est probable, s’agissant de répit et d’une action pour ainsi dire, directrice, dans
une île voisine. Je savais aussi longtemps que puisse fonder le hasard avec les
manifestations excentriques de ma connaissance, que je ne le reverrai plus. Et tout cela
m’enlevait à l’hôtel. Mais je tombai sur un rideau bleu-intense à la porte-fenêtre de ma
chambre, la 122 : c’était directement, les derniers firmaments qu’on ne fît pas.
D’abord je compris qu’il avait été changé, et bien vite je reconnus, à
sa lumière, le précédent clair de lune que je venais de perdre comme une montre rose.
De ce moment les jeunes artistes luttaient contre des fièvres qui
préparent à former les facultés naturelles sans implorer la nuit.
Des animaux erratiques arrivaient par mer.
J’étais encore profondément éprouvé par les mortelles sociétés de ce sol, les gâteaux
blancs, les amoureuses, et d’un habitacle d’airs bleu-lazuli et de révoltés modernes, qui
finirait aux pare-brises en projectiles de vitrail. Cette faune, d’une personnalité royale,
montrait son caractère excessif et présentait les apparences, à des victimes ayant le partipris
d’une conversation suspicieuse, mais présentait sa beauté, de toutes les apparences,
dans le sens inverse, et prenait une profondeur et des minutes d’or léger, jusqu’aux murs
de l’arrière salle de la réception où sont, comme par le hasard pendu, suspendus 3 sousverre,
ajoutant à ma démonstration convaincue puisqu’elle concordait avec la plus
compliquée situation de voir, 3 paysages bordés de lune, de serpents qui enlacent et
d’oiseaux voraces éveillés.
Peu de temps après je remarquai que la tour Espagnole, la Spagnola
Torre au dessus de l’eau apparente et verte conduisait à une solution de brume et de
cristaux par l’une de ses meurtrières. Qu’elle attirait les ombres de tous genres ainsi que
des marbres. Par les moyens de cet accueil de roses surannés et quelques flammes, on
pouvait donc apercevoir les jeunes gens, les approcheurs inappréciables de ces pierres
déployées.
Comme j’avais déjà inventorié des parcelles de rues rosées et
d’éclairs et que j’étais parti arracher ma précieuse anxiété à la garde du chien je décidai
de me rendre, noué de pierreries sur mon écharpe, à un endroit nommé « Ile Marmorata »
qui n’était qu’à 4 kilomètres, soudain demander un forfait au driver, et pendant un instant
être sûr que la marmorea, la Marmoréenne dont j’avais suivi l’énigme avec insistance,
ne reparaîtrait pas, de son éclat stupéfiant, à l’angle de la route. Je me disais aussi que
peut-être je ne la reconnaîtrais pas et qu’elle me tendrait un parchemin.
De plus, aujourd’hui 23 mai, toute la presse paralysée (je l’appris de ma libraire), se taisait, ce qui arrivait parfois, depuis bien longtemps.
Mais la nuit bouclait toujours le ton de ce passeport, d’une hauteur si grande.
Bientôt je portai une abondance de passions près de la ville. La veille, les journaux avaient longuement annoncé cette solennité animalière la plus grave.
Dans un article cette fois, de Paolus Correli titré : « MUSICA PER UN REQUIEM FELICE.
(Progetto… per la Blue Note Orchestra) »,
les musiciens, choqués, répondaient :
« Abbiamo imparato a volare come uccelli, a nuotare come pesci, ma non a vivere (1) ((1) Exactement. « ma non a vivere come fratelli ». Phrase de Martin Luther King) come viventi, e siamo dati della jazz bestia e con paura del sacro, del nero regno animale.
Fatto sta che questa tragedia aveva in parte oscurato l’altro grande dramma : il vento. La possente allegria della malattia musicale e la poetica, e il vento, prospiciente, stante la situazione, il filo che lega tutto, è possente, se questo rischio terrestre è stato letto, e detto, vicino a tutti, all’inizio del requiem.
I gesti desolati e dedicati al vento trovano una civiltà distratta ma grande in ciascuno ».
Il est vrai que ces derniers temps je désertais ces sinistres perfections qu’on apprend partout dans les bars avec des influences de « papiers », et, ici, quelquefois, la servante, moulurée, de toute autre terrasse de café blanche au toit amovible et fumeuse, dont parle le vent, faisant soin de cacher pour moi une bouteille de bulles d’eau, plus récente et puissante et ameublée de notes sonnantes, elle, deux étoiles chaîneuses avec breloques aux oreilles et la couleur d’argent, et maturée d’un tee-shirt noir à échancrures oblongues sur chaque bras, de ces coutures qu’on appelle « gouttes », était rieuse, c’est pourquoi, ces « papiers » ne laissaient exprès, compléter soudainement, qu’un effort complexe de liberté, et le rêve spirituel encore entrepris, de documenter le cauchemar des peuples nocturnes.
Pourtant de tels articles circulaient dans leur sang.
Je les entendis un jour ayant pris la peine d’appeler l’attention sur eux car décidément, je ne trouvai pas de lieu facile et je ne saluai que les favoris.
L’Ile Marmorata, je n’y avais plus compté. Le driver ne parlait plus d’un trajet de 4, mais de 6 kilomètres et d’un grand prix. Il ne m’évitait pas et impliquait, comme ça, 100 euros l’aller-retour, plus le motif du temps sur place, 15 minutes, qui doublent au moins le prix, et très tranquillement refusa tout forfait et moi, toute course, à cette insupportable condition. Quant au cas où j’aie fait récemment un voyage à mesure que la mer m’approchait, et que j’exerçasse des recherches pour la brouillasse d’une spirale d’« acqua » en éclats alentour, et que j’eusse pris le dernier ascenseur qui n’a plus cours, tout autour de moi, je retournai à la coraillerie du beau nom de « L’Angolo d’Oro », l’angle d’or.
Mais, rien.
Quant même je n’eusse cru à moi même, la Marmoréenne était partie, abîmée pour toujours dans un jour transparent, un reflet sans souffle, un prétexte éternisé, et, mon amicale pâleur ainsi que je l’y eusse invitée, si j’avais déduit un mode secret de son absence, une seule minute.
Elle était partie terriblement. Et il s’était vu à la vitre corallifère de L’Angle d’Or, un rideau métallique. Une fin. Une permanence finale. Sur cette affaire je n’avais plus de doute. Et je n’aventurerais personne à une si jolie excursion même dans un accès de fureur !
La Note Bleue passa pendant quelques moments et se jeta dans le soir et la rue qui reprenait son sens.
J’étais là une heure de l’année 20.., à marcher et procéder divertir vraiment ma réflexion, lorsqu’une sorte de phoenix dans la poussière tombante d’un arbre branché, c’est évident, un jeune garçon aux cheveux ondulés 10 fois, parfois un peu longs, un de ces bel’ragazzi, brun à la pénombre, presque prévoyant et sectionnant des lumières, mais tel qu’on le clarifie après, ces longs gâteaux blancs de blancs d’oeufs, et poires citronnées, et sucre glaçure, « queste dolce » (1) ((1) « ces douceurs ci ») à un petit déjeuner en équilibre algébriste, un jeune garçon sûr et reconnaissant le quartier, m’aborda. Depuis 3 ans que je préfère ces lieux, la distinction d’une sonorité spéciale, et me rendre compte que je passe dans le hall et que j'avais été seul à maintenir cette chambre dorée, et à ce qu’elle me paraîsse considérablement réelle, et d’où, je voyais les nuages levants et couchants à un soleil coupé en deux.
Au rideau bleu.
Il me prît immédiatement le bras et associa quelques mots d’une voix chancelante :
« Personne ne rencontre la ville comme toi ! Je souffrais des beaux témoignages d’une femme, Autre, vaste et blanche, qui compose des Peintures.
Aussi rageuse est ma sensibilité ».
(« Ne m’expose pas un instant ! »)
Des animaux erratiques arrivaient par mer.
Et occupaient, çà et là, avec les signes d’un paradis qui diffère autant, et une cargaison incendiaire, pour leurs gilets de satin gris et de roses qu’ils abandonnaient, sur le rebord des fontaines sèches vers les routes d’angle de la Spagnola Tour, étincelée maintenant près de lunes ou, de scintillations de palmes et orangeraies, et déprédations élégantes, et confirmaient, en regardant le sol, les premiers arrivés, les hôtels !
Tout ce que le feu, a enténébré dont s’aimait une jeune fille pour l’affronter avec des nuits, qui s’y collent et décolorent la végétation comme à l’intérieur d’un miroir, visitait, les belles obscurités constantes et devenues par la suite, insuffisantes en produisant sur moi, des dangers de cette nature. Les animaux, puis le risque, de plus en plus grand de jeux malheureux à travers les coquillages noirs, affranchissait, ma mélancolie ainsi que le droit flambeur, et surdimensionné de suivre un homme partout quelques quarts d’heure après le début des étoiles.
Les reptiles qu’il serait impossible d’entendre, les hiboux, de leur fil conducteur délibéré inconnu à l’annonce du jour et d’issues de secours, les crocodiles qui ne peuvent articuler que le silence pénétrant des implications innocentes de la propriété, quand elle leur revenait, au lever du soir, acquatique, mais aussi les rapaces brunis, le regard hâlé de rocailles jaunes, preneurs d’escaliers désespérés et d’éclairs, les renards capables de coûter le temps dans la chambre à coucher, et, agiles, les chats dits obscurs, aperçus souvent près d’un paratonnerre, toutes ces intelligences immortelles et interdites aux cimetières parvenaient en ordre, par mer, et faisaient briller, malgré elles, une flamme de bougeoir au crépuscule, hésitante et fragile et irrépressible, dans certains hôtels, devant le monde.
Le lendemain, revenant sur cette lourde inquiétude et la possession des peintres, de la plus haute justesse, et d’une autre visite parmi les crânes, et d’une autre explication avec les musiciens lors de la Blue Note orchestration, Paolus Correli retombait par hasard, avec moi, sur son article ainsi :
« Non li posso annoverare fra gli allegri.
Furono barbaramente e oscuramente malati da loro attitudine musicale tale che, nessuna parola può stringerci ne valutarci viaggiare. Il loro arte prodigioso presenta un brutto aspetto, per sempre.
Ma l’hò visto con questi occhi, questi animali profondi portano una integrità ascensionale riottosa, strana, e quindi isolata per tutti noi ai famigliari delle flamme di coscienza e lume di luna e, della sensibilità altrui, sola piuttosto che rara.
Hanno il carattere delle ferite, comunque visibili, e quelle delle paure per un ritorno qualitativo di socio.
Dico sul serio, cercando di buttarli in cacciare !
Questi animali sono belli quando era già sera :
Voi altri,
NON LASCIARVI MAI IMPRESSIONARE ».
J’ai souvent montré des preuves de la peinture d’après les journaux qui enchantaient savamment, ce qu’on voudrait écouter ou lire, mais j’avais suivi les règnes minute par minute sacrificateurs, c’est peut-être la vérité, et je me douchai d’un ramage de pluie brûlante et d’astronomies personnelles qui finirent en ailes de papillons-montgolfières et voltiges volte-faces, de triangles-volière, le rideau-douche, aussi, ayant été changé pendant que j’étais charmant et silencieux sur le bateau.
Puis ce furent les toits roses qu’on connaît et le corail rouge du dernier dompteur.
Et du temps.
J’avais été démonté et converti avec les incidents d’une promenade venteuse. Je pensais revoir mon ami, le jeune garçon à la pénombre, dont la séduction évidente, quelle préciosité, cascadait, et s’improvisait, ligne après ligne, aux chutes transparentes d’un bassin du Centre Ville, car l’épidémie rageuse des marcheurs tout autour et des crocs d’ombres rôdeuses tourbillonnantes, près de là et la réalité, avaient été maîtrisées par « le guardie del corpo » (1) ((1) Les gardes-du-corps). Mais il me laissa aller, cadencer, tous ses appels, il n’y a plus qu’à comprendre, et dîner seul.
Le restaurant se trouve à droite de ma fenêtre, la première rue.
J’allai comme ça, disparaître de l’hôtel, et goûter de nouveau des nourritures plus sensibles qu’une évasion sauvage dans ma conscience, plus accentuées qu’une douceur, plus curieuses, hautaines, lascives qu’un vin d’hiver, proche d’un quai, par dessus mon dos, à mon salut. Et qui fermaient les noeuds du soir, sur des écorces de ricotta ou de potage au pain fleuri de nacres, et nappes blanches, parmi des essences d’ampoules électriques bleues illustrées de spectre-coquillages dont j’ignore le nom, avec les miroirs à l’approche de leur ville.
Jusque là, tout ce qui provenait des abîmes détruits, dont les animaux imprudents sous l’influence de la lune, l’ayant échappé belle, tout ce qui pèse avec des plumes ou des fourrures ou des écailles, par terre, et compte une balance à poids d’or quand une traction klaxonne, tout cela qui retrouvait les objets dormeurs, semblait en proie de se rassembler, et venait résoudre une bougie, à 8 heures de l’après-midi.
Je compare, ce qui ne consiste pas pour accord, et dans le mouvement d’un escalier ou d’une marche je m’introduisis à la rue et sortai sans lumière afin de rejoindre l’hôtel, qui n’avançait pas et dont je me souvenais.
Incessamment présenté aux rayons de petites maisons fourrées de petites lampes parfumées plus basses que le ciel, de fait, personne ne me demandait d’entrer, je tournai mon attention vers le hall, à peine brillant devant une file de voitures éteintes et m’embarrassai d’investigations sur tout ce qui est arrivé. Effrayante distinction, aucune parole.
Le garçon à la pénombre était là.
Il, aussi irréel, traversait l’air, pour avoir un prétexte et arriver seul connaître un signal perdu à mon égard, comme si nous étions vigilants dans des lampes lancées vers nous d’une brume agitée.
Je ne vis rien de plus.
Comme je croyais qu’il passait m’aimer et me guider jusqu’à une attache que les fontaines admettraient, je l’invitai à ma chambre dont les cris de nuages tombés venaient de mourir en cataractes laineuses.
Mais ce n’était pas pour passer m’aimer.
Je crus que c’était pour la nuit, au milieu de nouvelles constellations.
Mais ce n’était pas pour la nuit.
Je menaçai que c’était pour me heurter, du reflet d’une ville forte, quand même, c’est l’heure, des bijoux et les châles à sa Tour Spagnola (1) ((1) Espagnole.), cédant à des soifs extrêmes et des alcools qui font frémir et vivre longtemps, sous les gouttes de pluie, et qu’on allait prendre un verre.
Mais ce n’était pas pour me heurter.
Alors je lui soumettai, paraîssant le voir, quelques détails sur ma chambre, le fond du soir, les faubourgs des mers et de cailloux du sommeil, ses yeux autrefois quand je ne le rencontrais pas, sa tunique resplendissante ce qui se faisait toujours, à cause des tempêtes dans le saphir, dont on ne sait rien, que voulait-il ?
Ici commence notre entretien.
Il me communiqua une singulière exception, sans difficulté, et après bien des ennuis, de cette façon :
« Nous ne pouvons pas être loin. C’est un grand problème.
Il est dit, dans un hymne égyptien très ancien, qu’un grand dieu cracha sur le sable, et qu’une déesse pétrît ce crachat avec ce sable comme la lame d’un fer en forme de serpent. Puis elle le jeta sur le sol où marchait le dieu entre 2 pays.
Et, qu’il advînt que ce serpent le piqua. Le poison s’empara de son corps tel qu’une propriété.
Moi, je t’ai donné un souterrain d’or dès que je t’ai aperçu. C’est tout. J’ai pris l’ascenseur avec toi pour venir t’accompagner à déchiffrer cette chance nocturne et te parler.
Ecoute encore ceci, avant que je traverse encore le crépuscule au coucher du soleil sur la flamme de la bougie tout un siècle dans le hall, n’est-ce pas.
Dans la Cathédrale de Tolède, il y a une vasque d’eau et de pierres.
Au fond de cette vasque, il y a un serpent.
Dans la Cathédrale de Tolède au fond d’une vasque il y a un serpent. ».
Et il me quitta.
Sujet à mille introductions et aux circonstances fort légères de la nuit, après notre nuit, je le vis disparaître, au creux de la rosée matinale du couloir, magnifiquement orné de mon écharpe à pierreries, en raison du temps.
Je n’avais jamais entendu parler d’une telle intention, qui présageait des suites très significatives, mais dures, ni lu de telles conclusions sur l’infortune de mes amis souffrants, et je me dis que tout éclaircissement de cet état de choses que j’avais adoré, ne s’arrêterait pas, à un jeune garçon qui songe à changer ma vie, c’est au moins déjà peu connu en bonne part, sur la question… qui le réfléchissait et que je ne risquerai pas, et je me disais que cela serait, naturellement étrange.
Je recherchai une foule d’ombre et de personnes, qui n’étaient plus chez elles dans cette affaire, et je n’eus pas réussi à photographier de mon petit numérique le bassin bizarre, moderne, ni rocaille ni rococo, du Centre Ville, car il était à égale distance de l’hôtel et de la Spagnola Tour, ce qui le détachait de ma photographie, désormais impossible, dans une position horizontale en sursaut mais légère, légère, et rendait, les chiens de sang bleu très inquiétants comme nous ! Et, malgré le voyant lunatique de l’appareil dont je m’étais efforcé de charger les piles, la batterie était vide.
A plusieurs reprises et après, un dolce gâteau de fruits et de raisin cramoisis, pendant l’époque interdite, et après tout ce qui pouvait être attaqué de lumière, je compris en second lieu, que le garçon bruni à la pénombre m’avait provoqué subir, à peu de temps de là, une épreuve, voyante, qui avait été décidée, laquelle ? cela ne faisait aucun doute, par cette femme qui compose des peintures, et dont il avait connu les pensées, et qu’il avait laissée seule avec nous ainsi dont, je me souviendrai, procéder et surprendre cette poésie imprévisible, pour le monde.
Mais, quelle épreuve ?
Pourquoi différer, un jeu à apprendre par moi seul, et sur lequel tombait tant de valeur ?
Je ne le savais pas. Je n’avais pas les clefs de ce jeu terrible, ni personne, du petit groupe d’amis souffrants, pour m’expliquer ce qu’on attendait de moi, et qui s’annonçait si important et rester secret, jusqu’à la date fatidique.
Mais, quelle date ?
Je ne le savais pas non plus.
De tout cela qui m’ôtait l’instinct de plusieurs pays, pour celui de la propriété, le garçon à la pénombre fut bien plus séduisant.
J’étais moi même ardent et analogue et durant notre entretien, plus sentimental, et, plus déchiré, plus exact, plus risqué, après notre nuit, que les rares êtres qu’il préférait au désordre.
Lui même, ne m’avait-il pas prié de ne pas l’exposer ?
Bientôt on n’adoptait tous, ni parole contraire, ni ne tolérait aucune querelle, et sachant qu’on comportait chaque extrêmité intime, les uns aux autres, on n’approuvait que chacun.
Le plus sûr était pour moi, sans faire exprès, d’être de ce côté du serpent.
Ces animaux, qui ont un langage agacé, par la raison qu’on ne les comprenne pas, et du poison, qu’ils confiassent car ils s’entendaient accuser, entre 2 pays, mais aussi le crocodile, qui enfreint les gens et associe l’argot des marécages féodaux et de vieux guerroiements protohistoriques , contre ceux ci, et acte ce qu’il ne dirait pas, pour autant plus encore agressif et invité à des somnolences jusqu’à la guerre, le saurien, qui est plus seul que les autres, et lutte silencieux contre des fruits, et engage son existence, et tyrannise, de ce silence qui affluât et verse la nuit, les auditeurs de civilisations, ces individus qui surprennent, la nuit et le jour, et qui s’échappent des évidences jusqu’à l’insolite, et d’ailleurs les peurs qui frappent, ayant donné les fontaines crédules, au fond lunaire, des animaux à sang froid, tout cela dit beaucoup, quant à la plus ultime scansion, et la promenade toujours la plus contrastée non loin de là, baignée de yachts détrempés, de rues qui s’entr’ouvrent, volets sur le sable blanc.
C’est pour couper d’un café noir pareil « doppio-expresso » (1) ((1) double expresso), pris de déductions qui ajoutent, à un des bars longtemps, j’ignore comment cela se fait, face au bassin central et toqué, d’un oiseau de nuit dessiné à la craie sur une ardoise, et, en situation de supporter le matin, et, l’exaspération d’un oiseau d’encrier, que Paolus Correli, poursuivait avec moi ce que je crois un malheur gigantesque, inexplicablement l’article, qui tombait :
« Tutti quei musicisti piangono per prima, fatti di rabbia e di diademe e cavarsi una voglia, il bleco sguardo, di essenza fantasiosa e di rose. Non conoscono sentimenti della propria maraviglia. L’ultima musica esattamente si decide come sta a ciascuno, ma nei titolo di alcuni dipinti.
Non si direbbe visto che sul sito cerimoniale del loro regno sonante, sotto un globo di frutti neri e d’una bugia, sono subito quanto mai spenti e vicini a ogni momento.
Non so perche ho provato a porre la mano sull’oscurità.
Quello gruppo picchia a colpi di rostro alla finestra e NON ESISTE PIU VOLTE, MA NON È MAI, INCERTO.
La fragilità RISCHIATA è ribaltata ed IMPRIME, poi prende A FORTE VOLERE per la futura del STRANO MALTEMPO di questa strada ».
Le blue Note passait sérieusement très très court. Il faisait soir, le soir désormais en question ne fut possible qu’à grand peine. L’entrée du hall était visitée. Les témoins entendaient des voix, pénétraient l’escalier, tentaient les nerfs. Et puis ces animaux rendaient compte de la tragédie dans le même sens, malgré l’heure.
Cette compositrice de Peintures, que souvent, assez souvent, je n’étais pas fâché d’étonner, à son tumulte, et qui décidait ainsi pour mon sort, afin dans le cas présent, de me rendre, pour ainsi dire, salvateur, de nos amis souffrants, avait bien pensé à une sorte de scientifique, ou de mage vêtu de grandes sciences, et se voulant guérisseur, et qui parlait de gisement fondateur, pour les rêves dont l’activité profonde, puisse être mémoire, une mémoire non personnelle qui soit, mémoire de tous, à l’état figuratif, mais cet homme, et, ceux qui racontaient leurs rêves, nous ennuyaient, et ceux qui les écoutaient, aussi.
Les émigrés massifs, dont il assurait que par leur sang, ils modifient les gènes des peuples anciens, ou, à l’inverse, les primitifs, analogues, dont les émigrés avaient pu se servir autrefois, ou qu’ils avaient spécifiés, de leur propre aventure, autrefois longtemps, conquérante, sur chaque continent, et desquels, il racontait aussi, que la langue ne connaît pas l’abstraction, tout cela nous faisait horreur.
Enfin cet homme, parlait des animaux à sang froid, en tous sens pour nous dans les rues et les légions de cocotiers et plus récemment, de minarets, et il avait idée que les primitifs, même sans mélange sanguin, le plus souvent nègres, ou indiens, sont à peu près tels qu’un saurien, comme une EXTERIORISATION très particulière de l’AFFECTION, DES AUDITEURS CIVILISES, et qu’on trouve cette manifestation indéniable jusque dans la musique et la danse, en tant qu’influence INTERNE, et qu’EMOTION, toutes deux COLLECTIVES, à différents pays.
Et tout cela qui se fait entendre des plus notables, malgré le respect dû à ces époques, nous plongeait dans le désarroi, et les épouvantables totems détruits, et, dans une affliction, de tous nos penchants scientifiques, d’un ciel agité, dont on ne démordait pas, et nous faisait sombrer dans une grande impression qui, pour marquer l’instinct de propriété, puis la propriété, nous emplissait d’une inquiétude très sombre, et de frayeurs.
On se taisait. Ne sachant pas toujours comment en parler.
Alors la compositrice, stoppa, avec une colère secrète et fermée, cette tragédie, et le groupe se concerta, et prît la décision irrévocable de faire venir un authentique saurien, d’Amérique du Sud, un monstre, nocturne, de la grande nuit, en quelques mots, en « quelque sorte », si je peux l’éclairer ainsi, Sud-américana-Ibérique.
Le jeune garçon à la pénombre était là.
Il fut conclu, tant nous étions attristés d’écouter des histoires pareilles, de réveiller la tragédie extraordinaire :
De prendre donc au mot, le mage scientifique, de le mettre au pied du mur, de nous confronter, un à un, en vérité, à cet animal.
La compositrice ne m’en dît rien, et me laissa me pourvoir d’autres épreuves, et me laissa seul, aller et venir, ignorant tout.
Hier, quand je rentrais à l’hôtel pour considérer les vitres dans les toits roses qui signent un papier, toujours condamnées à un crépuscule toujours aussi incohérent et d’accès, par ma porte-fenêtre à leurs lampes accrochées au cercle délicieux de la lune, car elles commencent d’un ton assez fort, à trembler ainsi qu’un casque de satin clair, le garçon bruni à la pénombre, tunique et pantalon pâles, d’une pâleur luxueuse traitée, à la mesure des esprits, et devinant, que c’était mon intérêt d’être précis, revînt à mon contact, tourmenter de sentiments qui ne diffèrent rien, et, chatoyé d’un choc à retrouver l’ombre créatrice de la flamme verticale cuivre de la bougie, 8 heures de l’après-midi, il expliqua :
« Il est dit dans un hymne égyptien très ancien, malgré que je t’y eus inquiété et souscrit d’avance, alors que j’avais des racines plus favorables, que LE POISON, duquel chacun prend en garde, s’empara du corps du grand dieu, tel qu’une PROPRIETE »,
et il ajouta :
« COMME le Nil s’empare de SON DOMAINE ».
Et :
« Ne mets pas pour te protéger ton vêtement de laine. Moi, j’étais convaincu de MANQUE DE TACT, et je fus adressé au serpent, au fond de la Cathédrale de Tolède ».
Et il me quitta.
Sujet à prouver les cris du vent par terre, et la terre qui ensevelissait ses cheveux, je le vis disparaître au creux de la rosée matinale du couloir, après notre nuit qui grondait, et les tempes effrayées, doué des pierreries de mon écharpe en laine à son cou, en raison du « maltempo » (1) ((1) Du mauvais temps).
Mais, pendant ce temps, quelqu’un avertît, après la danse de ténèbres, que l’animal aux confins, de chaque soirée, qui avait perdu la lumière, se trouvait enfin en mer, cap vers nous, et franchissait, une à une, les tempêtes.
Je n’avais pas préparé la foule que j’allais voir, en estimant bien vite que nous étions infectés, quand le jeune garçon fut parti.
Bien que j’eusse reçu une forte culture, et que je fusse entré à la Cathédrale de Tolède, je n’avais pas exploré, des alternatives de mon intelligence endormie, gauche, trouée et tout aussi soporifique, son avertissement.
Et, c’est éveillé au monde que j’occupais quelques heures plus tard, que je m’assis à un morceau de table, un autre bar blanc à la terrasse blanche, un feu fort étrange à la main.
Puis j’entendis des chants et visitais les bêtes.
Ce fut un jour d’août, dans une île voisine dont je tairai le nom, non loin d’une tour à même le roc, qui était posée, offensive ou défensive au bas d’un ciel d’un noir intense, plombant la mer fortement certaine et démontée, et, qui ne présentait pas l’Espagne, en un lieu plein de fleurs étincelantes, et d’une végétation… qui, ne s’achève pas, et, désaltère de concoctions splendides et de couleurs odorantes, des passants plutôt anciens y ayant abordé, en un lieu peuplé d’arbres, croissant, sous les nuages rapides et secs, à l’intérieur de ruines saisissantes et acharnées, difficiles ou plutôt déchirées et reconnues, les ruines d’un vieux monastère sensible, d’une grande distinction, et d’un bruit constellé, permettant d’éteindre la bougie.
Au milieu du Moyen Âge.
Et, dont les habitants avaient peur.
Or, comme me voilà sur le point de rester là et disputer le grand problème, on m’annonça désormais, APRES l’opération, que seule, l’Ombre du rêveur, l’Ombre la plus réelle isolée et détachée, pour une fois, de la compositrice, l’être le plus pur, le plus pur du groupe, toucherait le saurien sans craindre ni penser un seul instant, à la MORSURE.
Et jamais, d’un coeur déchiqueté de tant de flammes, vêtue jusqu’aux chevilles d’un long manteau de bure rose, boutonné par médiane au corps, et rabattu en capuche sur la tête, les yeux protégés de grandes lunettes noires, debout près de la lueur d’un hamac losangé d’encre et d’été, la compositrice ne fut aussi sombre.
Accompagné par l’un du groupe, en une minute, et ignorant tout, je fus brutalement face à l’animal, dont un mince et délicat grillage, à 10 centimètres de moi, et à ma hauteur, nous séparait.
Il n’y avait pas une autre croisade, une autre fois.
Je n’avais jamais vu, un monstre aussi nocturne, les yeux gonflés de bougies et de feu, les écailles efficaces, la queue gigantesque et solide, les pattes insolites, il n’y a pas d’apparence. Je n’avais jamais vu cet animal, pas même en photographie, ni dans les livres, ni les zoos.
Je pénétrai alors les préférences sans doute, ou les sortes de boulevards et de palmiers à minuit. A cette extrêmité.
Je ne pouvais pas m’observer moi même, mais en une fraction de seconde, mon visage s’est décomposé, je fus pétrifié, coloré inconnaissablement d’une pâleur mortelle, et, sans réfléchir un seul moment, à aucun moment, ni savoir pourquoi, au lieu de fuir, je posai aussitôt ma main à travers le grillage, sur le cou de l’animal.
Lui, se trouva aussitôt aussi stupéfié que moi même, transi de stupéfaction, combien de temps ? sont des temps terribles et tout à fait disparus ?, et, il se mît à bouger en tous sens, sa queue cognait partout tous les obstacles, son corps se pliait avec une extraordinaire rigueur et une rapidité forcenée, au risque de fracturer et renverser la cage.
L’épreuve était terminée.
Pour des raisons que je ne dirai pas, même si elles flambent sur ce mystère, je ne dirai pas les réactions, une à une, de ceux du petit groupe, expressément nous étions de nationalités différentes, mais est ce bien important ?
Lesquels, s’étaient consultés, et avaient vigoureusement défini son poids, et sans le vouloir, la proximité mystérieuse du jour.
Et pour cela aussi, je n’ai parlé que de moi.
Une nuit quelqu’un proposa de grandir loin des roses malheureuses. J’acceptai. Puis je fus surpris des dictionnaires et des intonations des spectacles. Et, quand je retournais à l’hôtel que personne n’avait imaginé mais qui défilait, sans un souffle, avec des interlocuteurs dont on n’a pas idée, le garçon à la pénombre, les cheveux déclenchés en boucles brunes, la vie nocturne, m’expliqua encore, car je n’avais plus d’ombre :
« Voici un raz-de-marée et ce chemin de fer.
Découvres-tu chanter et d’un lieu de verre que REPONDRE le poison désolé, le poison fort si désolé, dont les 2 serpents se réveillent, qui en prend le corps d’un grand dieu, tel qu’une propriété, comme les crues du Nil noient et cultivent, inondent, font mourir et renaître, perpétuellement, et celui, des créatures, devenues mortelles, dans un jardin interdit ?
Quelle, est la propriété ? »
A cette rencontre à voix très basse à 8 heures de l’après midi, la bougie en cascade-stalactites venait de s’éteindre, et je lui jetai, aussi, à voix très basse,
d’après le poison :
« Ce serait, pour chaque homme d’être libre, mortellement.
Ce serait, pour chaque homme, la terre à peine connue de lui seul (presque comme, un bien et un mal), où il marche libre, entre 2 rives, ou, entre 2 pays ».
Les soirs vifs et toujours la bougie, d’après le POISON DESOLE, le poison SI DESOLE que rien n’expose, et sa flamme, se voyait dans ses yeux.
Maintenant ceci :
Si vous apercevez à bord d’une île, un peintre et un poète près d’un saurien, et que la nuit tombe, LAISSEZ LES, PARCE QU’ILS JOUENT.
Et il me demanda l’heure, puis du satin.
Et il me quitta.
« Dans la Cathédrale de Tolède, il y a une vasque d’eau et de pierres.
Au fond de cette vasque, il y a un serpent.
Dans la Cathédrale de Tolède au fond d’une vasque il y a un serpent ».
Sardaigne, le 7 juin 2014
L’INSURGÉ ATTRACTIF AU CHANDELIER BRÛLEUR, VIOLENT,
LA MARCHANDE DE SEL UNE NUIT,
L’ÉCLAIR ÉTEINT PRÉFÉRABLE
DANS LES CHEVEUX,
ET LE POÈTE, INSPIRÉ.
Il y a parfois plusieurs chambres pour l’intelligence extérieure pendant que dure le voyage que font minuit et l’heure du matin sur un bateau supposé que je pris, et qui naviguait solitairement en toute réalité.
Comment cela est-ce possible, il est inapproprié de s’y méprendre. Je trouvais une mer prédominante et démontée entre 2 peuples, quel que soit son pur caractère, et je m’adaptais à ces 2 existences par cette raison. C’était pour moi un temps tel que je ne pusse aborder aucun pays, de naissance. Un temps sans interruption qu’on appelle rive. Et dont je fréquentais à tout hasard, un soir, moi et le soir en exercice de la nuance riche, d’un homme qui n’ait pas profondément représenté des suppositions arrêtées sur le mal, oui la terre principale. Regagnant plus ou moins mon hôtel. Le taxi, en ce qui concerne cette étendue mélodramatique, exactement ainsi que je le lui avais expliqué, était venu me chercher avec un écriteau, et mon nom, lui et moi étant pourtant sûrs de nous reconnaître et de ne pas nous reconnaître. Mais notre génie triomphant nous rendit visibles aussitôt circonstanciés l’un vers l’autre de la sorte. Et l’hôtel devint un paysage luxuriant ancré de marbres – blanc balcons et de fenêtres maritimes vaguement pâles, vaguement paille. Sauf le cas de mes crises irréfléchies dans la cité où je m’abandonnais aux douceurs inquiètes de l’humanité, que je jugeais radicales grâce à tout mon désordre. Et d’un haut prix.
A ce désir antérieur véritable ou nébuleux ou plutôt fétiche gercé d’ « eau de vie », sans demander plus, en pourpre et en citronnier ou encore, d’une portée de semoule et de caramel brun, telle que je l’eus eue à mon goût par un petit déjeuner, déjà ici, graine parfumée d’essence laurée qui gonfle, du siècle en graviers, et semblait naturelle au creux d’une assiettée d’or, J’AJOUTAI, un fragile garçon d’éclats, que j’avais oublié et tenais par le bras, et dont il me fallait prendre garde sur les ruines qu’il approchait à chaque fois assombrir.
Il y avait, dans l’étonnement de ses gambades, quelque chose dont je suis peu rétabli et qui m’offrit une anxiété grandiose ou lacustre. Laquelle fut jolie.
Je le poursuivis, alors que mon portable sonnait causé d’un dogue inconnu ayant perdu le sien, l’hôte, familier et jamais hostile, dont j’entendis la voix pour la première fois depuis 2000 ans, cherchant connaître auprès de moi si d’aventure et de mon arrivée, j’eusse découvert ce mobile là, dans la rue juste là enrhumée, et incertaine, parmi les roses et les chandelles de ses maisonnées brillantes fondues à la pluie classique, imparfaite.
Ou du moins, j’invitais le sombre garçon si léger, et les hanches saltimbanques.
Ou du moins je le poursuivis sans doute, à me voir, lui disant :
TE VOICI L’INSURGÉ AUX TEMPES IMPERLÉES, LES YEUX DÉFENDUS.
Il y a parfois plusieurs chambres pour l’intelligence extérieure pendant que dure le voyage que font minuit et l’heure du matin sur un bateau supposé que je pris, et qui naviguait solitairement en toute réalité.
Comment cela est-ce possible, il est inapproprié de s’y méprendre. Je trouvais une mer prédominante et démontée entre 2 peuples, quel que soit son pur caractère, et je m’adaptais à ces 2 existences par cette raison. C’était pour moi un temps tel que je ne pusse aborder aucun pays, de naissance. Un temps sans interruption qu’on appelle rive. Et dont je fréquentais à tout hasard, un soir, moi et le soir en exercice de la nuance riche, d’un homme qui n’ait pas profondément représenté des suppositions arrêtées sur le mal, oui la terre principale. Regagnant plus ou moins mon hôtel. Le taxi, en ce qui concerne cette étendue mélodramatique, exactement ainsi que je le lui avais expliqué, était venu me chercher avec un écriteau, et mon nom, lui et moi étant pourtant sûrs de nous reconnaître et de ne pas nous reconnaître. Mais notre génie triomphant nous rendit visibles aussitôt circonstanciés l’un vers l’autre de la sorte. Et l’hôtel devint un paysage luxuriant ancré de marbres – blanc balcons et de fenêtres maritimes vaguement pâles, vaguement paille. Sauf le cas de mes crises irréfléchies dans la cité où je m’abandonnais aux douceurs inquiètes de l’humanité, que je jugeais radicales grâce à tout mon désordre. Et d’un haut prix.
A ce désir antérieur véritable ou nébuleux ou plutôt fétiche gercé d’ « eau de vie », sans demander plus, en pourpre et en citronnier ou encore, d’une portée de semoule et de caramel brun, telle que je l’eus eue à mon goût par un petit déjeuner, déjà ici, graine parfumée d’essence laurée qui gonfle, du siècle en graviers, et semblait naturelle au creux d’une assiettée d’or, J’AJOUTAI, un fragile garçon d’éclats, que j’avais oublié et tenais par le bras, et dont il me fallait prendre garde sur les ruines qu’il approchait à chaque fois assombrir.
Il y avait, dans l’étonnement de ses gambades, quelque chose dont je suis peu rétabli et qui m’offrit une anxiété grandiose ou lacustre. Laquelle fut jolie.
Je le poursuivis, alors que mon portable sonnait causé d’un dogue inconnu ayant perdu le sien, l’hôte, familier et jamais hostile, dont j’entendis la voix pour la première fois depuis 2000 ans, cherchant connaître auprès de moi si d’aventure et de mon arrivée, j’eusse découvert ce mobile là, dans la rue juste là enrhumée, et incertaine, parmi les roses et les chandelles de ses maisonnées brillantes fondues à la pluie classique, imparfaite.
Ou du moins, j’invitais le sombre garçon si léger, et les hanches saltimbanques.
Ou du moins je le poursuivis sans doute, à me voir, lui disant :
TE VOICI L’INSURGÉ AUX TEMPES IMPERLÉES, LES YEUX DÉFENDUS.
Marchant près de ma silhouette démunie au couchant, et soutenant mes pas, il se mit à lire La Nuova, d’un esprit très énigmatique et saillant beaucoup plus compliqué à la fourche de la nuit :
« AD OGNI POCO DALLA STRAGE LA VERITÀ FU GIOCO DI GRAN LUNGO SFORTUNATO CHE NON CASCASSE.
È passata esatamente una sventola di minuti dalla tragedia del batello gettato a mare. Une scarica con una sola certezza il numero terminativo tale una telefonata tenuta o mal tenuta, dei morti.
Questi tornati enfiati d’oltre la tomba per l’acqua combattono in attesa di sapere :
COSA È ACCADUTO LA NOTTE DEL 10 APRILE AL PORTO ?
A loro non basta le spiegazione d’una raffica di scintille sparate a salve. Non si sono mai fermati a quello schiamazzo ventoso. La nave sarebbe dovuta arrivare poco appresso.
Era alla deriva completamente avvolta dalle fiamme.
Era andata tra i più.
Era alla deriva completamente con sui spettri, fra le fiamme…
(Informazione Non Firmata).
« Il y a, ce vaisseau voilé de toute précision rationnelle, et dont le tissu brisé arrange la voie lactée que j’aimais de moi même comme un bouquet de sel, puisqu’elle tombe » me dit ce garçon attentif et ravisseur de cuirasse.
Quelle en est la signification ?
Je ne veux pas d’un abat-jour ou de la vitre mais la lune sur ton bureau. Le monde n’est que cette influence, par là. Des scintillements peut-être.
JE M’INSURGE contre cette passion évidemment industrieuse et pas, cette possession monstrueuse qui nous a conduits à l’Art. C’est un grand malheur que les hommes. C’est un grand malheur que ce vaisseau pour les hommes. On prendra la mer pendant qu’on fait semblant. Pendant qu’on a une âme.
De dormir.
Et selon le danger des hiboux exécuteurs d’abîmes moins qu’un cristal interne.
Je porte une draperie pour une femme. Elle est d’un tableau pénétrant, pendu au miroir.
Regarde. La poétique caramélisée et irrégulière en morceaux de sucre massifs et d’eau aux dents, prouve. Ils s’intensifient et font des bulles de blé aiguës. Pour la marchande de sel, elle, celle là, je l’ai vue hier soir derrière le soir, entre deux verres de vin délicat.
JE M’INSURGE contre chaque réflexion domestique qui menât des perles sur mes yeux. Qui effaçât. Et fit la beauté raisonnable. Ici personne ne revient aux erreurs réelles. J’attrappe cette nocturne époque illustre de filles barbaresques autour d’une bougie en pleine nuit en pleine mer ».
Et il reprit ses gambades, à ma droite, montant çà et là sur une marche, les bras en tous sens, et le beau déhanché exact, ses velours vraisemblables et raidis. Il tanguait à parler au fond de moi, de bizarreries très fades et fort belles.
Encore regagnant l’hôtel nous eûmes des blessures et les gouttes d’électricité du lampadaire qui se lève.
Je cascadai de tout mon moment sur un sommeil concentré en saillies de feu ou de lampes-briquet, et de crânes et caresses, dans la pièce. Toujours est-il que passant par la brume le matin dans les poches, et le matin intense, pour examiner le journal chez mon libraire et des ruelles provocatrices, je la vis plus d’une fois, celle qui prend une feuille de papier, et provoque les morsures.
Quelle affaire. Tout ce qu’il y a de nature, de délire et de science à comprendre, s’expédiait spécial, à son écharpe lourde infiniment plus, que des frayeurs profondes. Je l’envoyai chercher lui tenant maléfice :
TE VOICI LA MARCHANDE DE SEL LE REGARD NOIR DÉTREMPÉ, UN ORAGE BATTEUR DANS LE SOUTERRAIN.
Elle avait une robe précieuse, des doigts de gitane aux cerceaux minces et une crinière de couleur, qui brûle, avec les bijouteries et les éclairs.
Elle ne discutait pas.
On se comportait en témoins harassants, on jeta des lueurs fines sur ses stigmates de Palais et on lui demanda rendez-vous pour un potage en tranches frêlement soudé de parmesan sur une table blanche.
Elle ne répondait pas.
Finalement l’insurgé l’agrippa et lui parla du pain.
Comme je marchais pour réussir ma conquête, dans le treillage du bitume, et lui acheter un sachet de sel, de fleur de sel, et de gros sel, je remarquai un masque énergique, d’un genre répétitif violent, puis façonné, d’un artisan qui se racontait sculpteur.
Le bois clair travaillé et lustré à cet instant là induisait un bois de poirier, coûteux. Le vendeur m’assura que depuis tant et tant, aussi loin qu’on cessât d’exister, ce masque grimaçant, horrible, et difforme à montrer, figurait la tête d’un maître des bœufs, ou d’un bossu, si laide qu’elle fît peur au diable.
Maniée pour faire peur, déclencher et fuir les mauvais esprits, afin d’une récolte prospère que le climat ne permettait pas, parfois, dans ce pays. Et il affirma que les bœufs constituaient le seul bien, la seule richesse de ce maître. Toute vie durant.
Je ramenai le masque à l’hôtel.
Nous prîmes désormais 3 accords de nos voix pour le potage en tranches et une nappe blanche.
La marchande de sel changea de conduite et arriva, sous les éclairs bleus endiablés causant, une énigme qui présageait quelques oiseaux neigeux, piquant, un bout de toit et un bout de mousse sous le toit pour se rafaîchir jusqu’à ce que le plâtre chutât sans bruit sur notre terrasse claire chahutée de leurs suites de hi, xwihé, hi, hi ! L’hôte, fut solennel sur ce caractère, qu’il situa « surtout l’été » et sans son éclaircissement nous n’eussions relativement pas compris, à nous seuls, l’incident.
Nous allâmes si longtemps en l’absence désolée de cette inconstante aux genoux nus, que son attention nous parut magnifique, et enfin permise par les évènements.
Alors l’insurgé, la tête fendue à chercher une argenterie salée pour un et un peuples, et ce lieu où s’était avancée la fugace silencieuse avec nous, pour une histoire de soirées qui ne quittent pas, porteuse d’un long chapeau de fleurs noires par dessus, le long maquillage noir emprunté aux plumes décorées, des oiseaux pâlis sur la mer, l’insurgé quant à lui, le ton d’une personne sans ténèbres, ou, seulement au soleil couchant, déclara :
« On ne mange pas le soleil couchant parce qu’il apporte la nuit, et que la lune n’est pas dieu. Elle n’est que bouffée de glace. Quand le soleil se lève il crée les ombres dont il nourrit aussi les terres, et les peuples. Et les ombres cultivées, d’un candélabre.
Ne compte pas sur l’orage ni l’éclair que tu redoutes comme une série de trams dans ton souterrain. C'est ton âme affectée de malédictions perturbatrices qui t’empêchent, à un dîner de nature, telle ces rares démons distingués et distraits.
Il est chanté, dans de très anciens rythmes de l’Egypte Pharaonique, qu’on ne puisse interdire de consommer les dieux, semblables au soleil. Qui sont le soleil. La Terre nourricière, revenue à celle d’un peuple, permet et engendre sa propre culture et sa propre vénération.
C’est pourquoi ce masque, qui se répète, est vieux.
Il est chanté encore, en Egypte Pharaonique, avec de très anciens rythmes, que le Fils de la Terre est Froment. Qu’il doit être mangé. Alors tu vois ce masque maintenant que (fort plus tard), l’hostie est formée, telle, et de pur froment, telle un Dieu qui puisse être destiné ainsi.
Et nourriture, et soleil, et Culture, et Terre nourricière.
Il en va oui ainsi, d’un dîner à une autre Ile dont je tairai le nom, et qui est pour tous au bord d’une lutte personnelle, bien qu’on n’y trouvât pas de masques pareils. Et pour le maître, des flammes et des esprits déchaînés d’un endroit, soleillé, mais par gouffres habiteurs ne chiffrant rien.
La marchande de sel se leva et passa légère entre nos yeux ainsi qu’un ruban de nacre au regard rallumé, heurtant notre rencontre où se lamentait l’enfer perdu, revu à la brume d’une ville adorable et terrifiante. Elle portait des vêtements de rosiers ensorcelés de bruns et d’ocre, une petite cymbale d’or lunaire en pectoral discret à son cou, par un lacet de cuir, marron, sur un grand décolleté rectangulaire achevé en ailes, qu’on appelle manches « chauve-souris », jusqu’à ses coudes.
Et déclencha son corps, à voix basse :
« JE NE NAIS PAS DE LA RÉALITÉ AUTOUR DE MOI, ET JE NE PRÉSENTE PLUS RIEN, À CECI, QUI M’HABITE :
LE VERTIGE DE CHANGER LA VIE EN MARGE DU MIROIR QUI M’ENTOURE ».
C’était une muse. Une muse qui se présentait comme ça. C’était une palme meurtrière près de sa lampe du soir.
On quitta le dîner, les paupières fiancées à la nuit. Nous fûmes trois veilleuses. Et notre nuit désormais nous fut, sérieuse, puissante, sexuelle, et sans clef.
L’insurgé, possédé de boucliers sous des nuages en deuil et de pierreries disparues, peut-être lumineuses, malgré le jour, des peuples, tous personnels, qu’il décrochait de son violon de perles, parla. La pochette gauche boutonnée d’une fleur, nommée « vi-olette tâchée d’or or » ou « pensée », et le poing jamais lâché. Il déclara, une autre fois, déplié sur lui même, l’air emparé :
« Il y a, ce vaisseau des morts, eux enfoncés dans le rayon de lune, la parfaite déduction. Des stupéfiés que la mer emporte.
La Nuova scrive, n’est ce pas :
« CIÒ RIBALTEREBBE, A LUMI SPENTI ».
Puis :
« Per arrivare finalmente alla verità sulla tragedia della nave nessuno sembra mostrare la chiesuola trasparente ed i sospiri dei gabbiani chi in un modo, chi in un altro sono stati piovuti a catinelle da una pioggerella di fuoco, e odiano i morti.
Non giungarono mai per raggiungere le rocche. Se non altro…, le cause del disastro.
Cosa è successo ?
Quest’ora per faria finita è ancora avvolta nel mistero. È la piu grande strage sul mare. È stata avviata un interlocuzione con tutti Paesi. Tutti governi. Combattono per sapere.
Abbiamo chiesto agli Stati di fornici documenti relativi a… quest’ora fino a quelle immediatamente successive riguardante il porto, le registrazioni radar e le immagini satellitari.
COME ANDARONO VERAMENTE LE COSE QUELLA SERA DEL 10 APRILE ? »
Puis :
« Notte incendiaria alla periferia della città. Incendio di origine dolosa ?!
Pagine le più oscurate.
Fiamme le più oscurate.
Enigma per i morti.
Enigma per la telefonata dai morti ».
(Informazione Non Firmata).
C’est surtout ce coup de fil qui me dépaysait partout, de la part des morts, car il répondait aux villes de demain qui nous laissèrent ici, au tournant d’un palmier en enfance. Pas, des hommes perdus de vue extrêmement charmants. Pas, des enfers qui gagnent le bateau.
Je sais que je n’ai plus de contexte à défendre dans le sombre royaume.
JE M’INSURGE, contre une époque qui ne connut pas d’hôtel. Contre un chant législateur qui ne se prête pas aux touches chaotiques, aux signes spéciaux qu’on couvre. Contre un récit mythique qui ne promet pas le futur immédiat. Contre les questions diaboliques qui ne créent pas un mirage.
Pas, contre le flux d’autres hommes au milieu d’un désert dont ils puissent mourir, et qui les sauvera de l’Ennui.
Pas, contre la lune sanglante qui retrace mon approche d’un port, égaré en cris de rosée.
Il précisa :
« Comme j’écoutais cette route, un jeune insouciant, dans un bar d’après-midi où je me réfugiais souvent, pour un seul bruit de cigare rose et de diamant sans tiroir, fredonna :
« Sono l’uomo di questa sera !
Sono l’uomo di primavera !... »
Et alla faire des silences à chaque promenade vers un lit reparu sur le toit des maisons. »
JE M’INSURGE, contre les âmes étranges qui dérivent avec un verre de vin. Pas, contre les animaux qui existeront et les chanteurs mimant une proclamation de corail immaculé, dans un rai de minuscules spots et d’étoiles bleues et de microsillons aux filtres bleus, sans effet de Larsen.
JE M’INSURGE, contre le bord des discours. Contre des monuments à jamais infertiles et dormeurs.
JE M’INSURGE, contre, la dernière fois, un crépuscule qui passe, et fut passé il y a une heure.
La marchande de sel, par sa destinée tissait du sang et guettait la Spagnola Tour que je voyais fatale dans les pendentifs aux oreilles des scaphandriers. Lorsque la nuit entra plus ou moins et que nous pûmes lire gentimment sur l’addition d’un lieu « Ringraziamo per la preferenza », nous menions des aventures sans fer.
Et elle, plutôt seule telle un individu, mêla du sel à un caramel blond qui s’éteint comme une lampe noire au dessus d’une semoule de blé laiteux servie avec un as de trèfle, ou un coq de carreau dans la banlieue de Londres. Et nous donna des…, préférences. Oui ? Et se riva contre moi en dépit d’une séduction nocturne vernie de luxe austère. Puis s’arrêta. Prononça ceci, d’accorder des meurtrissures douces et dorées :
« JE COMPOSE MON DÉSORDRE, POUR NE PLUS ME FAIRE SORTIR À L’INTÉRIEUR D’UNE TERRASSE-CLOÎTRE, AVEC DE GRANDS PARADISIERS, MOI
INFLUENCÉE DE RIEN ».
L’insurgé pensait.
Il n’inclina pas son départ. Il ouvrit la portière du taxi-driver, une fois quitté l’hôtel. Il examina, la science des compréhensions indirectes, des accessoires élégants, que celui-ci fondait scrupuleusement sur des faits inexplicables. Il me proscrivit des magies bizarres avec l’action des femmes, et l’intelligence.
Nous reconnûmes le temps probable de la mer violentée. Il, appuya les peuples parlant de phrases, et d’insistance, aux témoignages les plus sûrs, et aux charmes, de la végétation voyageuse entre les morts. Mais, ceux qui eurent des bras, de jolies tatouées de notes musicales quand les vagues s’enroulent, ou, de brins de glaçons violacés, aux poignets, et, eurent admis les assassins.
Il, expliqua des héritages prodigieux, d’un aspect caractériel d’institution ancienne et presque, inconcevable.
Que, celle ci médite depuis longtemps des lois pour permettre des mathématiques exagérées qui s’altèrent dès qu’attribuées à convaincre.
Afin d’introduire, une société fondée sur le sens et pas, sur croire un ajustement de vérités qui ne fut qu’une persuasion dont on puisse conclure, le Bien et le Mal dans un pays !
Que, de là il y a une différenciation tout contre la force.
Que, cette force arme aussi les esprits peu ordinaires les plus proches. Sans doute parce qu’elle est une sensation venue des ancêtres et non, un simple passage de l’humanité.
Que, dans notre race, les nouveaux-nés peuvent varier mais qu’ils n’acquièrent pas, les possibilités sociales qu’on leur exprime, de chaque époque.
Qu’ils, dominent une disposition compliquée de la Terre.
Qu’ils, heurtent les intentions de puissance, qu’ils trouvent DANS CETTE COMPLICATION COMME UN MONSTRE.
Qu’ils, ne sont pas disposés aux gènes naissants, identiques à un produit, que leur identité n’est pas, produit, que ce produit serait alors lui même inhérent à une masse à cultiver, venue de certains âges et d’autres devoirs.
Il, expliqua des situations qui se soulèvent, et luttent contre des objections très raisonnables. Et très fermées en leur présence.
Il, montra tant et tant, creva tant l’intérieur à son explication, parla tant de signes lézardés à ses tempes, que nous ne fîmes pas une tentative d’instruction, mais des images hautes sur le socle plus tard de ce soleil plongeur tant particulièrement.
Et, la belle apparente, règna sur notre hâte parmi ces endroits, en raison de roches, et du bateau en flammes fracassantes, très inattendu frayant l’orage, et qui avance dedans, avance, avance d’un nœud, avance d’un feu, près d’un feu, et casse les fenêtres d’or or, du souterrain troublant.
Nous restions là. Nous n’avions pas de choses à tenir que notre disparition à bord d’avril actuel et claqueur, où s’en iront les ports.
Et le taxi sembla extrait tel qu’un commencement. Une tentative qui n’a pas lieu. Une arrivée perdue à la tombée des environs.
Il n’avait été quitté de personne.
Et puis, subitement ceci :
Chaque fois que vous verrez une Ile transportée sur la mer, portant des tours inquiétantes inquiétant des défunts, et des falaises réelles qui ne s’enfuient pas, ne négligez pas, s’il vous plaît, notre absence :
N’ACCOSTEZ PAS.
Sardaigne, le 20 avril 2016.
· IDENTITÉS ·
DEPUIS QUE LES DIURNES SERONT BOUGIE A TON AVENTURE OU NUIT A TON RUBAN BLEU, L'HOMME DEVIENT AMI.
Pendant que je me rendais à l’hôtel L’Ancora, me trouvant là, extraire les fêtes intenses de ma poche, et aller, sérieusement attendu, car ayant pris, pour allure, certains moments où je ne savais rien de ce qu’il était arrivé, ma vie tournait. Et eut pour effet, de se dissiper, en faveur de la lune, qui prodigieusement, nous rattachait au monde sur cette rive méconnaissable, et plus belle, que quelques pièces, parmi le rouleau d’un cristal de ronces dorées, incessant, et tel, que je ne le craignais pas. Et, que mes aspirations précieuses recouvraient peut-être, un parti perceptible.
C’est avec cette marque d’esprit que j’avançai, quand personne, ne me présenta Gamascio I., qui existait. Et dont je devenais fatal, une minute où je ne pourrai rien. Et dont je pressentis un portrait, d’autre part visible, dès la date du 11 avril 20… Et même, j’avais remercié mon hôte, de poser sur mon écritoire dans la chambre, une première petite lampe, formée d’un entonnoir que prolonge une ogive métallique. Une raison qu’on comprend, d’investigation des apparences, et d’éclairs légers branchés à des fils électriques.
Autour de moi, nous étions confiés à la mer, incontestable. Non seulement je ne fuyais pas, mais j’abordai sur ce sujet des risques remarquables, et une magicienne presque silencieuse, aperçue aux environs du bateau. En sorte que j’interceptais, et regardais Gamascio I., par la force de l’époque, frappé, des mouvements publics, et du signalement d’une longue vitre.
C’était, un homme hostile à tout. Fermé à l’avance, aussi loin, que son attitude. Transmise.
C’ÉTAIT, UN FORGEUR DE LOIS.
De sa façon, il ne s’agissait pas de lois scientifiques. Mais d’autres lois profondes, où l’identité intérieure semblait rayon personnel, et me faisait rappeler, d’une liberté sans attaque. Qu’on tient dans l’irrégularité de l’enfance. D’où provenait son expérience, continuellement ? Je n’en ai aucun poids, aucun voyage empesé. Parfois son aspect troublait. Parce qu’il était très grand. Et qu’il racontait des allusions anciennes, et des choses aux âges intermittents. Parfois ses yeux brillants, recevaient l’intention d’un tigre, qu’il aurait rencontré, alors qu’il approfondissait momentanément ses solitudes. Je le voyais conclure des arrangements depuis longtemps, avec un jeune garçon enthousiaste et affirmatif, au coin de la rue Roma. Ce fut ce garçon distinct, qui décida sur le champ, d’attirer une magicienne, qu’il appelait, c’est terrible, « Cheta », et de recourir avant midi, à des gouttes de vin rose et une promenade ornementée.
Tout pénétré par ces brèches meurtrières, le long des fenêtres élancées sur les bars blancs, après l’école définitive et la silhouette terrifiée au fer, de la Spagnola Torre, je marchai vers l’hôtel, un anneau d’or à l’index gauche. Je me rendais compte, que la soirée serait plus délicate qu’antique, plus véritable qu’une ombre, plus douce qu’un rugissement à mon épaule, plus casque qu’un chatoiement dans le train pour une jeune fille verdâtre.
Bientôt la nuit tombée, sans faire attention, soupirait, et la Tour divisée en fleurs venait de filer à mes pas. Je plaçai le journal « Nuova » sur une des couvertures du lit, sans le reconnaître, ayant filmé des traces d’obscurité et je finis par lire, à l’endroit où je ne suis plus :
« NON PIÙ SOLTANTO LA CRESCITA SERATA NEL NUMERO DEI MIEI POPOLI MALATICCI E FURIOSI ».
« Un tentativo d’accostare un turbine di colombe senza luce. Ma la pista seguita, resta quella di far potenza scapestrata, accoltellata, una cima trista d’uomo in fieri. La zona pregna d’acqua, nei giorni scorsi, non sempre ha avuto carro della statuaria originata per caso. Sono solo alcune delle specie di uomini, che vivono in queste aree pregiate, e che rischiano di scomparire, invalidendo cosi l’esistenza stessa. È forte la strada alla durata fortuna, di portar il proemio assai prima la società, e d’iniziare al sua scienza, e si gridò adesso a squarciagola a tarda ora. Forse, nessuno si oppone, al passagio della nuova fiocaggine.
E quanto meno, fatto sta che, siamo sequestrati nei confronti dei nostri paesi ».
Non Firmato.
Je cherchai une conclusion, ou un corridor avec les flambeaux et un animal adoré en dedans. Le lendemain, il ne s’accordait plus pour moi, que les apparitions de jolies femmes aux jambes transparentes sous des robes de cygnes, un bouquet de paratonnerres à chaque main. Je déjeunai alors d’un volume de brioche difficile à décrire, une pâte délicieuse et farineuse faite « maison », gonflée de raisins secs à l’alcool fort, cela fera bien cent siècles, et une centaine, que les anges ne dansent pas, et partiront vivants, avec leurs ailes et un miroir sous le bras, sans doute à minuit, heure d’un Samedi Saint, ici, la patience en démolition, les songes invisibles, et le consentement, aux égareurs de week-end. Ceux là qu’on oublie, et qui prouvent toutefois, qu’ils s’illuminent, et n’enquêtent pas, sur des motifs trompeurs. Qu’ils avoisinent des veilles, et fortifient des intervalles de petites flammes, ou plutôt suspendues, et la végétation glacée pour les splendides habits de feuilles, qui tournoient, au milieu de la ville.
Je vais moi-même, en vêtements d’albâtre, choisir un chocolat, et provoquer les éclats d’un télégramme qu’on garde. Et voilà que se produit à mes côtés, comme un homme de rue qui ne reviendra pas, qui ne revient jamais, en application de ce qu’il transfert, là où la nuit s’observe d’une barque, ou du bord d’un précipice et claque, près d’un quai, debout et resté à mes côtés, Gamascio I. Il avait l’air, de disputer une tempête brutale, et des obstacles peu ordinaires. Lui, menacé désormais d’abandon par un rapace. Menacé, d’un vertige qu’il n’augmenta pas, malgré son enfer tourmenté, ni malgré une douce élégance, et des alliances étonnantes.
Le jeune garçon, sensitif et croyant un passant, me tourna le dos, et provint, d’une vaste égalité malheureuse, jusqu’à traiter, les membres de l’orchestration et nous, tout alors, renversés et engouffrés, sous la toiture d’un collier rocheux, lui, porteur de perles en porcelaine, car cela allait parfaitement avec ses yeux noirs, mais nous avertissant tous, ainsi :
« Je reviendrai.
Moi, je ne suis pas une conséquence ou une simultanéité, je suis une constitution, activement sensée, qui prend le droit, du hasard et de la réalité.
Je connais à peu près la langue que j’apprends, mais j’en apprends la nature, et l’intervention de cette nature, dans les manières d’un peuple. Puisque j’ai conscience, que ces manières sont plusieurs. Que ce peuple, fait l’expérience de sa totalité. Que c’est de cette expérience unique pour chacun, que sortent les lois. Qu’il s’écarte, tout à fait, de les donner à d’autres comme être leurs.
J’ai aussi conscience, que nous ne pouvons rompre avec le monde, pour poser un homme.
Mais, contrairement à cela, je ne pense pas dire la vérité et transplanter, le sens de ces temps, DONT AUCUN TÉMOIN NE PARLE. Ni d’en trahir dans le passé, le rôle séculaire, ni aussi du langage, dont on démontre savamment le prélude, l’issue existentielle, et un tam tam.
L’identité résulte, de cette évasion, qui perçoit toujours, et s’introduit à un seul être. C’est parfois, une acquisition, que j’ai examinée, mais jamais, une réduction qu’on essaie, telle une écharpe mécanique, ou la rudesse, d’un pays abattu. C’est un garçon caché. Une porte principale, qui occupe, sa propre opération.
N’EST-CE PAS ? ».
La magicienne confirma. Le choc fut, qu’elle dépaysait, par sa beauté, et des boîtes carrées superbement nouées à des roses, cerclant sa tête, sur des tresses larges et lourdes. Et, qu’on se dirigea beaucoup. Elle fascina à revêtir, bien qu’à moitié nue, les limites puissantes, dont je raisonne ici, et dessina fermement ses lèvres rouge sombre.
Je me soumis à ce que j’entendais, DONT PERSONNE NE VOULAIT, et nous prîmes des bitumes parcourus de chats aux beaux regards solennels et droits, et, une bougie brûlante blanche, entourée de courbes en métal blanches, pareilles, à des buissons froids qu’accompagne, le vin paresseux, pour un dîner, les artères des verres sous des larmes de lampe. On vit, posé à une table de visite, un ruban bleu. Il n’éteignait pas. Et elle le mit dans son sac, enflammant une réflexion agitée, et périlleuse, pour nous permettre des affaires.
Or très vite, le jeune garçon présagea de son succès, et Gamascio I., emporta son accord. Des manteaux immédiats entrèrent et sortirent devant nous. Le soleil tomba. Les lampadaires flambèrent. Une telle aventure continua. Durant l’heure du repas, il s’adressa surtout à Gamascio qui devrait se plaindre, d’exagérer des démons, et expliqua, sans étoile :
« Je connaîtrai une manifestation interne, de l’identité, dont pas un peuple ne sait retourner le droit. Propre à chaque pays, et différente à tous. Dont on a cependant, une confusion essentielle, et, la matière vitale, réunies chez les hommes.
C’est pour cet être seul, et c’est pour cela, qu’il y a tant de problèmes. Tu vois ».
Gamascio, depuis un tel moment face à face avec moi, n’illusionnait pas, à merveille. Il expérimentait pourtant des humains, à structurer, les lois très vastes et celles, autres, jamais vues. Et d’autres encore, particulièrement entichées d’eux. Mais il s’assurait, de vérifier les genres reconnus des descendants, et avérés à tous, et le fer perpétuel, malgré que certains chefs, furent mis partout, en désuétude, et que forme là, peut-être, une signature de l’histoire, je n’en suis pas sûr. Il déclara, avec l’humeur accoutrée qui le caractérisait :
« S’il n’y avait pas de lois, vous perdriez jusqu’au désir de lois. Vous ne seriez pas forcément des esclaves. Vous ne seriez pas forcément des guerriers. Simplement, vous ne conviendriez pas de l’humanité, en tant que genre d’une condition, en tant que droit d’un SI – NI de l’autorité morale, en tant que liberté absolue, et propriété, du droit à celle-ci. C’est pour cela que je forge des lois.
Pas pour la justice. Qui varie tellement, et s’origine si différemment ».
Nous ne savions comment laisser la terre, et remplir une réponse semblable. Mais quand il résidait comme ça, on l’aurait muni d’un passeport, ou d’un manuscrit, pour toutes les mers et les grands continents. Parfois, on n’eut pas idée, dispensée, et fortuite, de son âge. Mais non. Parfois, il riait, d’un cœur divagueur, et ressemblait à un enfant, entre les statues catastrophiques de jeunes filles qu’il ne briserait pas, et qu’il retrouvera, enlacées, au milieu de la soirée. Parfois, il dormait sur l’eau, avec des gestes de vieillard, et le battement d’une vieille aube, sur des lauriers inconnus, et des pleurs, de bateleurs pour starlettes, rabattues, et, sur les charmes muets, à midi.
C’était un homme peu loquace. Peu cordial. Qui filtrait, les visions. Quant à la décoration de ses promesses, seule la beauté, qu’il redoutait, l’influençait.
C’ÉTAIT, UN FORGEUR DE LOIS.
Plus authentique qu’habituel. Peu favorable. Peu commode. Mais qui comprenait la liberté au delà de l’observation.
La magicienne, prise à aimer des signes et des émotions, toutes les minuties dressées de couronnes, et, les lueurs de pierre du restaurant, qui sont secrètes et devenues et refaites, dans les « yeux » de roue qu’embellissent les oiseaux-paons, fit donc allusion de conduire un peuple. Là, parmi, çà et là, le vent glacial, de cette tempête glaciale là. Nous étions mystérieux, et buvions du vin, que fleurissent les raisins roses, au centre d’un crépuscule qu’elle intitula, de sa voix d’huile ponctuée et d’horloge déserte : « Distractions ». On n’hésita pas, à prendre des plats de circonstances impliquant l’ascension du soleil « al Cannonau di Sidurra », « successo replicato dei migliori, e al quale e stato consegnato, il gusto internazionale, legato ai vitigni, e sempre più apprezzato dai Paesi che cercano, i vini sardi, identificandoli con il territorio di provenienza ». On eut la sensation, à tort et sans réfléchir, d’assurer une traversée squelettique, qui n’admet pas l’enfance, et induit les ruines de remparts, dans l’étreinte des ténèbres. Mais Gamascio soudainement, se leva, et nous demanda d’envelopper nos aspects, pour dix minutes, à bord d’un vaisseau lumineux, et de dominer nos efforts, rendus possibles près de lui, par l’attraction, des profondeurs tenant lieu de présent. On le suivit. Il courut péniblement, tandis qu’on criait à son bras :
« Ecoute notre épouvantable instant ».
Puis, il fit demi-tour, plusieurs mètres, sous le réverbère où nous allions, et, sous l’horizon des houles singulières, qu’on n’apercevait plus, qui tendent un dernier regret, inondées de pluies crépies dans les maisons pastel. Après les arranger, ou calquer au crayon les places harceleuses, et, de chaises, et de notes, efféminées et féminines.
Enfin, il remarqua pour nous, ALORS QUE NOUS ÉTIONS TOUS MAGNIFIQUES :
« Moi, je ne change pas, à la suite de notre conscience. Je ne suppose pas, des activités vigoureuses, pour reproduire, comme on fait les esclaves, et comme font les esclaves. Je franchis les modèles, et passe outre les reflets, que l’on procure au monde avec un pouvoir qu’aliènent, les humains.
S’il n’y avait pas de lois, vous ne naturaliseriez pas forcément, l’unité de votre terre, qui est à l’image d’une culture, et l’attribut d’une veilleuse, passée. Vous ne raisonneriez pas forcément, votre égalité, et les moyens qu’elle restitue, à commander, à beaucoup de peuples.
Simplement, vous oublieriez votre naissance, votre droit éventuel, à des pays, et vous appartiendriez aux hommes.
Faisant cela, vous ne seriez pas forcément libres. Vous ne seriez pas naturellement libres.
C’est pour cela que je forge des lois. Parce qu’il y a de vous, passés de plus, les droits favoris de tel ou tel terrain, ou de telle ou telle eau salée, des hommes en propriété. Parmi, tout ce que cette propriété légitime, en guerres personnelles et en lettres. Je forge des lois. Pour, cette liberté là, s’il y a cependant, s’il y a toutefois, à notre connaissance, une terre pour elle ».
Nous jetions des cactus et des croquis, à la Spagnola Tour, sans répéter la soirée, sous un lustre splendidement disparu. Gamascio, habillé d’un crâne blond, d’un jean et d’un pull tombé dans tous les sens, s’empara, sans faire exprès, en trois secondes, du ruban bleu, qu’il tira de la pochette vernie de la magicienne, dorénavant insuffisante, à nous intriguer, mais de plus en plus coquille, les coudes déposeurs, et nous séduisant, car perdue, près d’une nappe évanescente, elle nous attentionna, de caresses, et nous exposa à des manières d’importance, voilà comment :
A l’hôtel, tout cet éclaircissement, venu d’un tableau près de la salle du bar, par longtemps improbable, il y eut été, sans faute, le diable absorbé. Ce tableau, dormeur et mordeur, racontait, comme les autres, dans un paysage de nuit qui n’est pas blessée, ni inquiétude conseillère, ni malade, mais dans un paysage vraiment nocturne, et présentait, oui, un arbre, un oiseau, l’ombre gigantesque de cet oiseau, et un chat noir, éveillé. Ce n’était pas une présentation, dans le malheur de ce mot, quand on annonce faussement un tableau. Il était destiné, à qui brille, le recherchant, dès lors qu’on n’embarrasse pas, chaque route, avant de se coucher.
L’arbre, distinguait, une épreuve libre, au dessus d’un abîme. Le chat noir éveillé, à son socle, un animal de compagnie ou familier, aux sorcières médiévales. Il interpelle encore aujourd’hui, d’un mauvais sort, pour l’oiseau et son âme géante, dans le refrain de cette courtoisie crépusculaire, et de l’ombre lunaire.
Un tableau silencieux.
Je me concentrai fortement sur le Moyen Âge. Le grand intérêt ici de cette longue suite de siècles tant en Europe, qu’aux îles avoisinantes.
Ainsi, l’arbre devint vite UNE ARME BLANCHE, et, l’histoire de cette arme. En effet, pour cette longue période, ainsi qu’on l’abstrait et détache, mal comprise, les peuples vaquaient, aux tournois. Les rois et les princes aussi. Des armes comme le javelot, et même la lance, s’employaient, de façon pacifique, sauf erreur, ou tromperie, ou calcul, ce qui advenait de temps en temps, quoique rarement, et, est encore mémorable. Mais les tournois, les joutes des tournois, consacraient des fêtes guerrières. Un rassemblement donc, le plus souvent, festif.
Par contre, les armes blanches, dites les armes « d’hast », s’appropriaient, aux vrais combats, et assiégeaient, et assénaient, de violentes et fortes répliques, selon un code, et une hiérarchie propre, d’utilisation.
De là, on se servait du glaive, et, ce n’est qu’une fois le chevalier désarçonné, c’est à dire, ayant chuté à terre, de son cheval, ayant été propulsé à terre, qu’on continuait le combat, à l’épée. Et, si les épées des combattants, chutaient elles mêmes à terre, en raison des coups portés, on pouvait, en dernier recours, surtout au Portugal, user d’un poignard, ou d’un couteau.
Mais JAMAIS, on n’abattait un chevalier au sol. Ni on ne l’humiliait.
Le vaincu DONNAIT SA PAROLE OU SON SILENCE, LA PAROLE DONNÉE, et se rendait à pied, et sans cheval, ce qui prenait parfois, de nombreux mois, chez le suzerain dont dépendait, et que signifiait, le vainqueur ou le chevalier adverse.
Pour les amants, les justesses et les terreurs des armes blanches, se traitent autrement. Par exemple, si, dans leur chambre, sur leur couche, sont les amants, et qu’une troisième personne aimante entre, et si, entre leurs deux corps, cette troisième personne voit une épée, ou un glaive, ou un poignard, il ne peut y avoir de trahison. Il n’y a pas d’adultère non plus. Il arrive, que la couche des amants soit un lit de feuilles fraîches, protégé, à l’abri, ou surmonté d’un abri végétal, hors d’un château, ou hors d’une maison.
L’arme blanche, entre les deux corps, témoigne pareil. L’exemption de l’implant, et l’absence d’acte sexuel. Il y eut çà et là, des manquements falsifiés, des falsifications de cette situation. Mais en fait, on n’en connaît très peu.
L’arme blanche est donc journellement, au diapason de ces siècles là, un symbole de MORT, ET, à la fois, un symbole de CHASTETÉ.
Voilà ce que ce tableau, offert à la vue d’un séducteur de poids, d’un pèlerin, ou d’un vivant, me fit répondre, je ne sais pas comment, sans les caprices d’un dialogue.
Gamascio, ne prit pas mes paroles pour une absurdité.
La magicienne, nous persuada d’effectuer une exception, et de racer des bijoux, dont la floraison n’imitait rien. Alors, nous la considérions. C’était une tige, agrémentée de pétales, et de royaumes flottants, finalement dissociés, et démunis, par un flux éternel de bougies sanglantes. Je gardais pour moi, qu’elle ciselait, et prévalait, un fin anneau de fer, ou d’argent, ou peut-être en platine, ou en or blanc, à son index gauche. Et ciselait d’un ciseau, des aliments de mer. Ou des aliments de blé, qu’elle décorait d’une fourche. De nouveau partis, nous escaladions la rue, pour rejoindre et retracer tout, et nous refermions, nos motifs d’intelligence, en résonnances d’exil, et, de crème noire au caramel poudré, sucre glace, tel un givre par dessus.
De nouveau obscurs, nous écrivions debouts, nous écrivions des mots, avant de descendre le chemin près de la Tour, imprégné de grappes de palmiers sages répandant, des gammes, depuis un rez-de-chaussée, et des agnelles au front cerclé de fleurs graves, par les portières des voitures.
La Nuova privilégia, avec nous, et une nouvelle signification :
« CROLLANO LE CAVALCATE E LE CAVALCAVIE, MUOIONO GLI ADDII, PER ESEMPIO, E STA, LA NOSTRA RACCOLTA FUTURA, ANDATA INCONTRO A UNO.
FIAMMEGGIA IL FREDDO PER… FRATTANTO ».
« Crollo colpose di costruzione è il reato ipotizzato, al momento contro ignoti, per un fatto gravissimo, che poteva essere molto offensivo. Soltanto per fortuna, non ci sono morti e feriti. Ma il crollo ha causato comunque, gravi danni. Non è assolutamento accetabile, che costruzioni che hanno più di due anni, possano esporre a questi rischi la popolazione. Devasterà a le coste, e il paesaggio.
Non c’è nulla di urbanistico, servirà solo far girare, più fortemento, più potentemento, le betoniere. Con la scusa dello sviluppo umano, sarà consentito costruire, altri alberghi sulle rive. Ampliamenti di ville, o nuove lottizzazioni. L’intervento è destinato ad aumentare i flussi barbari. E l’urbanistica interessa tutti.
Oltre a ciò, l’estate, che si è affacciato sull’acqua salsa, e che ha portato mille e mille uomini nell’ isola, si congeda, a partire da maraviglie senza soffi.
Non viene annunciato dalle previsioni meteorologiche. E qua, non fà eccezione. Un fronte freddo, associato a una massa d’aria di origine artica, dopo aver attraversato l’Europa Settentrionale e Centrale, in queste ore, sta raggiungendo, il paese per poi, propagarsi, sul resto del mare.
Le consequenze più rilevanti, saranno une veloce, ma attiva, fase instabile, e anche un marato rinforzo dei venti, e un massiccio calo delle temperature. Già da oggi, sono previsti cieli nuvolosi, e piogge sparse. Neve sotto dei nubi sfumati. Nebbia vista, nel fusto degli alberi.
Anzi, perdiamo ogni anno migliaia di residenti. Forti sono l’emigrazione, e le paure di nascita.
La sciabolata artica, si è abbattuta. I bassi gradi, hanno bruciato, i germogli già sbocciati, senza pioggia, e con il caldo. Non possiamo, l’affermazione dai diritti cosi. Ai cucchi, e parentele rischiose, spetta il fondamentale compito, di difendere ed estendere le grida d’urgenza. Gli approcci sono inseguiti, grazie alle lettere. Ma si goda appieno di questi tardi.
Della conoscenza del passato, dobbiamo, queste siffatte conquiste.
Siamo delusi, amareggiati, preoccupati, ed in sull’ imbrunire :
È peggio!”
Non Firmato.
Nous étions épuisés, à fermer les pages de ces « papiers », et des hommes au loin, qui succédèrent, sous des constellations d’îles. Les nefs s’éternisaient et le jeune garçon de la rue Roma, demeura. Il ne partait pas. Puis, il ne parlait pas. Il suivrait des destins, et un climat chaud et violent, sans pluie, il irait avec un bouclier cher et survenu, à l’entrée des jardins, du soir, de chaque enneigement, et des bars que régentent, les lanternes, avec des machines à café.
A la fin de son souffle, drapé d’une volatile cape beige, et d’un jabot de plis ocres et vert-bouteille, l’allure hermétique, le teint clair, il persévéra, après notre lyre, et le passage d’un chat noir, qui ne pleure pas, sous les astres, ni sous les lampes folles, rappelées, à notre référence demain, et à notre dernier prélude musical, issu d’une ville brûleuse, ensorceleuse et jolie, ou glace, sur l’onde.
Il, opposa, sans s’éloigner de nous :
« Je reviendrai.
Moi, je me suis construit, et me construire, pour une totalité du monde, est une superstition. Proche de la magie.
J’ai conscience que je proviens, chez les hommes, d’accord, et que j’ai acquis, mes pays, mais je ne peux me reconnaître, dans un monde que je suis incapable de créer totalement. Et dont j’ai aussi conscience, je l’ai déjà dit, d’avoir besoin vital, pour attache et pour liberté.
Toutefois, par mon identité, je me suis recommandé, tel que cette totalité, qui fait si peur du monde, en tant que visage scientifique.
De là, il n’est pas simple, d’arracher, d’extirper, un droit, à cette confusion.
Puisque, pour en être, le monde n’est pas mon identité.
Même si, avant les pays, les ancêtres ont expérimenté sur tous, une statue. Les ôtant de leur nature, mais pas, de leurs premières histoires. J’ai déjà l’âge de raison. C’est déjà pas mal. Ce don, puise et retrouve, une des irrégularités de l’enfance, et surpasse les familles, sous le rapport, qu’elles ne se penchent que bien plus tard, au profit des peuples.
Or en tant que propriété, je peux exister, nous sommes constants sur ce point libre.
De plus, je ne suis pas seul. Quant même, cette identité fût seule. Tu vois.
C’est pour cet autre homme, qui se constitue ancêtre, c’est pour cet homme compliqué, et qui s’invente tout différencié comme il est, dès qu’il a une identité, et dès qu’il héritera, possiblement, du monde, du monde agi, dans sa conscience, c’est pour cet être seul, et c’est pour cela, qu’il y a tant de problèmes. Tu vois ».
Gamascio, certain parce que la foule tremblait, et que la brume amenait, dans les troncs houleux des cyprès, des similitudes imprudentes et défigurées, dont on ne se lasse pas, aussi parce que, la rencontre fut oublieuse des secours implacables, et fut ardente, mais la séparation irréelle et palpable, soutint le jeune garçon, qui ne vacillait pas.
Il ajouta, sachant pourquoi, d’une voix définie :
- « C’en est un ». « C’est un homme ».
Et débuta sa disposition dans l’usage, de la soirée.
Ainsi :
- « C’est un homme. Sous une lune non disséminée ».
Notre nuit la plus récente, fut diverse, et très évoquée. Abandonnée aux excès véritables, et à la découverte des clartés, qu’on aime, dans une cache comparée à des ailes, et, sous le signe conquérant d’une érotique en proses, où se scelle, un drame pictural, avant qu’il ne soit fête. D’où, la désignation chargée et favorite, du portrait du chat noir éveillé, de l’arbre, de l’oiseau, et de l’ombre gigantesque de l’oiseau, en pleines préférences, et musiques nocturnes.
Ce fut tout. Les bougies allumèrent des exactitudes explicatives. Le lendemain, un jeune éphèbe particulier, sur l’esprit d’un cortège, très surgi, appartenu, et couvert, bref, très placé, en récit détourné, chanta, d’une note inconnue et peu distraite :
- « Buon giorno a tutti… ».
Plus rien. Nous distribuâmes sur lui, notre interférence de diamant, et les amants de toutes sortes, ou de femmes.
Et maintenant, voici encore, venu des siècles :
NE COMPOSEZ PAS, NE TRANSIGEZ PAS L’IDENTITÉ.
Malgré, les saillies représentatives et enrichies, desquelles on domine les pays, par une soudure cultivée, une culture aboutie unique, et, malgré les terres contaminées, d’une série de parentalités, dont les naissances s’appuient, en chiffres infinis. Malgré, les relations sans dommage, qui se heurtent, en claustrations amoureuses, et ne veulent plus, se comporter, ni en branche de la raison, ni en rite de la raison, et, pour les peuples, s’achèvent, d’elles mêmes.
Quand nous aurons une dotation surprenante, jusqu’à nommer, des sorties spectaculaires dans un rideau, ramassé, sur un vase, et, en arrière, des forces, sur… l’orage identique, et des glaçons parfaits, qui ne sont pas fondus, vous regretterez plutôt, notre affaire, et interromprez, de rares et grandes passagères,
quand il faisait frayeur et les humanités d’exclusion.
Sardaigne, le 1er mai 2017
LE DANGER VOUS DÉCHIRE,
ET M’IMPORTE UNE TARTE
AUX MÛRES TROP NOIRES.
JE NE VIENS PAS VOUS DIRE ADIEU, CAR LES MORTS INCONSOLABLES RISQUENT DE PARTIR, SI LA NUIT CHANGE.
ET SI LA MER CHANGE, TOUTE NOTRE PRÉCIEUSE, OU ESTIMÉE TYRANNIE.
C’est ainsi que je marchais aux alentours de ce pays, installé cette fois avec mon grand étonnement. Je voyageais un peu dans la chambre, je ne dérangeais pas ma bibliothèque lointaine, et j’escaladai cela : désormais, aucun embarras. Cependant, les bars s’étaient échappés, et pour accomplir mes connaissances il y eut un désordre joyeux, jusqu’à cette période.
Le jour, je dénouai la beauté des demoiselles aux longs cheveux bleus, par quelque mode, à ce nombre des gardiennes de ma métamorphose. Des rivières méduses glissant leur élégance squelettique. La nuit, j’accidentai mes lubies et voulus me vêtir d’un blouson blanc et d’une éloquence, par exemple absurde.
Je repris mes rencontres, et une autre personne, dont nul n’empêcha la bizarrerie. Après avoir survécu, à la société de ma libraire, plaisante et charmante, répliqué un apéritif cérémonieux et composé mon cerveau, je revins, ne pas désoler, cette originale des instants. Cette autre, sur les catastrophes des rues futures, si ce sont elles, et si elle, en tant qu’autre, se timbre pêle-mêle, sur la foule des maisons et des écharpes de sécurité, s’appelait Firica. Car comme le porphyre, elle ne se destinait pas sous les cieux, et hantait encore moins, la couleur rouge, de roues de pierres jadis turquines, ou bleuies.
Nous n’avions pas de harpe, et une malédiction saisissante, quand le temps dégringola des murmures du vent. En compagnie fréquente de sa venue, s’approfondissait, pour les tentatives de démonstration très brève, un homme susceptible, nommé Gaio par conséquence, de sa gracieuse vivacité, et d’un enjouement qui ne soit pas algébrique, et qu’il cédait, au monde inévitablement, affirmant, une solution troublante, laquelle, ne se calculait pas, et modifiait partout, relative à rien. À l’entrée, d’un aigle aux deux yeux jaunes, d’un millénaire, les ailes périlleuses, et de l’hôtel, un petit déjeuner, mystère d’appétits et de dons flamboyants, je me souvins, d’une tarte aux mures carminées, provoquant sa simultanéité autrefois ici, parmi profusion de gâteaux, et à ce lieu d’une pensée esthétique, et d’une prise de café. Mûres embrasées, fondatrices aujourd’hui, et absentes, des douceurs de la table.
En effet, nous récitâmes des visions. Les asphaltes regardaient une déambulation de reptiles. Souvent, pour ne pas en rester là, nous achetions La Nuova et l’épinglions, de portable à portable, à fermer les gueules des bêtes dans les jardins de minuit, ou une poignée de thym proche, des pailles et du cristal. On remonta cà et là, un des titres :
« AZZARDARE IL FRENO SI RISCHIA LA STRAGE. E FORSE LA TRAGEDIA.
Scritte vietate e vernice bianca, su uno dei vecchi muri, un atto certo in pieno giorno, per contestare la scelta, nota con formula libera. Alcuna sigla. Senza luce del sole in stato di libertà. Senza firma. Poi, le ricadute positive saranno quelle, di valorizzare l’intera scrittura sfiorata, dei terreni.
Il freno a mano sganciato, une vettura scritta, che percorre une cinquantina di metri in discesa, senza guida, scavalca lo sparti traffico, e poi, si schianta, sul portone di un palazzo, dopo avere travolto uno scooter, e un’auto in sosta. Tra la gente che urlava. I fatti non sono ancora accertati con precisione, anche attraverso le testimonianze. Non abbiamo avuto oggi un quadro più chiaro della situazione ».
Non Firmato.
Firica descendait des corps en fonction, et le règne des rois ou d’une fleur baroque. Elle transperçait, les vêtements de quenouille, tout à fait adroite, alors que Gaio méditait, tel une icône qui sourit, paré de ceintures, et de vestes à la longueur pleureuse, un journal hermétique. Il portait des regards clairs et elle, de l’eau glacée, au fameux soir. À la suite d’une nouveauté, quelquefois, elle affirma ceci, et une répétition d’animaux, pour s’évader de l’assemblée silencieuse, des passants stoppés, devant une ardoise :
« La liberté et une relation des arts de plus, la liberté qu’on avise exempte, d’une égalité convenue, et rendue aux peuples, les aliène. Ils ne savent qu’en faire, ni comment en sortir. Car voilà une naissance de beaucoup de gouvernateurs :
ils ne les aiment plus ».
Je n’étais pas idiot, d’après ma manière, mais Gaio se renforçait, pour contredire, la quantité déjà très réduite, d’un choix. Il n’adoptait pas, l’interprétation, et ce flux de paroliers diplomatiques, dont la transition, suivait généralement des bornes peu probables. Les signes insuffisants, aux profondeurs, se rapprochaient de nous, et nous nous laissions retourner vers l’eau, et la complainte préoccupante.
Près d’une fontaine, je comptais sur cette opération, d’ouvrir l’avenue, aux gens qui s’en vont. De ne pas ouvrir, l’avenue, aux gens qui s’en vont. Parce que oui, elle se situait toujours, en conformité, même contraire quoique rarement, avec la réflexion actuelle, lorsqu’il y en a une.
Nous prîmes, sans craindre la solitude et sans traîne, les abîmes, parmi notre affliction le long des pas veilleurs à la dérive, chaque circonstance, dorénavant, et un verre d’acqua frezzante, pour changer de lieu. On entendait des lèvres. Des monnaies, des sens de cannelures, du bambou et le vent, dans les tentures transparentes, les plastifiées. Des vainqueurs de lever de soleil, avec de jeunes satyres, moitié-homme, moitié-caprin. Les salles séparées par des vitres, les fenêtres intérieures. Et les salons taillés, tremblaient en cris, au milieu des amphores, puis d’une végétation dedans. Un désert enfoui.
Une femme blonde me demanda du feu, tant je gagnai que l’air souffle. Je gardais très souvent sur moi, un briquet d’occasion, un briquet fantaisiste à la construction du présent, et j’allumai sa cigarette d’un geste sûr. Ce fut tout. À 17 heures les lanternes en suspension, s’électrifièrent, éclairant un vieux gouvernail de bois, accroché au mur, par deux clous et deux chaînes rouillées, considérablement placées, quand je quittai le bar.
Firica et Gaio se déplaçaient spontanément par le sort, combattant les pare-chocs. Pas de soustraction. Firica, meurtrie de nos efforts maximum, procura un abri. Notre affaire, face aux lumières publiques, elle discourut, doublant les avantages précédemment offerts, grâce à notre expérimentation, à la découverte de son attention, de cette façon :
« Il y a donc, des esclaves modérés. Ils ne se partagent pas, le modèle humain, ni la rébellion. Ils associent une nature, et rien d’autre. Cela aussi c’est absurde. Ils ne se posent pas très clairs ici, n’échangent aucun acte, et renoncent, à toute chose guerrière. Ils abusent de la propriété, qui les rend égaux. J’envisage de dire, puisqu’ils tombent sur nous depuis si longtemps oui, qu’ils sont promenés, qu’on les envoie promener, d’une liberté à l’autre. Et, qu’ils ne s’en fichent plus. Que peut-être ils ne s’en fichent plus ».
Malheureusement.
Ses longs cheveux bleus, n’évoquaient pas des feuilles ni des brindilles, pour les vautours parqués exhalant les tuiles, mais un héritage charnel et instruit, dérisoire ainsi qu’une réconciliation. Gaio, au bonnet de roseaux contre le doux alyzé si glacial, le pantalon noir bouclé de verroteries discrètes, l’attira près de lui, parce qu’il séduisait les femmes sonores. Il la secourut fermement :
« Je conclus que les chefs dirigent un empire, de la modération des dieux ? Moi, je ne décline pas, gigantesque, supposer les peuples. Pas, cette prétention. Pas cet usage de mes mœurs. Il me paraît bien, qu’il ne me plaît pas toujours de m’associer. Est ce à dire que je rends faisable disjoindre le chef et la société ? Aucune ville libre ne voudrait reconnaître cette disjonction, qui pourtant prévaut presque dans chaque pays. Voilà, Firica. Mais tel que toi, je trouve les êtres libres inconnaissables ».
On parcourait déjà les palmiers, un à un, qui nous reaccordaient des adieux pareils, à des confusions vers l’hôtel, dont une artiste, avait repeint l’ancre sur le rez-de-chaussée, à droite du hall, et orné celle-ci, de feuilles, afin d’attache à un bateau perdu, on ignorait où.
Le lendemain, notre collation du matin, nous pâlit, de nos dents, les mûres nuitées, et les fruits de rivages, à notre nappe et service particuliers, avec le numéro de rosée, de parfaites grandes salles closes, où redormir. Elles venaient sans corail au début, près du chauffage, la flamme apparue, encadrée, de la toiture.
À ce moment, je déchiffrai le Moyen Âge, sans me recommander au large d’un horizon. Je remontai cet itinéraire de pluie, de rocs et de hiérarchie, pour les amants et le mûrier.
Dans un récit de vers du 12ème siècle, vers reconstitués du 12ème siècle, en vieille langue française, et dont je ne crois pas qu’il existât, par commerce, une traduction, et dont on possède un parchemin, du 13ème, mais, dont le plus intact qui nous soit parvenu, se dresse et se supplée à Berlin, on repensa cela, habituellement, sous l’appellation chagrine, et un peu hors du sens, de « L’ovide Moralisé », titrée « Pyrame et Thisbé », ou encore plus fréquemment, « Piramus et Tisbé ». On appropria qu’il y eut en France, au 12ème siècle, une stricte Ecole d’imitation de l’Antiquité, et que la véritable histoire de Piramus et Tisbé, s’y comprît, très répandue. Malgré le lai perdu, d’Orphée, et d’ailleurs antérieur à Marie de France, qui en parle dans un autre lai. Ou malgré, un conte de Tantale, mentionné dans Guillaume d’Angleterre.
À la fin du 12ème siècle, les traductions d’œuvres antiques sont des remaniements, ou des proses, comme ceux de « l’Art d’Aimer ». Là, se séparent d’autres intentions, et d’autres milieux. Or, on peut dater. Il s’agit donc bien des amants du début du 12ème siècle et non, de la fin du 12ème siècle.
À Babylone, deux enfants, de rare beauté, et de haute naissance, l’un Piramus, l’une Tisbé, furent frappés du dard d’un fer. Celui de la lance amoureuse.
À l’âge de 7 ans.
Ils ne purent en guérir. Échappent de peu, alors qu’âgés de sept ans, d’en mourir. Ils ne mènent rien, mais sont saisis de grandes peurs, ils soupirent, se plaignent, jeûnent, et jouent ensemble. Le désœuvrement, sans ce jeu, leur est un mal. Toutefois, ils revêtent une nature merveilleuse. Hélas, sur le conseil d’un serf, on décida de les séparer. Cela dura toute leur vie.
Ainsi ils ne pouvaient plus, se revoir. Rien ne les apaisa.
Ils atteignirent l’âge de 15 ans.
Alors dans les pleurs, ils n’eurent plus de repos. Se tourmentent jour et nuit. Piramus, supplie en lui même Tisbé, de le décharger de sa propre mort. Il en appelle au Dieu Chrétien, d’éteindre ce feu puissant, dont sa chair est percée. Pourtant, il va au temple de Venus, implorer enfin, d’une parole à Tisbé. Et Tisbé, elle, se lamente de son cruel destin, puisque, de hauts lignages, les deux enfants ne discutent pas, et ne parolent pas, entre eux. Or personne d’autre qu’eux, ne les tente en compagnie. Ils s’évanouissent, et perdent connaissance, à cause de cette situation.
Les palais sont voisins. Tisbé, enfermée dans une chambre. Il y a dans cette chambre, une étroite crevasse. Les deux adolescents s’en aperçoivent. Rendez-vous caché, à la paroi crevassée. À voix basse, et chuchotée, ils se retrouvent le soir, et parviennent à se présenter par cette fente. Aimer vainc toute chose. Ils en appellent là encore, au Dieu des Chrétiens. Et décident, de sortir de la ville. À minuit. De se rendre chacun à une fontaine, sous un mûrier.
En secret. Il y est dit des choses de révolté. Et difficiles. Que la volonté ôte la raison.
Tisbé seule, cette nuit désormais, et sans plus redouter quoi que ce soit, quitte sa chambre. Elle croise un chat-huant, qui ne l’effraie pas. Elle s’assied, sur le marbre de la fontaine, sous le mûrier. L’amant n’arrive pas.
Un lion s’approche.
Un lion, signe d’instincts, d’orgueil et de loyauté.
J’ajoute qu’on se remémore, Sainte Blandine, livrée aux lions, et à laquelle ceux ci ne firent pas agression. Mais ce lion, le pelage ensanglanté, cherche l’eau de la fontaine. Tisbé, sans le craindre, fuit aussitôt, et prie que cet animal ne la connaisse pas. Elle oublie sa guimple, dans sa fuite, sur l’herbe.
Je précise ici que le mot guimple, vient du francique wimpil, et qu’il s’agit, au 13ème siècle, d’une ancienne pièce de toile, encadrant le visage. Longtemps conservée, dans le costume de certaines religieuses. Puis, au 16ème siècle, c’est une lingerie très fine, recouvrant le buste, et que les femmes personnifiaient, sous une robe très décolletée. Ce sens, moderne aussi, après la disparition du l. Dans le mot guimpe. Mais nous sommes au début du 12ème siècle. Une guimple est un simple ornement de tête. On l’origine, dans la chanson d’Antioche, et dans le glossaire de Glasgow (wimple). Un guimplé, un salé, fut quelqu’un ayant attrapé une maladie vénérienne. La vérole ou « verolle ». Mais aussi, surtout en Normandie et en Bretagne, quelqu’un qui payait l’impôt sur le sel. Le prélèvement de cet impôt sur un Normand ou un Breton.
Le lion boit à la fontaine, touche la guimple au sol, et l’ensanglante. Piramus arrive. À la clarté de la lune. Obscure fortune. Il prend la guimple foulée du lion, et croit que c’est le sang, de son amitié, et de Tisbé.
L’eau de la fontaine, se trouble. Le mûrier, devient un arbre, de détresse et de lamentations. La guimple, un deuil. La lune, une vérité et une tristesse. Il s’en réfère à la mort. Il exhorte le lion pour qu’il le tue. Puis, il s’en réfère, à son épée. Le mûrier n’a plus qu’un sens lugubre, un sens infortuné. De son épée, il se transperce le corps, de part en part. Le fruit, la mûre, n’est plus blanche, à Babylone, mais changée, et noire.
L’arbre, de blanc, se transforme en mûrier noir sanglant.
Comme la tarte aux mûres rouge-carminées.
Tisbé revient. Elle se rend compte que le fruit du mûrier, est résulté noir de sang. De l’épée.
Son ami, mort transpercé. Elle s’évanouit. À la fin, reprenant ses esprits, elle extrait l’épée du corps de Piramus, déplore leur jeunesse à tous deux, s’adresse à la nuit, de témoigner, à l’épée, de la tuer d’un seul coup, et déclare un seul tombeau, pour eux deux. Elle évoque Piramus. Annonce qu’elle est guérie. Le jeune homme, entr’ouvre les yeux une dernière fois, ne peut parler, la reconnaît mourante, et perd la vie. Tisbé, attrape l’épée à deux mains, et se tue.
On racontera, un peu plus tard, qu’un mûrier protège leur tombeau
Ces versifications violentes, permettent, le caractère des coïncidences. Le fil conducteur est le rôle du serf. Un personnage non libre, à peine ébauché, et fatal.
L’Argumentation Poétique, ne se considère plus, de l’Art d’Aimer.
C’est pourquoi, le genre, avant et après minuit, a décomposé le parti pris, de ce qu’on a jugé, définitivement, du nom scientifique, de « l’Ovide Moralisé ». Le lion, à l’ombre des inventions, commis, secourt un fait, une expérience du Dieu des Chrétiens. Il ne prête pas, à sourire.
Or, d’après ce point de vue, Firica s’arracha, à celui qui devient. Je la circonstanciais, proche de Gaio, dans la rationalité barbare de la chambre. Ses longs cheveux bleus, fleurissaient en nattes frigorifiques, qu’elle piquait de glaçons, procurant l’intelligence d’un fil de fontaine, dont le désespoir perlait, et confiait, la Spagnola Tour plantée non loin. Puis, des aiguilles phalliques, défiant en évidence les lits, et les moments braisés. Par des mots, de cordes et de lieu, Firica drapée de blanc, et d’un clips de volière, se dirigea ainsi :
« La liberté qui nous constitue, prospère et s’attente, désordonnée. Oui ce sont toujours des hommes, qui tissent, les membres des hommes, et non pas des droits d’Etat. Les combats ne finalisent pas, ce moyen. Ils autorisent des ennemis, et ceux ci ne se proclament pas, d’une autorité, pour être libres ».
Puis elle s’enveloppa, de conquêtes, et remarqua que la cloche, sur les ruelles, osait un problème avec les demi-heures.
Moi, je courais vers la boîte à lettres, pour du courrier à des amis anglais, et à d’autres, obligatoires, et un homme mûr, ridicule, sortant d’une petite voiture, m’empêcha, mouvant à ma question, que la boîte voisine, fonctionnait. Or, elle ne cloisonnait aucune fonction. Je semblais ainsi, près d’un jardin d’enfants, et je fournis ma position, à un groupe de beaux jeunes gens affalés, et inactifs, sur un banc, à quelques mètres. Eux, m’envoyaient consacrer une boîte valide, tout droit, au haut d’une pente, à l’autre bout de la ville. Je ne les crus pas. Je les naturalisais toutefois survenus, sympathiques, contrairement à l’homme mûr. Et ils se mirent à rire.
Je retournai au bar-refuge de l’après-midi, et duquel, j’ai déjà fourni ici l’importance, finalement, eux, m’expliquèrent. Toutes les boîtes à lettres avaient été saccagées, et il fallait se rendre à la poste, ouverte à certaines heures. Et, sans fouillis d’échec, adoptant des timbres, déjà posés.
Je ne décrivis donc pas cette probabilité, mais cet exercice. D’ailleurs, La Nuova théorisa, la mobilité des raisonnements, déplaçant l’endroit intérieur :
LA CRISI NELL’ ISOLA-BASTA ASPETTARE AIUTI.
Anche negli uffici piu vicina al Vaticano, si guarda CON ANGOSCIA ALLA SITUAZIONE. Agire per i tanti desoccupati. Ma in Vaticano, che possiamo offrire ?
Oramai il tempo degli interventi dall’esterno, è finito. Il citadino ?
Dove vuole andar a parare ?
AFFLIGGE LA NOSTRA TERRA.
Un altro nemico storico, è la povertà. Certo, ancora una volta, è la « mano pubblica ».
Una scelta discutibile ?
Spaziare, dall’ambiente all’archeologia, dall’edilizia alla cultura, all’archivazione digitale ?
A quel punto, subito dopo ci sarà la selezione.
Nessum lasciato indietro ?
Portatemi il lume ».
Non Firmato.
Le citoyen prenait d’autres traits.
Je me débattais avec peine, de le perdre, blessé sur ce banc, lorsqu’une musique droite, d’un rappeur français, prisé ici, parmi d’autres rappeurs d’Italie, se renouvela, comme ça, en passant devant un établissement, où je lisais mon journal, se répandant, dans la matinée :
« Est-ce que je t’aime, j’sais pas si je t’aime, tu n’es pas la même, à ta manière,
J’ai fermé les yeux, sous mes paupières : l’encre noire éternelle,
Tu n’es pas la même,
Je clame te voir même, dans un sommeil éternel… »
Cette disposition, dont le chanteur m’est inconnu, se hissait, étonnante et emportée par sa modernité, marquant Piramus et Tisbé, pour moi, les deux amants sous un mûrier épanché, issu, d’une tempête au bord des rideaux silencieux, et d’une habitude refermée, aventureuse et incassable.
Firica, persécutait notre nuit, et nous réussîmes à en vivre et illustrer, une autre, avec d’autres matériels, et d’autres corps, insensés aussi, mais que je n’imaginais pas, et qui se taisaient.
Nuit profuse, étrangère, délicate en fixité, avantagée d’accès à des plaisirs accoutrés.
Le soir d’après, en vigueur, nous transportâmes notre privilège, et nos détails irréfléchis, au restaurant.
Bien des instructions transplantaient tout. Et puis, les bougies disparurent. Je ne numérote pas pourquoi. Leur socle muraillé de semblants de coraux en grand blanc, aussi. Le pain, lui, se conjuguait à chaque tablée, et restait.
Une lumière bleue, piquait l’entrée. Après tout, il se dessinait là, un restaurant de poissons et de crustacés, et mes allergies aux produits marins, m’astreignaient, au minestrone, et à une viande masquée, des profondeurs animales, desquelles cendraient, à côté, une porcelaine de pommes de terre au four. Gratifiant un délice. Et, une allusion, dans le labyrinthe illuminé, où se prêtaient, à des verres semi-précieux, de jolies demoiselles affairées au cadre culturel, au vin, et à la découpe d’une ou de plusieurs pêches, recueillies.
Firica, devenue égale, à sa naissance, continua, d’un aspect favorable, aux dernières âmes :
« Nous devrons donc exister, sans exiger aucun équivalent ? Sans échange non plus.
La liberté a quelque chose d’identique.
Sans rapport à cette identité, elle implique un mal ».
Gaio, adouci et secoué, à la fois, oubliant les règnes, veilla, à son secours :
« Tu aurais une nature insurmontable. Libre, je ne supporte aucune critique. Evidemment, j’ai pris possession. Mais je suis total, et je t’aime au sortir de chez toi.
Et, je n’ai pas envie, de contribuer à des accords, sur l’origine, quels qu’ils soient, parce que je ne serai pas d’accord, et sur les monstres ».
Je me sentais épuisé, en écoutant. Il n’y eut pas de malédiction, les nourritures ou l’alcool, et sans chandelier, le resto brilla, lieu de foule, de communications. Or, Firica posait des précipices, d’une terrible solidité, contre les douces lueurs des murs. Gaio l’accompagna, donnant époque à son inquiétude, et à la solennité de son phrasé. Pour…, rejoindre l’hôtel, où l’hôte nous attendait, ainsi que ceux des manifestes sur la nuit, vus il y a trois jours. Et la petite rue dans son cours, influença l’obscurité. Nous devions tous partir dans peu de temps.
Maintenant, si vous imitez une longue assemblée, de spectateurs disgracieux, et d’apparences impuissantes à l’action, vous proviendrez tôt ou tard, de leur négligence, et de leur incompréhension volontaire. Ou de leur rupture artificielle. Ou de leur exemple pressé.
Alors errons, à travers notre gazon flottant dans la route de l’eau, et accompagnons nous de notre existence.
Sardaigne le 7 mai 2018
L’AFFIRMATION DU SECRET
POUR UN ANIMAL
QUI VA FERMER LA PORTE
Je quittais une île pour une autre un samedi, et cette manière d’évasion du jour. Sans savoir ce que je voulais faire à des conclusions secrètes, ni aucune issue sur ce point. Dans la chambre au delà d’un port inévitable, je constatais du dedans les efforts effectués probables en incrustation d’une raison inappréciable.
Mais si vous hasardez une telle distance, vous n’aurez plus accès à mon portable. Et c’est ce qu’il s’est passé. C’est la preuve si remarquable de votre incompréhension. Adieu donc les dépositions erronées et leurs écoutes tendancieuses. Vivent mes désordres incohérents et votre liberté, à vous inconnus.
Je m’enquérais de La lunaria, une plante lunaire, une belle histoire que je n’entends pas, et d’un triste meurtrier dans l’intérieur, nommé Parvente, c’est à dire, apparent, visible. Tandis qu’un tremblant ennemi vulgaire et sans motif, assassinait des spectres délicats en sifflant dans les escaliers. La lunaria, une femme bondissante dans un miroir, se logeait à nouveau, sur une fontaine près de l’eau de mer, et fermait aux intrus son innocence, et son nom, sur cette affaire qui traverse le mur, installée quelques instants. Parvente s’expliquait, en orfèvre de fenêtres.
Or par ce quartier on bornait le passage, pour trouver corps. On disputait d’un parti, d’un renseignement aboli, d’une voix, et même d’une torta alla stracciatella au petit déjeuner, cake ponctué de brindilles de chocolats noirs. On ne favorisait pas, les individus du moment. On leur adressait des énigmes distraites. D’un coup, on regardait du feu et des coffrets. Vraisemblablement on se rendait au restaurant selon l’alerte météo tombée par malheur, et par vent, sur le carrelage.
Et il y avait des fugueurs désespérés qui s’appuyaient sur nos derniers gestes tranquilles. De jolies lampes aussi, nouvelles, pareilles à des cristaux posés en éclats contre le bois clair de chaque table. Lunaria arrachait sa fureur d’un accent qui menait le fil conducteur, vers une connaissance en retrait, le hâle intolérable à la parole de prix. Elle séduisait des palmiers, et donnait la main à une grande beauté. Les yeux verts de végétation. Le cuirassé lui, mémorisait les catastrophes rayonnantes. Affichait d’adoucir les clairons.
Parvente, à cette soirée, s’emportait. Je crois qu’il mesurait son oreille près des dunes. Après une soupe de légumes plus qu’à l’ordinaire, nous eûmes une cathédrale prononcée, et des rayons, du vin soufflé, des roses, du rouge, le reflet d’un poème qui s’éloigne extrêmement, chante parmi les charmes, à l’abri des ailes de la pluie, et, une viande al sangue, habillée, d’une assiette d’asperges bleues-foncé, à la droite et la gauche orangées de carottes.
Lunaria distribuait une sorte de bienvenue dans l’armoire d’un pays ancien et le cuirassé ne s’y intéressait pas, nous sollicitait de qualifications détestables pour qu’on parte. Parvente cherchait un triomphe en plein les mots, le vocabulaire, une furie, une attitude intense. Il avait lu ceci, qu’il détachait du journal de 8 heures :
« TRAGEDIA PER IL MALTEMPO. PORTO CORALLO, LA BARCA A VELA SENZA ALBERO ERA ALLA DERIVA. SALVI LA DONNA E IL CANE ».
« La giornata nella costa sud orientale, è stata funestata da una tragedia avvenuta all’imboccatura del porticciolo turistico. Una delle due donne è morta annegata dopo essere caduta in acqua, investita da una violenta mareggiata. Tenteva di governare la propria imbarcazione, in balia delle onde, che si era inclinata e imbarcava acqua dopo aver rotto l’albero. A bordo, la donna, riuscita a rimanere, è stata soccorsa dal personale della società che gentisce il porticciolo, correndo grossi rischi. Un gommone ha affrontato il mare in tempesta.
La donna, in evidente stato di choc, fu trasportata al pronto soccorso. A bordo dell’imbarcazione si trovava anche un cane. Un Espanol. Anche lui è stato tratto in salvo, e affidato ad un veterinario. Alle 17, la società ha rinvenuto vicino agli scogli, il corpo della vittima.
Allo stato attuale non si conosce con esattezza da dove l’imbarcazione sia salpata e dove fosse diretta. Si stanno rincorrendo diverse ipotesi, che finora però non hanno trovato conferma. Il mare in burrasca ha inghiottito la maggior parte delle spiagge del territorio ».
Non Firmato.
Parvente lui, le regard argenté de tant de révolutions berceuses, travaillait sa tête en bâtisse d’une terre oubliée et penchée. Il sombrait ses yeux bleus sur un fauteuil soutenu d’oiseaux du rivage. En fait, ce qui l’intriguait, et qu’il attendait, c’était cette dynastie de chien. Un Epagneul. Un animal pour un séminaire de compagnie, mais aussi de chasse. Qui n’exerçait aucune rage, aucun métier enragé. Qui, une fois l’homme seul face au Cosmos, ne serrait plus qu’une sonnerie pure, selon lui, dans une allure unique, quand on attrape le froid et la peur, des éléments avancés en nuages fabuleux, au dessus d’un salut qui agite les cloches, des roulis tortueux, et, les hautes vagues. Cette pureté s’égrenait, selon lui encore, lors du siècle, par peu de caméras de Science-Fiction.
Parvente enfonçait justement les bibliothèques en pleines pierres. Il aimait promener ses ingénus tandis que le cuirassé divaguait de ses propres conquêtes, puis les réclamait, destinées à mourir. Pour une fois le soleil composait et les rues soudaines qu’on ne verra plus, tramaient des jardins réels. Une triste entrevue où passe un animal vers le monde, et notre nuit tombait en populations et en larmes d’esclaves. Ne ressemblait à rien non plus. Eblouissait de ses richesses.
Lunaria, indécise et érotique, prévalait sa correspondance vers de lointains, très lointains étrangers. Un statuaire de dames ténébreuses. Le cuivre d’un jazzman enroulé sur lui même, et robuste. Les gravées brandissant des flambeaux, celles qui ont vite les étoffes métalliques et les bijoux plus hauts en orfèvrerie de vitres devenues obscures, révélées après 20 heures, le temps venu, celles qui déplacent les symboles et recherchent un dîner épuré, des flacons de détails et que penser d’un homme. Je griffonnais à l’hôtel et réfléchissai devant cette écriture, une infatigable route à prendre le Moyen Âge.
Cela continuait et j’éprouvais le contraire des exaspérations. Des visions au hasard, la poigne d’une fréquentation qui s’oriente dangereusement, que désoler horrible, qui défaille ? Et avec un ravage, des préparations qui peuplent ? Sans doute.
D’autre part tout cela montre un avantage moderne, puis des biens, anciens. Mais venons en absolument.
À cet extérieur là.
Un écrit dès le début du 12ème siècle.
Un chevalier en quête de combats, écoute les mésaventures d’un de ses proches nommé Qualogrenanz. Qualogrenanz, sans prétexte, avait dévasté un pays en déclenchant une tempête près d’un pin, d’une vieille chapelle et d’une fontaine au perron construit tout de pierreries très précieuses, où il avait renversé l’eau d’un bassin en métal pendu au pin par une grande chaîne.
Or, il se trouve face à un fort cavalier venu défendre la fontaine :
« Quant ge le vi tot seul venant… come mautalentis, vint plus tost c’uns alerions, fiers par semblant come lions ». (En le voyant approcher seul, l’air belliqueux, plus rapide qu’un alérion et plus terrible d’allure qu’un lion).
Pour la première fois, et cela vient de Qualogrenanz, le cavalier défenseur de la fontaine, est comparé à un lion. Et c’est important pour la suite. Car, le chevalier en qui germe l’idée, entendant ce récit, d’aller là bas et combattre, s’appellera lui même, pour se présenter : « LE CHEVALIER AU LION ».
Vaincu au combat, Qualogrenanz dut s’enfuir. L’adversaire, selon les lois et les règles de la lutte, lui ayant pris son cheval. Parce qu’aussitôt il avait renversé d’un coup, sur le perron, le bassin rempli d’eau. Aussitôt il venta et il plut, ce fut un désastre.
Le chevalier, étudiant parler son proche, Qualogrenanz, décide de faire sienne cette aventure, et renseigné, se dirige vers la fontaine. Or, lui même errant, et en quête, il rencontre sur son chemin, un vilain.
Difficile de traduire ce mot. Le Poète, révolté et révolutionnaire pour l’époque médiévale, et, dès la moitié du 12ème siècle, initiateur, de la versification de chevalerie, fait parler Qualogrenanz ainsi :
« Uns vileins, qui resambloit Mor, leiz et hideus a desmesure, einsi très leide criature… une grant massue à la main di, que je lui dis : Va, car me di, si tu es boene chose ou non. Et il me dist QU’IL ERT UNS HOM ». (Un vilain qui ressemblait à un Maure, laid et hideux à démesure, si laide créature… une grande massue à la main… Je m’enhardis assez pour lui demander : Hé, dis moi donc si tu es ou non une bonne chose créée ». Il me répondit : « JE SUIS UN HOMME »).
À partir de ce début, le premier, le Poème bascule.
Il s’agit ainsi d’un homme, et non d’une chose créée. Et cela est remarquable, très troublant en Europe au 12ème siècle, vraiment révolutionnaire, pour un auditeur lettré du Moyen Âge, comme l’étaient les auditeurs de ce long Poème là.
Le chevalier retrouve alors le lieu, et éprouve l’eau répandue sur le perron, déchaîne la désolation, attend le cavalier défenseur de la fontaine et du pays ravagé. Ce qu’avait prédit le vilain.
Le cavalier défenseur de la fontaine vient, est finalement blessé à mort, et réussit à parvenir jusqu’à son château, poursuivi par le vainqueur. Là, une lourde porte coupante, met le vaincu à l’abri, mais quasi mort, et une autre porte coupe en deux, le cheval du chevalier vainqueur. Tragique fait. Or on sait, toujours selon les règles du combat, que le vainqueur doit partir avec le cheval du vaincu. Et là, le cheval du vainqueur meurt, et le vainqueur est prisonnier entre deux portes.
Cette note est particulière, par la mort du cheval brisé, car cela signifie qu’il y aurait eu égalité des deux combattants. En fait, les deux hommes étaient à égalité en combat loyal. Quoi qu’il en soit du décès du vaincu, dont on apprend le nom : Esclados le Roux.
C’est alors, qu’une demoiselle du château, servante, prénommée Lunete (Petite Lune), s’occupe de sauver le chevalier sans cheval.
Elle lui met au doigt un anneau qui le rend invisible de l’entourage du défunt, du vaincu, malgré tout même mort, ayant pu se réfugier là : « Or soyez seürs et certains, que ja, se croire me volez, n’i seroiz pris ne afolez, et cet mien anelet prendroiz, et, s’il vos plest, sel me randroiz, quant je vos avrai délivré ». (Soyez donc absolument sûr que jamais, si vous voulez vous fier à moi, vous ne serez ni capturé ni mis à mal : vous allez prendre mon petit anneau que voici et me le rendrez, s’il vous plaît, quand je vous aurai délivré).
Or, ce n’est pas tout. Voyant passer le cortège funèbre, le chevalier tombe amoureux de la Dame en deuil, et d’une rare beauté. La demoiselle, elle, est éprouvée. C’est une folie.
Mais au 12ème siècle en Europe, la valeur décisive consiste à retrouver au plus tôt quelqu’un tel un lion, tel l’ancien défenseur, quelqu’un qui se proclame à son tour, défenseur de la fontaine et du fief, objet, par le déchaîment climatique, que puisse provoquer un étranger le convoitant, plus fort sinistre temporel.
Il ne s’agit pas, de mariage ou de veuvage, dans cette situation.
La demoiselle, servante, expose ces faits à la Dame, qui en convient. Un rendez-vous par elle, est exposé, entre le meurtrier, chevalier d’une rare beauté aussi, et la Dame.
Là où n’importe quel pays clamerait Vengeance, ou du moins, là où les fervents chrétiens, songeraient à un pardon éventuel, mais toujours, à une rupture définitive des relations, la Dame accorde sa main, et c’est ici une faille, une tournure en ridicule de la part du Poète, de l’amour courtois, tel que pratiqué en Poésie.
De cette dérision, de cette absurdité, s’ensuivent des noces.
Le roi et sa troupe, vinrent alors à la fontaine. Le roi déclenche la tempête, et est surpris par la vaillance du nouveau défenseur, qui se fait reconnaître et retrouve ses amis. Dont, un chevalier combattif, et un de ses compagnons de lutte, lui rappelle les règles de la chevalerie :
« Comant ! Seroiz vos or de çax…, qui por leur fames valent moins ? Honniz soit de Sainte Marie, qui por anpirier se marie !... Or primes doit vostre pris croistre. Rompez le frein et le chevoistre, s’irons tornoier moi et vos, que l’en ne vos apiaut jalos. Or ne devez vos pas songier, mes les tornoiemenz ongier, et anpanre, et tot fors giter, que que il vos doie coster ». (Comment ! Serez vous maintenant de ceux… qui valent moins à cause de leur femme ? Honni soit par Sainte Marie celui qui pour déchoir se marie ! Plus que jamais votre renom doit croître. Rompez le frein et le chevêtre, nous irons courir les tournois et vous y engager, et tout abandonner, quoi qu’il vous en coûte).
La joie devient souffrance. La Dame consent à la séparation un an, guère plus.
Et lui remet, elle aussi, un anneau.
Font succession diverses aventures du chevalier errant, divers tournois, diverses promesses, l’année, à tel point qu’il laisse passer, la date fatidique.
Il perd la raison (ce qui l’apparente au Vilain muni de sa massue), et se rend dans les bois vivre comme un sauvage. Grâce à un onguent enfin, il retrouve ses sens, et se met au service des déshérités et des persécutés.
Et là, le Poème bascule une deuxième fois.
Alors qu’un lion se trouve la proie d’un serpent qui crache des flammes, le chevalier tue le serpent au risque d’affronter le lion :
« … Vit un lyon en un essart, et un serpant qui le tenoit, par la col, et si li ardoit, trestoz les rains de flame ardent… a lui meismes se consoille, auquel d’aus deus il aidera ? Lors dit qu’au lyon se tanra, qu’a venimeus ne a felon, ne doit an feire se mal non… ». (Il voit dans un essart, un lion qu’un serpent tenait par la queue en lui brûlant l’échine d’une flamme ardente,… il délibère en lui même : auquel des deux va-t-il porter secours ? C’est dit, il, se rangera du côté du lion, car aux être venimeux et félons, on ne doit faire que du mal).
Mais bien vite le lion, noble animal, devient le double, d’abord du premier défenseur de la fontaine, le cavalier du château (qui se battait tel un lion), puis, du chevalier lui même. En pourvoyant du gibier, et, en prenant part à l’errance et aux combats.
Et le lion, respecte les lois de ces combats chevaleresques et n’aide, que devant des géants, ou lorsqu’il y a plusieurs adversaires à la fois. Dès lors le chevalier se dénomme à quiconque ainsi : LE CHEVALIER AU LION : « Tant li porroiz dire… que le Chevalier au lyon, vos dis que je avoie non ». (Il vous suffira de lui déclarer… le Chevalier au lion, voilà son nom, tel qu’il nous l’a dit).
Le lion est aussi fidèle au chevalier que le premier défenseur de la fontaine, et marque l’égalité des combattants, égalité prouvée aussi par la mort du cheval du vainqueur.
Multiples errances et duels. Tous, intéressants.
Puis le Poète tente que le dévouement aux malheureux constitue une charité, et qu’il faudrait le pardon de la Dame oubliée, dont Lunete, est venue reprendre l’anneau. Mais la dérision se prolonge vis à vis de l’amour courtois.
Par la force d’une morale qui domine la destruction amoureuse. EN FORÇANT LA MAIN à la Dame, le chevalier provoque à nouveau le déchaîné des éléments, verse l’eau à la fontaine, près de la chapelle, se pose dorénavant unique défenseur du fief, tel le cavalier, premier défenseur, son double, son double se battant en lion. Et doublement représente ici, par le lion, fidèle aux règles des combats. Le lion est en cela aussi, double, figure du chevalier lui même. Et, celui, du dévoué compagnon d’armes, qui lui avait requis de partir chercher tournois et combattre.
C’est de cette façon que s’achève le Poème :
« Del Chevalier au lyon fine, Crestien son roman einsi : n’onques plus conter n’en oï, ne ja plus n’en orroiz conter, s’an ni vialt mançonge ajoster ». (Chrétien termine ainsi son roman du Chevalier au lion. Voilà tout ce que j’ai entendu conter, et vous n’entendrez rien de plus, ce serait ajouter des mensonges).
Finalement le scribe donne son nom de scribe et son adresse : « Cil qui l’escrit Guioz a non ; devant Nostre Dame del Val est de son ostex tot a estal ». (Celui qui le copia a nom Guiot ; il a son logis devant Notre-Dame-du-Val).
C’est à cet instant là, que revenu à l’hôtel, et alors que la nuit se voyait plus vive, vers 22 heures, je rencontrai un Corse, qui semblait cette faculté d’être Corse, dans le hall de réception. Il s’était égaré par là, comme moi, cherchant où dormir, et nous eûmes des chambres voisines.
Nous prîmes l’ascenseur ensemble, une étude. Je ne l’ai pas bien vu, ni observé, mais le résultat se résumait à débrouiller. Arrivés à nos chambres, il m’avisa qu’à Rome, lors d’une époque très ancienne, on regardait des animaux utiles, et des animaux nuisibles. Dont le serpent.
On regardait des plantes comestibles et des plantes non comestibles.
Les animaux appréciés mauvais entraient pour l’art de la guerre. Ils se remarquaient de servir aux humains.
Puis, du divin, la licorne, bien et mal, à une seule corne, signifiait, ainsi que la colombe le Saint Esprit. Le serpent, le diable. Ou la médecine, pour enlever le poison à des groupes empoisonnés.
Pourtant le rationnel restait l’ordre de la raison. À Rome, les gladiateurs se couvraient de peaux de bêtes.
C’est pourquoi le cavalier défunt serait cette lourde animalité d’où viennent jusqu’aux ancêtres. Selon la croyance populaire, le cheval se douerait d’une perception solitaire de l’avenir et de la mort. La légende chrétienne primitive fait de l’âne, un animal sacré. Le Moyen Âge, lui, transforme le Balaam (l’ânesse de Balaam) en expression. À souligner, un hérétique.
Toujours au Moyen Âge, les modèles animaux ont un comportement moral.
Affronter un lion marque, la personnalité. Le lion est une force consciente, solaire. Puissant, d’entre les animaux. Animal symbolique et héraldique, on le retrouve en architecture sur les colonnes de la basilique Saint Marc.
Au commencement, des églises romanes, aussi.
Alors que, plus habituellement, le gardien est un dragon. C’est un animal à sang froid. Contrairement au lion lequel est fier, orgueilleux.
Nous nous séparâmes sur ces propos, pour rejoindre nos chambres.
Le lendemain, je ne le vis plus. Je racontais ma rencontre à Lunaria. Cela la conforta de l’idée de Parvente : Une traduction pure des hommes face au Cosmos, et en contact à la fois, avec un animal.
A l’heure du repas, je ne saisis aucun moyen, elle, Parvente et le cuirassé, de les empêcher d’électricité, aussi loin que la fantaisie de leurs manières. Elle expliquait en paroles plusieurs choses de notre transmutation.
Et tout s’écroulait.
Des rivières de sang, où les manichéens faisaient culte au serpent. On saisissait que les jolies lampes cristal de la visite, à table, posaient le présent, puis la salle du breakfast à l’hôtel, si détaché pourtant, mais où la torta cake à la stracciatella catégorisait évidemment des grains de sucre cristallisé, craquant sous les dents.
Lunaria, fendait les climats avec des cheveux en duel. Parvente perdait les constructions de lys et de rosée, dans ses draperies à elle, et fabriquait des éventails importants, pour se rendre à la Tour. Le cuirassé mettait son silence avec des pupilles de glace noire taillée en couleurs marronnes. Tous bravaient leur crinière splendide et un diamant.
Le minestrone paraissait un sens de la nuit, qui lustre, puis la jeunesse préfaçant les barques aux poissons.
Hélas les raretés hantaient mes bagages. Garbata, une des grâcieuses demoiselles du service roux dorait ses gestes du fond, d’un monastère. Lautezza ensevelissait des contes bruns. Et répétait, par incision, « Bonsoir », sans connaître la langue française. Toutes deux les plus anciennes. Les plus constantes. Elles parlaient d’un siècle avec humour et de faucons voltigeurs miraculeux. Je ne les abandonnerai pas.
Nous eûmes du vin sans pareil et des actes humains à connaître. Des spectacles arrachés. La distance intacte des notes, retenue par les vitreries d’une verrière. Une chaîne de fenêtres à l’exception en question. Il ne fallait pas une faute.
Parvente s’évada à la recherche d’un secret.
Dès lors j’eus rétréci une sorte d’examen à l’entrée, des perpétrations, nécessaires.
Où suivons nous les douces voix sans assiéger les incertains ?
Lunaria chantait, les bras couverts de bracelets noisette. Le cuirassé, en passant devant les vergers livides, se taisait encore. Et Parvente, n’étant presque rien, sans la peine d’un bouclier que j’associai à l’argent ésotérique, nous lut cet extrait du journal de 8 heures, entre l’hôtel et le centre de la Tour :
« DEI TESORI E DEL FUTURO ».
« Il mare toglie, il mare dà. Prima o poi ciò che strappa via lo restituisce, come un dono inaspettato, disvelando sotto la spuma misteri del passato. Le mareggiate dei giorni scorsi hanno abandonnato sulle spiagge non soltanto inquietanti stranezze - come un’urna funeraria e un teschio umano ancora da identificare - ma anche, un prezioso ritrovamento rivelatore di tesori tutti da scoprire, e le vestigia che pur troppo le autorità non ci sono impegnate a riportare alla luce.
Gigantesca isola del tesoro, storia segreta ancora da scrivere. L’isola come l’avanguardia nel campo della ricerca. Incominciare a pensare fuori dagli schemi standard, fuori da quei modelli burocratici e accademici stantii. Che fare se voi sapeste che sotto la terra del vostro giardino è nascosto un tesoro ?
Non avremmo bisogno di una petizione online per inserire la civiltà nei scritti.
Una isola che scava a fondo il proprio passato, per il rifulgere del futuro.
Non Firmato.
Comme le gardien du Trésor, le plus simple cerne, fait foi, et le plus souvent, se membre en dragon, animal à sang froid, ou la continuité d’un lion, noble animal à sang chaud, tous deux en possession des hostilités morales au Moyen Âge en Europe, je relevai qu’il fallait de lourds hivers, à l’acception descendue de cette magie redoutable, et combattre.
Et que, dans cette guerre, seuls avec un animal et le Cosmos, nous exaspérions les démons et pas, les épisodes sans mesure qui les entourent. Car le Trésor secret, procède d’un faste égal, où les folies de la famille et de la société, révèlent les luxuriances, leurs relégations parfois, inutiles.
Lunaria changea ses cheveux châtains contre des blonds platinés. Je l’accompagnai, jusqu’à l’affirmation, dans les courants d’air.
La Tour, emballée sur son compte, n’appelait plus les expériences. Le cuirassé, quant à lui, répugnait à ces chairs pressantes. Revêtu aux épaules, d’un blouson libre, et le règne d’un soir avec un intérieur dont il ne reste qu’un éclair. Parvente, lui, stoppait son inquisition dans les crocs de la poudre.
Nous n’avions que des coups à trébucher et du gingembre.
Enfin la nuit concentrée, on peut l’admettre, fut intarissable et trouble aussi. On aima une liaison insufflée, peu facile à déclarer à des hommes symptomatiques.
Je témoigne de ces tendances dont les considérables craquèlent les châteaux et se disposent eux mêmes. Il fallait se parer de brides véhémentes et pour Lunaria, de corsages échancrés, lorsqu’elle ignora la conversation. On débusqua des moments, des passions.
On démantelait des fourches après un paladin, tu vois, parce que les âmes sont personnelles. Tout là que permettre, que demander aux autres ?
Tôt, l’inconvénient de cette participation recouverte d’un fait de vent, gouverna. La profondeur indispensable des lecteurs, malgré des renvois bâtards, sans effet sur nous, gonfla les cordages. Le gouvernail fut rempli de parchemins, une remarque, par une meurtrière.
Maintenant, poursuivre :
Si vous voulez mettre dehors un squelette, et l’exhiber par la navigation en évidence, ou si vous marchez la tête haute, ainsi qu’un initié plus pâle que lui, pimentez votre harassement sans influence du tout.
C’est, qu’un animal ferme la porte.
Sardaigne, mai 2019.
BRUISSEMENT ALORS DE SAPHIR ...(titre)
TRADUCTION DE L INTITULE DU POEME
BRUISSEMENT ALORS DE SAPHIR,ET SILENCE DU JEUNE HOMME AUX YEUX BLEUS,D APRES LE TELEPHONE-PORTABLE ATONE,DE SON OMBRE,PLUTOT LOUFOQUE,ACCOUDEE AU TEMPS QU UNE NOIRE SERVANTE ILLOGIQUE,LAVEUSE DE VITRE ET DE NOTES MARINES,FIT CASCADE DE SON SEAU,PLASTIQUE,TRANSPARENTE,SUR LES PALES MARCHES...ET QUELQUE SORTE,CRASH LAMPE PORTE-PERSIENNE,LUCIDE,MAIS EN MELODIE DE VIOLETTES,AU SOL,DANS LA LONGUE CHAMBRE-MOSAIQUE,TRES FROIDIE,CARRELEE D EAU CARREE,PARMI MIDI ET UN VASE D EAU
Voyons. A l'époque opaque que des rayures d'air fort , endormi d'or horizontal , qui serait pur , et parce que le jour poudre , poudrait
Talc et teck clair , de Perse
- Solidifiaient . A pic
Sa chute
A cette époque donc extrême
Qu'on apporte et applique
Immobile au fond de notre réflexe remarquable comme l'acquérir ,
Que , la nuit renonce
Crac soleil quitte
Acrobate cymbale
Bol
Laque - nacre , hâtive , plus cristal - semoule avec graînes poivre et le hâle piment
Pictural
Si nous différons
D'un stupéfiant spectacle interne allumé du désert avec
La bougie livide , du toc cylindrique ,
Cire droite aimantée de ce courant de ciel pour tempête statique et flamme
Très fantômatique diam' vertical sur 12 heures , aôut , et le sable au Sud d'une foule
Je ... laissai entrer le jeune homme , et son ombre qui hésitait ,
A s'évanouir
Et fumait une feuille de tabac
Tandis que l'étrange servante
Aux poignets d'ébénisterie noire et poussières de stuc noir
Tordait une éponge sans sel et une serviette opale humide
Et , découpait la basse lumière
Vers une méchanceté ancienne
A parler au Diable avec le mauvais chant de qui a tort , et la dentelle grelottante d'une nuit de gouttes glacées , sur un frottoir violent ,
Et , nous lançait une vision
D'un regard avili , ou inutile , de nouvelle duègne convulsive grimaçant
Et , lavait d'eau et de flaques externes à nos bras , notre penchant ... à sa nique d'éternité
Et se charmer soi même
Avec autrui
Ou penser à notre pleur
Et l'exercice magnétique discernable , d'une puissance affective pendant trois siècles
Puis , après cette introduction complexe , toute claire , du jeune homme dangereux à comprendre
Le spectre fantastique aux yeux bleus harmonisés , d'un bouquet de fleurs de Parme , tremblantes , à la poche de sa chemise profonde
Froissée des éclats d'une lampe en moitié jour d'été et persiennes entr'ouvertes
Pour le moment ,
Me dit tout à coup :
"Je vais pratiquer un maléfice , et la fin du soir sur 3 bougeoirs à midi "
Il posa les vi-olettes bleuïes dans le vase limpide augmenté de leurs pétales à chaque instant
Pour voir des notes , et de l 'eau , leur rosace illuminée dans le détail d'un rayonnant silence et du verre , et quand j'eus capté l'énigme de ces séductions délicieuses et la certitude des charmes
Nous nous taisions si bien
Que la chambre était ma ténèbre
Et que le sol montra
De ses triangles multicolores et ciment
Une tête brune byzantine
Nouée d'un bandeau de galets rouge-chaotiques et , auburn , le corps svelte comme un éphèbe , en médaillon ,
Qui ne pouvait être ,
Que libre
Et calmement déhanché sur deux sabots fourchus , au repos
Comme ... , on médite
Le risque de lourdes demi-étoiles , de pluie , absente , et , luciférine
En pareil cas
Craignez le songe
Et des expériences impénétrables
Que l'ombre aux deux yeux , turquoises ,
Prépara , avec des sons de voix
Et la rare cuisson d'une huile vert-olive
Tomates d'argent naturel , assez jolies ,
Sonores , irrégulières puis déchirées , d'une spatule en sucs à l'aïl , pourpres pour , un plat ... de pâtes , d'Italie .
Alors , l'ombre quitta la pièce exposée à la dissemblance lumineuse , et midi , via une étrangère terre de vin rose et de sable doux
En riant pour longtemps.
La Marbrée stop au rosier blanc quand la vitre creuse neigeuse sculpte un phare tip toc le rétroviseur gauche de la 2ème rue gauche, les jeunes femmes hiémales, et les dernières nuits blanches d’un jeu, dans la Via Lamarmora.
Un an après, la mortelle propagation et la nacre gauche, des évènements mordeurs que j’avais vérifiés exclusivement en suivant le jeune homme au briquet, pour y trouver un sens, tandis que la situation principale, était au plus mal, le 18 mai 2013, je n’avais pas entendu parler de l’hôtel L’Ancora.
Alors, que j’avais l’intelligence, de trouver ce que j’allais faire, dans une rue d’aspect fantôme, où brillait, l’enseigne verticale, de haut en bas, en lettres noires : L’ A
N
C
O
R
A… sous un ciel couchant, un homme d’aspect, me tendit une carte de visite ou de présentation, bien plus tôt, cousue de fils d’eau, et couleur peut-être chambre « de nuit » ou, fil-de-nuit, plus détachée et plus secrète, et, qui pouvait tenir dans mon portefeuille, et résonnait ainsi :
Hôtel « L’Ancora », ajouté de 3 étoiles, du dessin d’une ancre marine, et d’un numéro de téléphone.
C’est ainsi que je compris peu à peu, à deux reprises, que j’étais retourné, et d’après les journaux, que je n’avais pas encore lus, que la nuit que je croyais avoir laissée au port pour la dernière fois, était construite de cette seule nuit.
Pour… preuve, un taxi datant de la veille, et de mon coup de fil, à devenir réel, une pancarte en carton décousu, avec mon nom, à la main, me dit s’être perdu et avoir pris une rose et du corail, et, me demanda si c’était bien moi. Fallait-il voir là, si je m’étais vraiment éloigné par bateau, comme je le cherchais à comprendre, jusqu’à la frontière, sans être, par la force des choses, à l’abri des eaux internationales, la contagion, demeurée longtemps silencieuse, d’ « un communiqué » de spectre à spectre ?
Je ne sais rien de ces deux époques.
Je ne voyais rien, de ce qui arrivait, dans les journaux du lendemain, et j’avais plus difficilement des nouvelles de ce lieu que j’avais quitté. Depuis quelques heures l’enseigne de l’hôtel L’Ancora, que j’avais demandée à voir, dans une ruelle en deuil sous une pluie et la lune, en cherchant mon chemin, perce, les gouttes noires actives, qui n’ont jamais parlé, de lettres diaphanes, sur fond noir bordé d’une ligne verte comme un filet de liqueur émeraude saisie en rectangle tout autour, échappant à la théorie, qui me les avait montré noires, hier nuit, nuit éteinte. C’est un succédé, d’une matière complète, un bouleversement qui s’accorde et sonne, une glace de verre, qui ne me convainc pas, plus exactement qu’il serait, sans doute, d’être là ! Je veux dicter mon article. Je donne le titre en direct : « J’entre en contact avec la chambre 122, où je me trouve ».
Et je décide de ne plus raisonner. Après tout, les témoins de ma petite lampe d’or, de mon extrême veilleuse de chevet, ne me connaissaient pas. Une femme et un homme. La fois d’avant, ils me faisaient des signes à la croisée des couloirs
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compliqués menant à leurs chambres entr’ouvertes, la 121 et la 123. Nous pouvons encore nous surprendre dans le même ascenseur, et personnifier qui nous sommes. A l’intérieur, des kiosques à journaux et des librairies, je n’avais plus signe de Denis Artiolus, peut-être survivant. Mon petit Nokia de poche, un forfait de 4,84 euros par mois que je contractais auparavant, ne m’avait même pas signifié ma présence et la bienvenue dans ce pays, comme cela se fait par satellite, et je ne pouvais ni appeler, ni recevoir juste un sms.
Accompagné du taxi-driver à la réception, j’avais confié sans « reçu », un peu d’argent pour le coffre-fort, et un billet bateau, aller simple. Et, le gardien avait gardé ma carte d’identité. Les gens des anneaux ultimes, du port à ciel ouvert, qui brûlait derrière moi, paraissaient de façon perdue. Je regagnais mes pas, en l’absence de toute vérification. N’importe quelle intuition des sens.
Le lendemain, alors que je tentais une aventure où entraîner des hommes confusionnels à première vue, « La Nuova » titrait, sans autre signature :
« ROMA – FOLLE TIRO A SEGNO CONTRO UNA STRANA E SFOLGORANTE DONNA IN AUTO ».
Vittima illesa ma dove andava ?
Il passatempo scelto la scorsa notte nel Centro della Urbe, da due donne su una Smart. Con una rivoltella hanno fatto il « tiro a segno » contro una bella autoguidata. Per fortuna nessuno di loro è rimasta ferita. Solo finestrini infranti. La polizia è sulle tracce d’una ragazza, potrebbe trattarsi di un gesto di qualche squilibrata o anche persona che avrebbe agito pesantemento sotto l’effetto della droga. La caccia alle donne era cominciata poco prima dell’una di notte. Da una Smart scura in corsa è spuntato il polso di une ragazza che ha aperto il fuoco su una Nissan Micra. La preda, une strana e marmorea donna, è stata mancata di poco, diffondendo il panico tra le auto continuava la corsa negli fari della Smart.
Le donne non avevano alcuna relazione tra loro e viaggiavano da sole.
(« Non firmato » « non signé »).
Ce dernier thème, qui fût jamais trouvé, et plus encore retenu conclusif, de « la rébellion éveillée », d’après les observations de l’enquête immédiate.
Mais dans cette vie, au cours d’une signification, pouvait-il s’agir non pas d’une, mais de deux, déséquilibrées ou stupéfiées, à l’intérieur de la Smart, prenant pour cible et de leurs phares, la belle inconnue qui voit la nuit apparente, violente, lumineuse, et provoque, une veille fonceuse, à travers la Cité en Nissan Micra ?
Pouvait-il s’agir du dérèglement non plus de deux mais de trois, voyageuses instinctives, et, enracinées ?
« Via o ti sparo », « Va-t-en ou je te brûle » avait lancé la ragazza avant de faire feu.
Aucune des trois, aucune d’elles, n’avait porté plainte.
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Les prédatrices ne prenaient pas garde et je marchais sans solution, ni entrée, d’un instant à l’autre, sur « quella notte tanta sospirata » pour introduction, dans ces ruelles éternelles. J’avais acheté une carte postale avec la photographie d’un roc pourfendeur où le vent incomparable avait tant corrodé, et tordu, que sa forme aggripait l’air, et surplombait, et régnait, et qu’il y avait, imprimé au dos « Il rapace », car il semblait un rapace, et c’est ainsi qu’on l’appelait.
Pendant ce temps j’apprenais d’un journal télévisé notoire qu’une meurtrière tornade, encore inégalée en puissance destructive « avait dévasté, Oklahoma City, et se dirigerait vers New-York » semant la désolation, laissant les populations sans lumière, sans une seule carafe d’eau froide, brillante, et, l’obscure ville déclarée.
J’avais, reconnu vrai de détacher de moi tout autant que des autres, l’étrange fugitive, mais où et où allait-elle ? brune et très pâle, que les blues-men et les hommes bleus des zones périphériques attachent de lampes et de laquelle témoignent dans les halls, en argotique poétique ainsi : « c’est une flèche, c’est une gothique », car la provocatrice n’acceptait pas, les phares sur ses châtains flamboyants et son teint de pierre blanche, et ses yeux soulignés d’une veinure ou d’un fil d’eye-liner blanc, comme une musicienne joueuse de fifre ou d’harmonica, le crâne étiolé d’un serre-tête en pampres devant toutes ses amies.
D’un côté, c’est utile à la poésie désorganisatrice, et, des forces précieuses que je tiens à marquer. Quoi qu’il en soit, aucune des trois rêveuses, d’un sommeil compatible à la rébellion onirique, n’était « choquée ». Les vitres brisées en éclats, et on n’avait qu’à passer, près de ces reflets de cristal, sans paraître dans le rétroviseur. Le pape Francesco, qui se souvenait du tremblement de terre à Assise, avait annoncé, il y a trois jours, depuis Santo Pietro que, « nella comunità ecclesiale la diversità non deve diventare conflitto. Bisogna salvarsi dal pericolo di una Chiesa chiusa sulla se stessa ». Maintenant la nuit, dans le sens opposé, s’éloigne de mon balcon ancré.
Et, l’horaire des « dolci » brille, 8 heures du matin je déjeune de parfums et d’un triangle réel, qu’on appelle « gâteau marbré », peut-être en raison des diagonales en sucre-glace qui le striaient de points de neige et d’éclats de filatures blanches saupoudrées, ainsi que des bris de verre.
Je poursuivais bientôt, alors que je m’étais procuré un exemplaire de La Nuova du 22 mai pour un euro 20, dès le soir léger mis en cause, qui adressait son argenterie au restaurant le plus proche, et découpait les nappes blanches avec des fenêtres pour les étoiles que je n’avais pas entendues, une jeune femme aux cheveux ardents, aperçue d’abord immobile dans la vitre d’une coraillerie, dont je n’avais pas de nouvelles pour la première fois, si ce n’est qu’elle n’était plus d’accord pour être assassinée dans cette nuit « encore à cette heure », et qu’elle s’intéressait « aux feux des voitures, et à ceux, des bougies parmi les lampadaires ».
Je savais, que ce qu’on nomme « une flèche », c’est aussi, une belle conductrice, très rapide à conclure le début d’une aventure aimante, et ce qu’on nomme « une gothique »,
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c’est une flèche de symbolique lunaire, plutôt difficile à séduire, proche des animaux nocturnes et amie des grands lézards, une mystérieuse amie, préférant l’argent à l’or, la pluie au soleil, prête par elle même, à rouvrir les longs abîmes et les instants de cathédrales qui passaient dans l’ombre des stores dépliés pour midi.
Pourtant, j’étais sûr, tout à coup à grands pas dans la Via Lamarmora, car je n’avais certaine sa présence que de la voir en mouvement, que je me trouvais face à l’étrange inconnue de pietra, marmorea, ayant pris peur, de la vitre porteuse de corail, la provocatrice des phares, la stupéfiée, de la rébellion veilleuse, arrivée sensible au malheur hasardeux des lignes du journal, dont peut-être Denis Artiolus, survivant, lançait là à tous, un signal désespéré, ou la rédaction un fil, « non firmato » « non signé », car on pouvait lire, en suite que « secondo le testimonianze le ragazze della Smart sono belle, schizzinose, favorite, hanno la pelle invernale », et « i polsi coperti negli guanti » c’est dire, que depuis tant de soirs elles aimaient à faire feu, l’une par les phares, fonceurs, ainsi que deux rapaces aux yeux d’or côte à côte, l’autre, d’une arme à flamme, ainsi que deux brûlures particulières, puisque : « sparò due rivoltellate », « elle tira sur elle deux coups de revolver ».
A-t-on idée de louer une voiture ? Oui. Mais, il n’y avait pas de prix à l’agence. Et elle était déserte. Y eût-il quelqu’un, j’avais oublié mon permis à un autre pays qu’on m’accordait pour conscience, et je n’avais pas la moindre piastre de ce que je puisse investir méthode, d’une location.
Mais… surtout, il me fallait agir cette passion songeuse que la science oppose à l’acte.
Depuis que la Marmorée, m’entraîna dans le souffle significatif, d’un épisode de roses d’eau et de corail, comme un somnambule réel s’entraîne, à ces flèches gothiques, ces stupéfiées, de lumière « pietrificante », traqueuses, qu’on voit parfois, sans chercher les causes, je marche la nuit dans mon quartier, j’ancre la nuit dans mon quartier, du dessin de l’ancre peinte au mur, sous mon balcon ancré.
C’était une nuit complexe qui tombait du toit rose et secouait les oranges en verre, des branches métalliques des chandeliers, de principe sensoriels, sur l’éclair de la rue venteuse, et je voulais trouver, près de ces marbrées, extrêmes, compte tenu des moments disloqués, pour agir notre poursuite aimante en matière de rythme pratique ou de fil-de-nuit, qu’elles s’étonnent, de l’attitude d’un penseur, à fuir. Ce qui arrivait, des phares silencieux, dans le domaine des sciences nocturnes, en saccageant tout, ou encore, la beauté psychique de mettre fin au sommeil à tout moment, dans la Ville partout ailleurs.
Le lendemain La Nuova ajoutait :
« Secondo gli investigatori non si esclude che le responsabili possano essere anche persone sotto il rifinimento stuzzicato della ribellione. Saranno anche acquisite le riprese delle telecamere nelle strade della zona e ricostruito il numero di targa della Smart : qualche testimone è riuscito a trascrivere, solo in parte, il numero di targa. La preda, la
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strana donna sola al volante, è stata considerata come in un gioco, per fortuna riuscito a metà, dove il « premio » era la sua morte ».
Je connaissais ce jeu, que j’avais cru garder pour moi, mais il est clair que ce sont des aventures où je n’étais pas invité.
Un soir de soir, à une heure encore mal connue, les flèches, les prédatrices font un signe, le plus souvent un double appel de phares, en doublant, car il faut se voir, c’est un charme, et ce sont des « dolci », ou des douceurs sucrées, le rétroviseur d’une gothique, garée, ou, à l’arrêt d’un feu quelconque. Celle-ci peut refuser le signe. Si elle accepte, elle clignote, et déboîte, phares éteints. Dès ce moment le jeu est commencé. Même, s’il s’agit de trois gothiques. Les deux véhicules se suivent sans feux, s’arrêtent aux croisements, ayant pour seul ami la lune, ou des réverbères roses, ou des boutiques de rosiers scintillants comme le corail, ou les roses acquatiques, et, pour seuls amis, les beaux jeunes gens de la Ville partout ailleurs, qui lavent les pare-brises des périphéries pendant les embouteillages, ou, aux croisements, pour un euro, ou, les ténébreux jeunes gens, les mêmes, pour un euro, qu’on voit à Rome, nel Centro della Urbe, vendre une rose, pareil, pendant les embouteillages, ou, aux croisements, et d’ailleurs tous, rackettés.
Mais, si une des flèches, des gothiques, allume ses phares, ou ses veilleuses, ou ses codes, une fois le jeu commencé, c’est la traque. Et c’est sans doute ce qu’il s’est passé, à ce rendez-vous de nuit. Certainement la proie, a trahi le jeu de cette façon, sans toutefois cesser de jouer. Au risque, d’éblouïr leur teint de marbre. Personne d’entre elles n’ayant porté plainte, ce sont des flèches, ce sont des gothiques qui jouent. Et pour lesquelles, le jeu n’était pas terminé.
Mais je sais que dans le cas, où le jeu dure bien plus longtemps, assez longtemps, c’est une vraie aventure, aimante, et, elles font connaissance tard dans la nuit, avec une des roses proposées, des petits vendeurs de roses, ou, une vitre ouverte, qu’on a pu briser. Comme elle fut brisée, par la ragazza, qui avait fait feu, deux fois.
La traque, elle, ne doit pas, être meurtrière.
Elle peut se faire, des phares de la deuxième voiture éclairant la première, celle-ci roulant, de nouveau, tous feux éteints.
Le journal, pur troppo, ne dit pas si « la strana e sfolgorante donna », la poursuivie, roulait feux éteints, mais que : « mancata di poco, diffondendo il panico tra le auto, continuava la corsa NEGLI FARI DELLA SMART ».
C’était bien la pâle inconnue de pietra, la marmorea, pâlissante tellement, à chacune de mes approches, que pendant les boutiques de rosiers blancs, dans l’éclair des phares neigeux sur les grains d’asphalte et de coraux noirs, elle faisait corps à la vitre, et un paysage de blancheurs, de flocons et d’ébène, et, sans être certain d’autant d’obstacles à sa présentation, je ne dormais plus.
Elle, n’y comprenait pas un geste, et eût été perdue, aux abords du trajet des lampadaires. Elle me rejoindrait dès le lendemain de mon départ, car « de toute façon » j’allais partir.
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Elle racontait qu’elle ne m’avait pas connu dans l’ordinaire des affinements lacustres, mais qu’elle retiendrait de moi, que j’entende ses pas de marbre, qu’elle les prolongerait sans être vue, dans une des ruelles personnelles qui mène à la chambre 122, où tous semblaient reconnaître les ombres quand on dirait que c’est la vérité.
Et soudain, j’ouvrai la porte au vent et un bouquet de chandelles sur le satin des gouttes d’eau à l’entrée de l’hôtel. Je marchai un peu, avec une impression juste. Je savais ce que je voulais des évènements.
Je décidai, de ne pas témoigner.
Et, à rencontrer la nuit mais où, et où allait-elle ? je pris comme ça les siècles dans les mains et une petite étoile spectrale comme ça, tombée en rancart dans la bougie de verre, sur des nappes blanches au bout du hall sombre de la première rue, à droite.
Je le disais encore il y a une heure à La Marmorée, qui sera en avant devant moi, jamais, nous n’aurons l’enfer à un fil, de ce que ni toi ni moi, ni nous, ne soyons un souffle ni un poignard à notre ombre marquant la pierre, au bas d’un dôme élégant, ou, d’un phare souffleur de cristal, agi, dans le couloir d’une rue couleur d’émeraude, au bout de laquelle des nappes blanches en Bohême ou, sur la mer, où la nuit, indirecte, à cause des lampes traversées et des voitures filantes, communique, un tremblement de terre que le journal du lendemain a seulement demandé tel, qu’il prend, une ivresse, immobile, et nos conversations.
D’ici quatre jours, je vais partir.
Le taxi-driver a fini par entrer en jeu. Et j’ai agi un autre être pour la nuit ma dove e dove andava ? Rimasta senza nome e fuggita senza che, nessuno, di quelli la incrociarono durante il lampeggio, capisse che portava via con sé i segreti di una VETRATA ALL’IMPROVISO, in questa notte messa in mora delle pagine più nere della Urbe quanto mai misteriosa.
C’era anche La Marmorea, anche Lei, tra quanti piangevano, ma dopo l’alba, nessuno, la vide più… J’ai agi un autre être aux yeux d’or jeune électrique que je ne tairai jamais plus.
Pour cela, j’ai donc simplement irraisonné, la qualification des promeneuses malgré tout.
N’importe comment c’est le taxi-driver qui m’a empêché de partir, je le sais, cela devait arriver, puisqu’il m’avait dit s’être perdu et avoir pris « une rose et du corail » mais pour qui, et où allait-il ?, et puisqu’il me demanda encore « si c’était bien moi ? ».
Le gardien, c’est une expérience, il ne faut pas se tromper de dialogue une seconde (la 121 depuis, silencieuse, qui me donne presque un signal, la 123 je crois hostile, ou passagère ou habitée, entr’ouverte d’un air absent), m’avait rendu, ma carte d’identité. Dans ces conditions désormais sans borne, je n’avais qu’à me rendre chez un sphinx n’importe où, mais c’est au port examinateur, que la situation ressemble au bercement d’une terrasse fauve. Il ne me manquait plus que secouer le vent dans un shaker. Je ferai remarquer au driver mes bagages (très lourds) et à un marin mes bagages très lourds, et,
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une passante pâle vêtue d’un long décolleté en pointe dans le dos, les cheveux obscurs, très sexuels, noués d’un cercle en cristal flamboyant par hasard une autre moitié de son sommeil, déversant sa pâleur, qui s’efface derrière nous, de toute ressemblance photographique. Il n’y a pas lieu de soustraire son image du viseur de mon petit numérique. Je n’ai pas à m’étendre sur cette façon de réagir. Je pense manifestement qu’on arrivera à un autre port, que c’est collectif. Je prends le voyage (40 minutes, une heure ?) pour ce qu’il est déraisonnable, dans des instants modernes. Je ne connais pas encore le nom du bateau. Puis, des gens de ce mystère, m’estiment et me rendent, les ombres aux belles manières et leurs habits de robe dans le fond bleu de l’eau, intelligibles.
Maintenant cela : A la suite d’une femme très blanche que je vois à l’endroit du quai fixer notre rendez-vous, j’allais partir.
ROMANCE DE LA PRÉSENCE NUE
ET D’UN ABAT-JOUR COULEUR DE
MÛRIER SORTI EN TAXI, POUR
UN EXILÉ DÈS QU’IL DORT.
Dans cette chambre il y eut l’intensité d’un grand désaccord.
Et des nuages d’oiseaux roses qui s’agrippent devant les yeux, illuminant les toits. Je passais la veille à garder un solide secret et dîner, de raviolis de Sicile à la ricotta, qui sont un hors d’oeuvre enrobé de gouttes de tomates et de sel mais, sont sucrés. Par cela, je ne changeais rien, des conséquences de l’aspect un peu dérangé des choses.
Le lendemain, ce fut une glaciale et sombre matinée du 21ème (XXIe) siècle.
Je me trouvais là à un petit bureau d’acajou et de laques en notre possession. Alors que ce n’était pas un lieu facile pour prononcer des mots. Quoi qu’il en soit je m’identifiai, je demandai donc de créer des gestes, et disai à UN PASSAGER que la ville ne faisait aucun mal et jetait du feu.
Au moment de sortir, j’appris avec désespoir que les fenêtres glacées grimpaient sur les plages froides avec l’art des soirées, et que mon bagage flottait dans l’ascenseur comme un bruit. Par exemple, j’avançai sans cesse plus exactement que possible et j’infectais de mon Poème, la situation des rues qui semblaient fort belles. Comme…, je différais de me réveiller, au nom de tout ce qui est improbable, je fus saisi grâce au grand vertige et à la grande assurance de mon riche libraire, d’un journal à articles, s’il en est d’effréné et d’impénétrable, et le jugeai furieux, sans être en état de le décider et d’en prendre mon parti. Cette fois je sus le clou d’une description machinale, machinale en sauvant les apparences, et au nombre de 10 herbes sur mon attention la justesse du désert, le sable, et LES SIGNES de l’imagination qui cache, rigoureusement nécessaire à un festin de joaillers invitant les jeunes gens et les mathématiciens, à toute splendeur où passe une nuit, d’irréelle, et un ravisseur d’irréelle, à lui reconnaître un sens.
Il était question de migrateurs d’un toit qui s’effondre quelle que soit la latitude, de ce fait à l’industrie et au hasard, si j’en affecte mes heures, ou la concordance d’exister pour des existences marquées, et, du désordre infini des morts qui mènent la mort.
Toutefois cela se logeait en petite affiche placardée sur le papier :
UN PAESE SPERDUTO CHE CROLLA
Le sous-titre :
LO SFASCIO : POTEVANO MORIRE IN 3 (tre)
“Sarrebbero morte tre vittime nel Palazzo selciato del Posteggio dov’era in andatura la prodezza di prodiero a tal SEGNO ch’un viaggio o tale ch’un VIAGGIO, per tre sconosciuti migratore, sul fare della notte, alle ore 8 (otto), del via dei TASSI al porto :
CROLLA IL TETTO, sotto il suo stesso peso alle 14:30 (quattordici e mezzo) d’un caldo pomeriggio.
“Ci ha salvato” hanno dopo tutti parlato misteriosamente in strada, osservando con occh’increduli il tetto sventrato e le macerie cadute nel vecchio Palazzo.
Risuona in paese un sinistro tempo, quasi imploso, solevando una nuvola di buio pesio”.
Firmato : Alessandro Davina.
Tout le monde raisonnait sur ces détails SIGNIFICATIFS, et je pensais que l’auteur était un fabricant de réveils-matin mortels et de hasards volés en éclats.
- « Pas du tout » répondit un jeune homme remarquable, peut-être 30 ans, peut-être mûr de 30 ans, fort haut de taille, nullement fiévreux, sec et tremblant, dont il arrive qu’il regarde la nuit, les yeux verts-saladier au milieu de saphirs, la voix presque absolue mais délicieuse, « Vous ne pouvez en rester à cette conclusion. C’est un imitateur de sonneries pianistiques. Il scrute la mer magique et y photographie, les démons émasculés par les intrigues élémentaires, et qui ont l’expérience insolite, ou parfois meurtrière, d’un toit de temps à autre interrompu par le sort ».
Je m’écriai simplement que désormais je n’écouterai plus ce songe insolite dit par un homme assis, sur de longues jambes, et que je n’en croirai plus un mot. Et j’ordonnai enfin :
- Qu’êtes vous ! Que faites vous là ! Je vais demander à vous isoler des peuples, je vais vous jeter dehors. Il répliqua : « Cela n’est pas possible ». Puis : « Je vous ai menacé mais vous ne me concernez pas.
Je peux, d’un seul coup vous abasourdir, et, pour vous sortir d’un tel mauvais pas, à en déduire par votre abrutissement et ma brutalité, sonner la cloche à la réception de ces hôtels jolis qui marchent avec la foule lapidée de pluie dans les carreaux. Je suis l’EXILÉ de la Côte fuyante, le Tigre blanc qui brunit ses nageoires et SOUFFLE en effeuillant les fleurs solaires, venez, elles sont en construction à l’intérieur des jardins à l’intérieur de la Tour lézardée. Me prends tu pour un poignard cueilli sur un banc, avec une tête de verre ? ».
Et il montrait un t majuscule de ses épaules prolongées vers le sol par son corps rectiligne, comme un obélisque la pointe en bas.
Cette façon de parler qui ressemblait aux jointures d’une armure m’inquiéta, d’autant que j’avais vu trois nouveaux tableaux au bar de l’hôtel dont un, à travers le verre, projetait un obélisque incliné tel que pour un VOYAGE, à côté d’une pyramide.
Or nous ne nous endormions plus à Paris, Place de la Concorde, parmi les embouteillages à mon chevet, et la météo n’indiquait que 19 degrés à Cagliari.
J’allais me rendre, sans davantage prendre en compte cette nouvelle conclusion, au restaurant où, d’une caverne en verre naturel, on avait mis sur chaque nappe blanche, avec son fragment de tige, dans des vases en opaline blanche aussi, rose ou bleue-bengalis, une grosse marguerite dont j’ignore le nom et que j’appellerai « tournesol Blanc », me rappelant les 4 peintures sombrement versifiées, d’un pâle Hollandais, qui glissait d’un pays à l’autre parmi un craquement de flamme et des ciels en paille, et dont la copie d’une d’entre elles, tintait d’un son électrique, dans ma petite chambre autrefois, à Palerme, ainsi quelques soirées suivies de gyrophares que j’entendais toute la nuit car je ne me souviens pas, d’avoir heurté l’absence de cette fatalité, au contraire je suis pareil que m’en aller sur la mer.
Le lendemain matin, je déjeunai d’une tarte aux fleurs NOIRES DE MÛRIER, qui sont ces grapillons de braises qu’on trouve allumées dans les ronces, les maquis, et jusqu’aux bords des goudrons. À cette fois, j’avais tant oublié ce jeune homme tendu par son orgueil débraillé que, je ne pourrai l’oublier un peu plus…, quand je fus alarmé par une obscure lecture de l’éditorial La Nuova, dont je ne pus distinguer tout de suite le début ni la fin, ni l’intonation :
« IL COLLASSO risulta INSPIEGABILE »
Palazzo dei TASSI sequestrato, Struttura CROLLATA in un secondo :
« Le ipotesi restano tutte aperte. La parola « PERCHE ? » inizia cosi ad ESCOGITARE di bocca in bocca, di voce in voce. Non mi vienne in mente di dirla !
Nessun SEGNO di allerta pero alle 14:30 (quattordici e mezzo), nessun indizio che potesse far pensare, ne far pensare ad un possibile cedimento. Sul fare della notte, alle 8 (otto), dovevano sostare tre sconosciuti migratori con il guidatore.
In oltre, questa notte CRESCENTE sono morte circa 850 persone stipate dentro la stiva di un BARCONE.
Peccato che non sia la morte un PATTO, ne finita in MALEDIZIONE, ne mi aver favorito un grand mazzo dissolforato in diafanità.
Ogni sera emergono nuove lucidenzze e SOFFIO affanoso.
Dove rifflettono in luce le donzellette ?
Mi sembra tutto impossibile ».
Firmato : A.D.
Chacun expliquait les circonstances subtiles réassujetties à cette seconde décisive où le drame, presque naturel, expulsé sur l’heure d’un lieu probable et supposé permanent, n’aurait pu être évité, et se mutait, sans vacillation, si je m’y tiens à quelque densité instantanée, si je puis parler, en… Drame Pratique.
D’autant qu’en un pays qu’on interprète dire pour tous « buona sera » passé midi et, que cela ne contredit pas l’heure non plus, des longs couchants.
Mais je crus que l’auteur était un trafiquant de rails en or sur les avenues bleuies qui descendent les escaliers comme des pendentifs, et un oiseau flotteur poumonné, le bec sonneur dans un cor d’orchestre.
- « Pas du tout » menaça le jeune homme certain et démonté, d’un revers mûrissant, d’un ton de cadran solaire, tout à coup ému par mon électricité, et qui venait de se placer près de moi :
« C’est un discoureur de rosée. Il gratifie la terre et s’embarrasse de silence. Il garde au vent, il prend charme, au vent. Il apporte une douche durant minuit et un collier défavorable qui ressemble aux murmures.
C’est le poignard qui a un manche, et pas ma tête de verre. C’est le vase qui préside le verre.
Ce n’est pas ton attaque écartée de la porte d’un tigre.
J’étais d’accord. On ne pouvait comparer les 4 victimes ayant tout juste échappé à leur tombeau, je désigne la rencontre, les 3 passagers migrateurs, et, un conducteur de taxi à la tombée de la nuit, 850 morts sur une embarcation qui n’arrive pas, et un tremblement de terre (à la une, cette fois ci, des pages suivantes : « Oltre 5 mila morti accertati sotto le macerie del terremoto che sul’Himalaya ha cancellato in due interminabili minuti ogni sorta di villini, opere d’arte, vite ».) et donc…, un tremblement de terre à jamais.
Dans ce dernier cas, la piste de l’entreprise quotidienne de vivre se casse tel un cristal opéré par la soudaineté d’un coup intact, et se trouve en difficulté par…, le Cosmos. Dans les 2 premiers cas, malgré le caractère final très particulier des éléments naturels, c’est un facteur humain énergique, en ne comprenant pas, qui ne parvient pas à stabilité et confronte, surtout pour l’embarcation, en comprenant, une Cosmogonie.
De cette contradiction de la compréhension, les hypothèses sont des fautes, et des fautes sur les sens du hasard.
Mais…, après notre nuit, le dialogue fut promis aux incidents de la propre jeunesse quand elle introduit un SIGNE PLUS FORT que la LIBERTÉ qu’il débute.
De ces faits si mal à tout le monde, et de nos notices horaires, le joailler est un voltigeur précis, un révolté précis, un analyste qui entaille et incruste des beautés. Le mathématicien embraie de son fil d’or la réalité. Son intention sert un rêve concret que ses abstractions permettent de peindre formellement, même si elles n’en font pas du tout, un peintre. Mais j’étais en train de dire, que j’avais par ailleurs, brûlé les côtes de maille de pauvres gens, et que leurs noms tremblent sous des paupières enrhumées, car ils ne me verront pas.
Positivement, permettant les dangers et les contemplations, l’EXILÉ porte à sa main sur un cintre, une longue robe de chambre dans la nuit, et déchire la nuit dans les ascenseurs.
Je crois que c’est une salière.
- « Pas du tout » annonça-t-il, reprenant de ses épaules un t majuscule achevé en obélisque pointe en bas vers le sol, et d’une voix radoucie de grains noirs de mûrier et de grappes de points et de rondes violettes :
« C’est un sommeilleur dans un trait d’étoile de terre ou d’eau qui tombe sur un petit chien.
Il hasarde les exceptions et conquiert plutôt une harengue mystérieuse sur une colonne ».
Et il se mit à rugir.
« Il aborde une tempête où se mettre ».
On disposa alors une grande panne d’électricité je ne sais pas pourquoi.
En un instant la ville et la foule marchèrent en barque comme des flamands noirs. Même ma petite lampe de poche ne fonctionnait plus. Au bar, on nous offrit un verre visible par sa sonorité, qu’un homme posa d’un geste sûr, en disant « Ecco qua ».
Je m’aperçus que je me rendais chez mon libraire et que tout l’hôtel fut enveloppé d’énigmes rapides, passant par les balcons fourrer l’obscurité, dans des esprits flambés à l’alcool, qui eurent le malheur d’accorder leur réveil à ma veste noire, et je m’aperçus que j’appelais à grande vitesse mon nouvel ami, puisque maintenant nous sommes d’accord, et qu’il avait pris une corde pour pendre sa sacoche ainsi qu’un balancier, par la porte-fenêtre du balconnet, afin de s’occuper du soir ancien, où je venais de dîner de pommes de terre braisées dites « al forno ».
Pendant longtemps, je voulus toutes mes sensations.
En fait, le journal ne pleura pas. Mais de ce moyen curieux dont j’étais induit à connaître les considérations et les précipices d’un drame pratique, je fus saisi encore cette fois, d’un terrible témoignage :
« LA TIGRE SFOGA IL DISASTRO
Si teme a non mettersi in salvo, si teme un ecatombe. Ha distrutto in pochi istanti il SOFFIO d’un PASSEGIERO, come una neve tigresca rigata nera e bianca che scendeva, stata investita da una pioggia di lame e delle branche d’un ancora. Sono sicuro. L’ho visto. Pur troppo, è un uomo brontolono, felino, innegabile, sfrenato, ha saltato l’inferriata della finestra, buttandola giù, ha scattato all’attaco d’un caseggiato, elettrico nei movimenti, imperdibile, altiero, poi è sparito, verso il mare strappazzato, il mare mosso.
Sarà molto difficile trovarlo.
In questa città, è l’ultima testimonianza ».
Non firmato.
Je reconnus le tigre qui désormais m’accompagnait, désormais me quittait toujours, et je revins à moi. Il était monté sur une échelle et ne pouvait pas discerner plus, entouré d’une bulle de savon, au haut d’une colonne. Je m’étais assoupi et je résolus de m’en débarrasser, malgré son adoration.
Et après maintenant je désespérais que nous n’eussions jamais affaire et que tous les pays me fussent hasardeux. Et après maintenant je continuai à lui demander secours.
Cela me parut impossible, tant il avait lâché prise. Je fus donc forcé de dire que je ne le voyais plus.
Ces derniers temps il regardait dans un panier les lourdes catastrophes et avait déposé dedans, un peigne et des vêtements de soirée POUR 3 HOMMES DANS UN TAXI, puis coupé la anse comme celle d’un vase dégringolant l’ascenseur et j’entendis le carillon de la résidence d’en face qui habitait ma terre définitive quelques secondes, d’un règne timbré de petites perles. Et, ayant imprimé de mes mains le courrier identificateur qui ne parvenait plus, et à recommencer l’effroyable déroulé de son rouleau de papier dans une corbeille, je me retrouvais à l’hôtel l’Ancora, un journal au bout des doigts.
Dans cette chambre il y eut un long couchant à moitié une ombre animale, pour sa trajectoire, et cataracté d’un long accord.
Pris par la grande nuit, à l’évidence de ce qui ne vous regarde pas, ni personne d’autre que moi, sont des nuages d’oiseaux roses qui s’agrippent devant les yeux, illuminant les toits.
Si vous voyez un homme joindre ses cicatrices fabuleuses au dessus de sa crinière les poings fermés, et fondre, d’un SIGNE, après avoir compté sur son rapport monstrueux avec l’action humaine, et d’un SOUFFLE gâté, droit dans de hautes bottes verticales, avec une griffe, sur un passager :
DOVETE STARE ATTENTI A LUI.
VOUS FEREZ ATTENTION À LUI.
DOVETE STARE ATTENTI A LUI !
Sardaigne, le 8 mai 2015
LE JEUNE HOMME RACÉ, AU PARAPLUIE POIVRE-NACARAT, LA RÉVOLTÉE PURE DU DÉBARCADÈRE DOUBLE, UNE SANGUINE À LA MAIN, ET LE POÈTE COMPLICE.
Quand je fus puissant de mieux aimer les hommes sur rien d’autre, et qu’avait été le pacte inexplicable de tout cela, plein de RACE, ou la ressemblance à s’y méprendre pleine, d’une foule très raréfiée, je me rendis par mer à une autre île graduelle, dont j’étais très inquiet.
Sous l’aspect volcanique de la lune qui accélérait sa BRAISE SANGUINE et déversait la nuit, lors même que je fusse conscient je devins excessif et m’endormis, d’un symptôme profond dans la situation croissante des choses ce mois ci, sur la terre d’une quinzaine de degrés centigrades, détaché et rapide effroyablement, en revenant, plus tard, et à une heure pareille que la végétation BRÛLANT les extraits de fenêtre, et, regagnant ma chambre suspendue aux quiproquos sans image, aux rêves sans image, d’autant qu’à la rade forte des interprétations parfaites et du monde, revenant enfin avec, un bruit qui passe où sont les cris cascadeurs, je taillai ma lampe, à l’hôtel L’Ancora, duquel j’avais pourtant posé la réalité.
Je suis en train de dire que notre CONSCIENCE RACIALE détruit le commencement de notre humanité, au sens où elle ne mourra pas, mais manifeste sa personnalité.
J’habitais ici, près de l’unique révoltée Graga Stav, qui n’était jamais entrée auparavant dans cette cité fermant la mer gigantesque à la lumière de la lune dont j’ai parlé, ainsi que nous promenions, tout à fait brumeux seul à seule. Mais je dirigeai en moi même cette prodigieuse discorde, et je ne déchiffrerai plus les malheurs éperdus plus longuement, que ce qu’on ne trouvait pas dans la CHEVELURE POURPRE de Graga.
Cette nuit là, le quotidien La Nuova errait, de lampadaires en cocktails, à son antique silence ayant l’air, d’une neige vide et cette neige le poids, d’une goutte de pluie artificiée comme un GRENAT D’ÉPOQUE, jusqu’aux dangers.
Il avançait des phrases, un titre :
« VIETATO.
Le maniglie dei manifesti non sono autorizzate. La manifestazione non è autorizzata. Nel tardo e pauroso di perdersi pomeriggio di lunedi, hanno attacato furiosamente come uccelli arrabiati le forze nocive, scontri, la continue scosse del lampadario agli ochi del volgo.
Sono stati minuti di grande tensione.
Prima hanno lanciato lampadine diverse mentre altri attentatori avevano già riempito le facciate dei palazzi con scritte spray, contro chiarezze melmose. Poi nel tardo e sfaldato pomeriggio sono stati respinti.
Resti tra noi ! »
(Non firmato)
Le bord de la ville persistante se brisait en bouffées de fleurs et de chats divagueurs jusqu’au creux des cailloux.
Nous marchions sans murmure.
Graga, que j’aimais aussi, mathématiquement à comprendre pour sa raison, et ses délicieuses paroles, se taisait. Elle était encore plus sombre que l’hôtel, s’il éteignait ses FEUX au secours du soir. Que ne la ferais je entrer au dos d’une voiture pour voir, une différence à l’aube perdue ? Ce sont les vestiges de l’aube qui tendent à m’harasser alors…
Je bois dans un verre léger en carton pâle le jus luxueux et faiseur, d’une ORANGE SANGUINE granuleuse de peau qu’on devine, à prendre les plantations de la veille, car toute liquéfiée dans les reflets d’une cruche de plus en plus transparente, au fur et à mesure qu’elle se déverse beaucoup c’est ainsi.
J’illustrai enfin quelques instants de ces dialogues invisibles de chiens de garde et des aboiements très déconcertés, et je fixai rendez vous à un jeune homme brun qui n’a pas d’ailes et une veste en mailles basanées bouclée de nacre, pour un acte amoureux, près d’une fontaine au bruit entouré de colliers de béton.
Mais il me fit remarquer que par la MÉTÉOROLOGIE, et son arrière fond SPECIFICO-RELIGIEUX, chaque risque est un grappin du Présent, ou une minutie du Présent, chaque chose y est une expédition présente, un PRÉSENT.
Qu’il ne valait pas mieux être fort que volontaire pour être fort, et accuser cette nourriture, alors qu’elle fut un procédé de profondeur. Que les déductions sur ce point, des phénomènes, comme on le trouve, ne peuvent exposer que le Présent, à défaut de le démontrer.
Je suis en train de dire que notre CONSCIENCE RACIALE comporte, d’un instinct poétique qui supprime son histoire, une FORTE RÉVOLTE, que cette révolte est Présent, au sens où elle n’est pas toujours contraire à l’humanité, mais s’oppose à celle ci, par l’explication créatrice, c’est encore à dire, par une conquête obscure.
Nous ne supposerons pas un livre de télégrammes pourquoi pas, ainsi que les pages reliées de cartes du restaurant ? Sauf qu’on n’y choisirait pas. Puis, on y allait… pour correspondre avec les sciences d’une application, le vin, l’ingéniosité, des secrets dont le corail diffère, les cuissons « AL SANGUE », le tempo, plusieurs siècles, une raison fréquente qui ne se conteste pas et se rappelle, nocturne.
Pour cela, nous traversions les rues qui pleurent à la vitre, en parlant de nos ancêtres. J’habitais près de ce bouquet de femme qui…, brouillait rarement ses yeux de glace bleue dans cette cité électrique où la lune orangée crachait du SANG, et sa division extrême, des filaments de FRUIT ROUGE qu’on presse, et d’iris violacés dans un ciel noir jusque sur la mer ainsi que nous venions, en état de trouble. Mais ce bouquet de femme FLAMBAIT sur mon souffle qui ressemble à un souffle, je tenais à peu près en moi même cette stupéfaction sérieuse, ces crises de chaînes n’allant pas jouer, et je n’emporterai plus les désespoirs plus tumultueux plus immédiatement, que ce que je ne trouvais pas dans les mains blanches de Graga.
Ce fut une soirée d’hiver qu’on ne cachètera pas.
Je compris une partie retirée des décombres du vent perceur, de mon manteau clair, et les couvertures en laine de mon lit dans la chambre aux persiennes refermées, quand je ne pouvais plus le voir. Et violentai les cordes, de la pluie comme une apparence.
Mais le jeune homme maintenant en matière de nacre, revenons à lui, lui FRUCTUEUX durant ses mouvements les cheveux basanés, vint trois minutes à la fontaine aux rivières de béton qui cette fois, eut une communication silencieuse. Il fut tombé précipitamment dans des lumières alors que j’existais.
Au moment de disparaître, il me répondit : « Salve ». D’une voix de patine dans une traîne de roseraie. D’un signe radouci, ayant stoppé son portable sur lequel promenaient des esprits.
Et, que si l’humanité abandonnait un long vécu depuis les commencements, conservateurs de l’espèce, l’individu aurait perdu ses difficultés de vie intérieure et aussi de vie externe.
C’est pourquoi les nouveaux-nés, dans notre RACE, même filiés de deux pères, INCARNENT les ancêtres. Ils menacent LE CONQUÉRANT en faisant leurs, ses âmes.
Ils forment SEULS, de vieilles peurs parmi les humains.
Je savais. Je n’avais pas de vocation religieuse et je ne pensais tordre que LA TERRE, où aborde le conquérant, soit celle où il implique, et perd de ce fait, par les nouveaux-nés, ses âmes des leurs, ENNEMIES. Je savais aussi ceci, que la conquête du poète est obscure parce qu’il s’adapte à une terre toute à lui, partout déserte et étrangère, pour racines.
C’est là un grand danger.
Non parce qu’il n’est pas empêché par la loi écrite ou historique semblable à une allure d’il y a parfois 3000 ans, mais parce qu’il peut perdre aussi sa propre terre ancestrale, nourrice. Et qu’elle est le tréfonds PRESQUE toujours, de cette histoire et de ses lois, d’où ses frères personnels, au moins pour la LANGUE qu’on y parle, et qu’on y parlât.
Cette traversée de rues et de la mer m’avait ému et je proposai à Graga 15 degrés et qu’elle m’approprie, comme ça faisant chanter ses parfums-cristal, et ses maladresses adorables au plus fort d’une PRÉSENCE HOSTILE dans son dos. D’un aliment de terre.
Elle me coupa, tout à coup moqueuse :
« Non hai trovato LA VIGNA di Cristo ? »
Ce fut le restaurant.
On y allait pour les rapaces blancs sur les rocs noirs, les poissons noirs sur la nuit, les nuées de chiens qui entraient, le plus souvent tenus d’une laisse changeante en cuir tendre, ou aux bras des hommes couverts de fumée, pour entr’ouvrir des trésors favorables et des herbes vertes avantageuses, rejoindre une nappe blanche qui sèche sur un gril je ne sais pas, et démesurer tout, en commençant un précipice.
Cette nuit là, « La Nuova » rosait d’autres alcools et des charmantes et d’autres yeux de phare, caramels, et passait, de main en main, avec les violentes oranges CRAMOISIES des braises des petits déjeuners, en compote dans les bars.
On terrassait des phrases courantes extrêmement décomposées. J’y voyais ceci :
« VIETATO.
Intorno alle 20, a un passo della via dei Vezzozie, nel tempo più critico, le forze gelide hanno deciso d’entrare in azione e quindi trasformare la zona in un diluvio di vetro, e lasciar da parte ogni riguardo.
Sono riuscite grupetti integuerrimi a tornare in una carica di ventilatore e manifesti più insueti. Scendono nel centro della città proclivi alla luna ed impedende di raggiungere le mani sporche di sangue. Testimonianza che non si arrende di fronte a una MINACCIA OSCURA.
Terribile strage.
In questo contesto si inseriscono i disordini al culmine della protesta seconda, non autorizzata. Non erano stato fornite informazione su dove gli attentatori, una settantina, volesse dirigersi. La consequenza, di cose a bordo d’una navigazione smaniosa di ROSONI PEPATI che abbiamo denunciato come inaccetabile. Per qualcuno c’era stato bisogna di aiuto. Dicono : « Non fermiamo ancora la morte ». La tensione è altissima, in tutto il Paese nella tarda serata… Il Paese nella tarda serata… »
La forte soirée à couronne monstrueuse effeuillait l’astre noir qu’on nomme caché de nuages. Il était tombé sur nous 3 jours et 3 nuits une longue fête coiffée d’anges en robes longues aussi et ailes jaunes qui montaient les marches vers les balcons comme des femmes, mais j’avais tout loupé. Le vent brassait des étoiles dans les lampes dehors balancées aux pluies célestes et aux maléfices en vrac et j’avais tout loupé. Pour connaître les fumigènes et les chutes ROSACÉES des artifices en feu.
En fait, là-bas, il s’évaderait des fleurs mais salées, qui s’accrochent à la pure neige, et viendraient des hommes patients sans jeter un regard pour les autobus.
Graga parlait d’un extrême Pays, dans le couloir des quartiers grillés, où sonnaient les vagues parmi des cheminées en marbre dormant nourries d’alarmes, et une combustion, de soupirs publics. Elle faisait des brèches tout en fumant quelques feuilles de goudron blond dont elle pesait le poids des cendres, scientifiquement, sur une petite balance d’or qu’elle gardait avec des étincelles dans son sac en plastique bleu, pour conclure le poids du papier, et froissait inexplicablement la brume sous ses talons de croco, après m’avoir embrassé.
Que ne s’était-elle enfuie au dos d’un rhinocéros avec un chapeau de paille enrubanné de feutres couleur moutarde vers un kiosque à journaux ? On voit ces animaux parqués, dans une arène de poussières et de poudres rosées, au creux de certaines peintures d’Italie, géantes, il y a déjà des siècles, et, bordés de chaises nues.
Mais la nuit SANGUINOLENTE chancelait du BRASIER lunaire à ma chambre. Je sortis pendre un verre « d’acqua frezzante » et ombrer de fard gris les paupières de Graga.
Ce ne fut pas ma nuit.
Ni celle de ma subtile flatteuse, les tempes maquillées à mon pinceau, de nervures de feuille vert-bouteille.
Ni la nuit hélas du jeune homme aux printemps maigres, vêtu des belles ombres du poète. D’après la conviction que j’en rendis possible.
Je le croisai, à quelques pas de la Via dei Sospiri et de la Torre Spagnola, il eut un mouvement vers moi, sans hypothèse ni conclusion, et Graga me surprit en me demandant d’adopter cette action humaine, sans comparaison des temps qui ont existé.
Lui, que je savais être, sa présence présentait plus particulière et rapide que nature. Il fixa mon attention à son axe et me fit encore remarquer, car nous nous taisions beaucoup, que LES RAISONS qui constituent LA LOI, ne font pas de celle-ci une loi propre à cette raison, même s’il est hors de doute, qu’on dût y traduire LA MÊME VOCATION.
Que, si la loi s’incline à l’habitude vitale, elle SUPPRIME SON ÂME au lieu, en tant que raison, d’être UN DANGER au dessus des autres.
D’où les ambassades entre les peuples sous l’aspect des vieilles traditions de ceux-ci, et pas toujours inventif, d’une liaison.
Je savais. C’est pourquoi d’une trop ancienne nuit CONSTITUTIVE, chez les humains, on ne peut éviter L’IRRÉPARABLE EXPLOSIF, tant chez l’individu reproductif, qu’incarnent les nouveaux-nés, que pour les populations, destructeur, de leur masse, et appelant d’elle, une réponse.
Je suis en train de dire mais pas seulement, que notre CONSCIENCE RACIALE, entrave, d’une étrange possession historique SPECIFICO-RELIGIEUSE du fondement CULTUREL du nouveau-né ancestral, d’où qu’il se représente, le contact VOCATIF, avec des catastrophes qui n’enchaînent pas (en quiétude) les peuples à leur terre, de laquelle ils ne conviennent pas toujours, de laquelle ils naturalisent identique leur individualité, et desquels, elle, provoque TOUTE RÉVOLTE.
La conquête du poète est obscure non parce qu’il invente, une civilisation génératrice d’étrangeté, mais parce qu’il n’adopte pas, une personnalité DÉJÀ totale singulière et absolue, de son inquiétude.
Puis, nous étions criblés de clochettes pour l’heure au fond des rues maladroites et télégraphiques.
Graga et moi reprîmes notre silence. On ne venait pas de mourir mais d’imprimer les créatures véritables.
De soir en soir, nos mains sur les rampes à l’alcool, ou à l’eau de vie, flambeuses, qui mènent à la LUNE ORANGÉE, on lisait les transcriptions du journal aller et venir, ou les phrases qui nous en disent, puisque c’est le fait que j’ai scruté :
« VIETATO.
Ma, il loro pericolo è stato trascinato via dal vento per mille metri. Avevano investito le tragedie, causendo ovunque scritti, cassature, e RIGHE DI FIAMME. E pesante la loro città. Un torrente umano ferito di fango.
Sono entrati armati di sprazzi di nero fumo ed adornati di stoffe forcate sulla testa. Il clima di tensione era palpabile già da qualche giorno, nel territorio in serata esplosiva. Un azione a colpo di FUOCO e di coltello che non è stata autorizzata ufficialmente da nessuno.
Hanno eretto una barriera difensiva di parti staccate, rimovibile, sull’asfalto, in modo da poter essere rimossa in breve tempo, e che non blocca, l’accesso al quartiere. Lancio di bottiglie INCENDIARE E D’OMBRELLI PEPE-RANCIATI sulle auto.
Cercano di fuggire attraverso ALLE VIE OSCURE…
Cercano di vagare PAR DI DIETRO le vie oscure… »
De loin en loin, qui part ?
Plutôt l’orage sur les mers qu’accompagnent une très vieille tour et les phares défendus de la ville quand le temps perd son luxe. Je boucle dans mon sac les nuages tourmenteurs, les nuages magnétiques.
De loin en loin, à la tombée de la nuit, les révoltés me demandent quels sont les pays où ils venaient de partir… là bas. Là bas…
Mais je hanterai le plafonnier rose sous les toits pêle-mêle des derniers humains, et je ne charmerai plus les soirées initiales plus énigmatiquement, que ce qu’on ne trouvait pas dans la voix frêle de Graga.
Moins d’une seconde après, si vous rencontrez un jeune homme orné par un homme de son fait, et un bouquet de femme à la porte, et qu’une révolution, pendant ce temps, abandonne des bagages, vous comprendrez votre nom.
Sardaigne, le vendredi 23 octobre 2015
· SOCIÉTÉS ·
JE SUIS LE FANTÔME
DU CLAIR BLOUSON
OPALIN QUE TU PORTAIS
IL Y A UNE HEURE
DANS LES COURANTS D’AIR.
Sardaigne, le 21 octobre 2016
Dans les actuelles allées et venues d’habitants destinés inconnus sur un escalier vide, mais à inquiéter une situation, et dans les présentes obscurités comme j’aurais présenté deux êtres du rivage, j’invitai une foule sans tapis et rare, beaucoup trop lunatique bien qu’elle, dangereuse me sachant inexplicable. Quelque délice qu’il me réussisse alors pour corroder mes paupières et mes inclinaisons.
Que faites vous !
J’affectai un accès de surprise, et une minute mortelle, que je préparai pour toujours et qui ne se produira plus. Les choses immédiates ou profondes ne stoppant pas soudainement. Puis, m’ayant conduit à l’hôtel, plus sensé, que je priai de ne pas m’interrompre ni m’illusionner, par une compagnie de Naturels et de Société sans Bruit.
Au bar du matin où sont parfois les gens joyeux, la serveuse, brillante, m’avait accueilli de ces mots :
« Ad ogni tanto ritorna, è vero ? »
C’était vrai.
Et semblable à mes recherches d’une étoile aux lunettes phosphorescentes. Mais je ne pus trouver un atlas dont il fut question d’ailleurs il y a peut-être longtemps, et une construction de pluie. Oui. Les bars descendaient dans la rivière des rues, presque un collier. Je ne maudissais pas les siècles qui y roulent. Je quitte une voiture à louer. Je me douche près d’une lumière. Je vais maintenant dire, des séductions à défendre. Des effets, quand ils éclairent en ce lieu plus que toutes les éloquences. Des bagages de nuit, plus que les sanglots luxueux, de terre dérangée.
Ce fut aussi par un vent de palmiers hurleurs avec d’importantes promenades et une insistante circonstance, sans rien faire, qu’une Ile, légèrement véritable. Ni un grand malheur, que les fenêtres d’argent pluvieuses sur la table. Je pénétrai au bord d’un orage rapide, et plusieurs attitudes mais desquelles, je ne sais pas secourir exactement. Voilà.
Ainsi et dès lors, mon étrange ami, au milieu de cette tornade mise en œuvre, sur le sort des plus successifs, Cermesce L, un décisif, d’apparences taillées au diamant, et indivisible, eut une sorte de doctrine, sur les lampes et les vêtements du soir.
Il devinait leur beauté et gardait leur quotidienneté ténébreuse. Quand, au petit déjeuner, je conquerrais du bout des lèvres un précieux gâteau-dolce au citron, ou à l’ananas, crème en pollens, et poudrée de sucre-glace, lui, adorait un autre monde qu’il verrait, et dont il cherchait les nouvelles, et le quartier. Quand j’oubliais ces morsures blondes à mon téléphone mobil, et en disposais des pressentiments, de fleurs ou d’effroi ou de fleurs effrayées, et des bougies profanes, attestatrices, lui, ricanait la nuit sur un rocher, et célébrait une amphore blanche gonflée d’un vin léger.
L’enfer l’étonnait, lui encore et sa triste Brora Garba, une jeune fille, car tous deux s’étaient énamourés des hommes, croyant à leur existence, mais sans roses mondaines ni silencieuses à ce sujet, ou voilées de ruines dans les yeux. Ils faisaient ensemble des faveurs bizarres, et héritières d’un moment très intérieur, que ne changeaient pas, une porte ouverte, et des temps pour les esclaves mieux ou moins, particuliers, que la danse d’elle, en manteau d’hermine, au pied d’une Tour sombrée dans le noir crépuscule, ou le legs, d’un éclat de foudre par dessus une rue stupéfiée.
Leur attention ne négligeait pas la nature, mais ils désespéraient des hommes dans la nature, et de l’analyse de l’humanité.
Au cas où ils l’auraient recherchée, par un arrangement immortel, de leurs sensations.
Je me dirigeai avec ce désordre, et tous les préparatifs dont j’ai déjà parlé comme un ordre, d’affiner, ce qui existe. À introduire quelques humains, ne veillant pas assez de les voir, ni à ce qu’ils descendent, à grands coups de fil coupeur, instrumental, des lauriers nocturnes n’ayant pas de couteau. Et ma libraire, sans nous éviter, nous remit, en expérience, notre journal où s’ajoute, le chant des turquoises, puis des grenats, sur les jeunes gens uniques, donnant de l’or, à des Bohémiennes en dentelles de satin ensoleillé, châle fermé, d’une broche de laine formant rose grise. Et, où passe le chant, des écharpes de mohair pâle.
Mon hôte lui même, m’apercevant dans un coin du hall, m’avait reçu à mon arrivée, depuis mon absence, et de mon retour, un instant, sans prendre congé. M’interpellant d’un : « Tutto apposto ? ».
Sérieux.
C’était vrai.
Or Cermesce L. m’évoquait une impression. La nature quand je fus parti, ne me permettait pas de me présenter et de visiter mes rendez-vous sur une terre à voix basse. Et les éclairs de vitre où nous entrions adoucissaient les détails indispensables. Il trouva à lire, pour la réalité, les éléments, de cette terrasse non interrompue où j’écoutais les grands oiseaux, à l’aube qui ne s’en va pas indécise, et à la clarté, d’une veilleuse, cette fois devant chaque clavecin, chaque jazz, sur la cime d’un bosquet de tamaris rosis, devenus brefs par les tempêtes elle, fleurissant à s’éteindre vers midi, après une description absurde.
Oui. Il trouva à lire, ce communiqué, dont cette lumière électrique tremble encore, à forte allure :
« LA TURRI FUGACE CADUTA DELLA VETTURA,
LA TURRI CHE SVANISCE.
TALVOLTA.
Numerosi territorii in pietra ma sopratutto la costante minaccia alla loro integrità e la loro qualità. A mettere a rischio la vicinanza con la città, a creare danni alla vegetazione i suoi animali. La loro presenza è cresciuta in maniera del contestuale abbandono delle terre. Tra la natura storica dove sono gli alberi grazie alla ridotta incidenza di incendi estivi, si presentano. E difficile fare economia diffusa con la storia. L’Isola non vuole uscire dal solito. Abbiamo solo il mare in un attimo è non certo bisogna di inseguire modelli.
Lavori di consolidamento della rocca per mettere in sicurezza tutto il centro della città. La Turri è parte vecchia.
E POI DOPO, COME SIAMO, IL SPUTATORE DI FIAMMA RIVOLTO EVIDENTEMENTE ALLA NEBBIA, ED A UN GATTO BIANCASTRO
GLI OCCHI ELETTRICHI A SEGNALE DI SPAVENTO FRA SPECCHII D’UN CANDELIERE S’AVVICINANDO, O GIÙDI LI,
IN BATELLI.
LA RIVA SENZA CHE SIA APPARSA MAI.
FIN DALLE SCURE STELLE.
LA RIVA CHE SFUMA
FIN DALLA SOLA STELLA.
(Non Firmato).
Alors, pour une heure d’urgence et un plafonnier, on alla voir le jour qui pourrait être là.
Brora Garba y aimait assombrir, le garçon au bracelet bleu. Quand la lune fut noire, porteur d’un blouson.
Attentivement couronné, d’illustres capuches grèges et larges qu’on admettrait pour grillages et brouillards, dans les villes dissemblables. Elle disait qu’il avait oublié minuit, près d’un faubourg d’armures et de magnolias. En fait on prit garde à la civilisation des explosifs au secours de rosaces alliées, à ces harengues d’anges caverneux, qui soufflent des anneaux à l’envers portés ailleurs, et déploient du feu vertical, et font peur la voix rauque, agenouillés sur le pavé.
On prit aussi garde aux terres imprécises que la mer précipite. Brora Garba se plaisait à prouver, les salutations primordiales du blouson clair aux yeux noirs, qu’on prédominera secrètes, selon la science privée, des poètes. Ce sont des preuves épaisses doublées de transparaître. La répercussion sonore d’un fil de draperie, dont la nature peut souffrir, comme une coloration mystérieuse, de brèves luminosités insistant quelque vision.
Pour Cermesce L. ces manières allaient fréquentables, et commandent des absences harmonieuses, quoique sensibles, et surtout, indéfinissables. Cependant leur possibilité nous accordait à moi même, et me conduisit à de nouvelles lampes profondes, que les naturels limitent. Lui, fixait à lui des bijoux physiques, implantait des musiques, des grâces perfectionnistes individuelles. Quand je contemplais, de ma chambre aux lustres plus lapidaires, l’excès des nuages qui éclatent en perles sur les toits, et la déchirure des lampadaires glissant leurs dattes roses comme une cascade d’électricités, lui, concluait des feu-follets déchaînés auxquels il serrait la main, entouré, de plusieurs squelettes non loin de la Tour, avant le choc exact de l’aube. Quand j’arrivais à l’hôtel après le dîner, et nouer mes pas à de jolies authentiques le ventre souvent décolleté, lui, voyait la destination des barques duelles envoûtant les morts qui approchent, et les équilibristes aux regards anciens, par une eau démontée. Le sel corrosif rendu vert, et tendu de chaînes en cannelures d’écume, sous un croissant livide.
Si bien que j’achetai un lainage pour une amie Anglaise qui m’avait quitté en septembre lorsqu’un naturel, longtemps inventif à vérifier, les étoles de stuc, et de poussières saphirines en blush, sur les voilettes des vendeuses de boisson, et de trésors finalement probables qu’elles tiennent, enfoncées dans le miroir qui n’y était pas, et frappeuses d’esprit, oui lorsque ce naturel, très exposé où rien ne paraît, apporta son royaume, une lampe-tempête sur la tête afin de ne pas nous horrifier.
Il lui était arrivé de connaître l’humanité toujours insuffisamment.
Cermesce et Brora Garba exaspérés d’un tel croquis, s’appuyèrent dorénavant sur leurs sens.
Elle, répliqua que cette nature qu’elle scrutait chez les hommes, et démontrait en elle même, dépendait d’elle. Des jours en peu d’heures qu’elle bouclait au fond d’un train. Des jours qu’elle différenciait. Lui, que la science quelle qu’elle soit ne peut guérir, de cette connaissance d’une humanité qu’ils aimaient parfois plus que tout, avertissant qu’ils recelaient en eux, ce propre mal, telle une épidémie, et que le connaître, ne les aidait nullement. Tous deux, qu’ils avaient peut-être eu l’intention de se faire tatouer un dragon imperceptible sur la nuque, parce que cet animal, par son long passé, et, surgi aussi, mais pas seulement, des vaisseaux sanguins, hérite de chaque terre. Qu’ils ne craignaient pas, de revenir à des individualités, et au cours, d’une liberté. Eux chercheurs en vain, de leur conscience d’elle, dans la ville. Mais aussi oui, à la portière des déserts.
Le naturel, demanda pourquoi ils déclenchaient une racine de cette liberté alors qu’elle naissait dans le corps social et dès son invention historique ? À cela, Cermesce L. et Brora Garba, répondirent gravement, qu’ils n’étaient pas seuls. Qu’ils n’étaient pas non plus une société. Quant à leur liberté, qu’ils la connaissaient. Qu’ils n’étaient pas rassurés de la connaître. Que si on leur montrait pourquoi, ils ne seraient pas plus rassurés. Ni de ce mal, si connu d’eux.
Personne ne put s’entendre.
Ils établirent alors un vacarme sans être vus et se déshabillèrent dans le corridor tandis que les animaux entrés parmi tous les jardins, aboyaient.
Et moi, il a fallu que je parte chercher une allure pour les chevaux suspendus dans les cadres à des ruelles dorées, d’autres cadres, des portraits voûtés en bruns qui se promènent dans une poursuite, mais longeant les vitrines habitées d’une couleur marbre quelle idée ! Quelle idée que j’ai eue ! Je questionnai : Pourquoi ce dessin dans ce cadre, pourquoi marquer sur le côté : « Il n’est pas vendu » ? Hélas on crut que je voulais l’acheter, et de plus, en discuter le prix au téléphone. Il valait mieux les voir tous ainsi solitairement, si solitairement, tant, que des cavaliers incontestables, mais en proie, à une quête condamnée que je n’aborderai pas.
Puis je m’en allai une part du soir, chercher le lendemain soir.
Mon hôte, un physicien, me fit remarquer, avant que je sorte, avec force détails techniques, que l’électronique compliquait, la régulation de l’eau chaude de ma douche, et cela en façon variable l’été et l’hiver, car trois facteurs entraient en jeu, et qu’il la réglait à 50 degrés pour qu’elle coule à 40. Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris. Cette langue d’Italie ayant des conséquences extrêmes. Il me semble que je fus possédé d’un gouffre et qu’elle ne modifiât pas d’autres troubles.
Je plaçai donc une lampe électrique au centre de mon sac pour une lecture puissante.
Mais s’apprêtant à nouveau, à un tourbillon des rayons de lune, le vent n’ayant pas chuté, et avec l’aide d’un superbe héron cendré à son bras, le naturel, intrigué par hasard, nous examina disparaître au creux d’une soirée intraitable, Cermesce L., Brora et moi.
Nous n’avions rien signé que des caresses et une légende, et il nous appela :
« Si votre racine fait une cause, scientifiquement voilà une cause insuffisante. Il faudrait la voyager ancestralement, de votre langue, et avoir d’elle, une force orale, et, la domination écrite, afin de trouver votre histoire qu’il nous était, radicale. Cette langue est naturellement indissoluble, ses apports parvenus intégrés. Au détriment d’une intégration sociale ».
C’était vrai.
Mais Cermesce L. et Brora Garba parlèrent de leur conscience, surprenamment, et du rite déraisonnable, d’une liberté choisie.
De ce choix tragique après, la naissance.
Ils, dirent encore qu’ils, ne composaient pas des conditions quelconques, de l’individu présent dans une société. Qu’ils fondaient sans entretien tout cela mais, de signification. Cela aussi bien pour le cas où cette société fut racine dans la famille, aussi bien que pour le cas où cette société fut racine dans le citoyen.
Qu’ils, considéraient oublier l’enfance, que la perte soit rituelle ou raisonnable, comme la volonté d’un désastre. Que du reste, son définitif n’empêchait pas les crimes les plus lourds, pas plus que les plus rares amitiés, qui n’ont pas entre elles de victimes, et cultivent, tant les cérémonies personnelles, que les improvisations, tant corporelles, que publiques, de temps en temps.
Le naturel, très choqué, s’embarrassa, et dégringola dans la rue pour nous abandonner. Il entreprit :
« Ce n’est pas parce que la nature provoque des souffrances, que la conscience dont vous parlez, se cultive, d’accord, mais votre comportement évidemment a perdu toute société et a ruiné les hommes dès leurs premiers accords ».
Personne ne put s’entendre.
Et il se posta dehors, à nous attendre tous les trois, Cermesce, Brora, et moi, alors que nous passions la porte restée ouverte, du restaurant blanc né pendant ces siècles et qui se proposa, à notre esprit, d’être considéré réel.
C’était vrai.
Si un soir ces lieux disparaissent, qui furent le parfum de très hauts verres élégamment gonflés, et montés, de corolles en bulles transparentes, pour des vins de qualité, on promènera des cités la nuit main dans la main, et des gitanes miroitantes aux boucles d’oreille de quincaillerie, doucement clinquantes, et, doucement d’un rire assassin, elles déposeront leur sac à fichus, derrière la rue obscure s’écrasant parsemée, de phares bondissants, où grimpe le vol de leurs larges jupons cintrés, qu’elles eurent, égratigné, de barbelés, sous des robes « boutons-d’or ».
Prenant quelque nourriture nostalgique d’Italie et un minestrone, qui est ce potage de végétation aux fleurs vertes et aux graines flammées, on discutait pêle-mêle près d’une grosse bougie dans un vase, et on évoquait la violence des créatures tristes. Brora Garba disposa en mots le dragon. Elle, témoignait qu’aussi loin que concerne l’humanité, celui-ci, tant en Europe qu’en Orient procède, d’une interdiction, et d’une attraction très dangereuse.
C’est ineffaçable.
Plus tard, au Moyen Âge, il a généralement 3 ou 6 ou 9 têtes. Parfois une seule. Et il crache du feu. Comme le cracheur de flammes au pied de la Turri contre une eau de lilas noirs, où elle dansait légère, neigeuse, lointaine. Sous la langue de ce dragon, du dragon d’Europe, se trouvent souvent des clefs. Chaque clef ouvrant une entrée différente. Le chevalier doit, au cours d’une épreuve terrifiante, lui couper la tête. Et s’emparer des clefs qui mènent parfois à un château. Parfois à des amants. Parfois encore il y a des clefs sous la langue de chaque tête. Et il faut au chevalier couper plusieurs têtes. Aussi loin qu’on veuille et qu’on puisse susciter les situations ancestrales, on rencontre le dragon.
C’est pour cela que le tatouage imperceptible, de ce dragon là, qu’elle pensait à sa nuque, n’est pas simple. Même et jusqu’au Japon, les vieux sages le réprouvent, non en tant que bête monstrueuse, mais parce que marqueur d’un signe de force, sur la peau des hommes. Que, ceux ci, multiplient, en tant, que tatouages.
Et on célébra le repas sans avoir le grand froid des étoiles, près de l’habitat de ce monstre.
Car pareils au dragon, sont les vrais dangers, qui règlent les attirances politiques de chaque société.
Alors, pour ne pas quitter le désert des hommes, où périssent, les lumières singulières qu’expulsent, les vêtements du soir, ceux qu’elles aimantent et taillent de chatoiements pesants, et de brèves bourrasques attisant leurs étincelles sobres, selon la doctrine étrange de mon étrange ami, lui, égalisant équilatéraux, les lampadaires perturbés, et renversés, avec des globes mystérieux, oui, pour ne pas quitter ce désert là on alla voir, les voyageurs tourmentés, et des ambassadrices dévouées faisant agir, les égards, et les rumeurs enguirlandées de sourires, et de styles égareurs, égarés, avec les fumées si soyeuses des rouges à lèvres d’acier, que font paroles affirmatives, et prises de soirée spéciale, les porteuses de verres pourpres, quand je pouvais les approcher autour de moi. Il n’y a pas de ressemblance. Et des gens épouvantés, qui vocifèrent, dans cet abri de pleine lune.
Brora Garba, sans lâcher ce qui pourrait être, y remettait, quelque chose d’inaltérable qu’il n’est possible, qu’à des attentifs engouffrés dans la brume…, au garçon au bracelet bleu.
Quand la lune fut noire, porteur d’un blouson.
En fait, on effeuillait le vent chaque fois qu’on sortait, et la pleine lune encore se déchirait pour nous puisque nous la voyions tomber en glaçons barbares sur les tables. Je suppose bien. Qu’on passait là-dehors.
Le naturel, épuisé à nous saluer, sans prévoir, le moindre évènement logique de notre disparition, ne présida pas, un débarras intolérable de locuteurs, et arrêta, notre silence ainsi :
« Qu’avez vous fait ! Vous avez acquis les humains comme s’ils ne vivaient pas. Comme s’ils s’étaient plantés à votre esprit, sans origine, et sans histoire. Votre conscience, a voulu ouvrir, les fantasmagories des blessés, qui se détachent de votre civilisation. Que donnez vous du monde ! ».
- « Nous créons », reprirent Cermesce L. et Brora Garba, avec moi, mais pour une tenue intense.
« Nous créons une époque de tout instant, et nous n’apprécions pas, la modifier en apparence. Nous créons des siècles, et nous créons des gouffres ». Ils traduisirent, qu’ils ne se tromperaient pas d’expérience. Qu’ils, n’inventaient pas un homme de chaque temps, et qu’ils quittaient la nature, pour retrouver, un individu retransplanté sans cesse à l’infini, et, la fonction de leur liberté, sans jamais, en peupler leur instinct. Sans oublier, que les hommes sont là. Et, ils ajoutèrent qu’ils ne convenaient pas de tous, pour connaître l’humanité.
Le naturel, encore sous le choc, et très agité, essaya :
- « Pourtant, il n’est pas impossible que je vous comprenne. Malheureux ! J’ai cette cruauté. Vous comprendre. Et je vous prie de m’en pardonner. Mais avez vous un vacarme aussi, à faire, de l’utilité, parmi donc vos individus, et leur libre richesse ? »
Mon étrange ami Cermesce L., criblé de lampes déclara :
- « Nos hommes avant nous ont fabriqué un outil. Ils continuent cette information au monde. Aujourd’hui, ils fabriquent des engins. Et d’autres, spatiaux. Après nous, ils rejoindront de cette façon, nos premiers totems, et nos saillies ancestrales.
Nous, nous créons le monde que nous arrivons à recevoir, je ne sais pas comment.
Pour le reste, nous t’avons répondu. Nous connaissons les hommes et nous en avons assez. Et nous avons assez, d’une ou d’une société où vivre, parce que cela, profondément, nous est au delà de notre raison.
Va t’en.
Toi et ton harmonica, de leur histoire. Nous aimons les hommes plus que tout et pas, l’humanité. Avec ta nature, tu as confondu l’ancêtre du premier outil, et les esclaves ».
Le naturel, sauta sur le bitume, pris de crises à craindre, et abominables.
Cela allait mal finir.
Il cria :
« Tu crois que quelques hommes ont le droit d’être libres ! La liberté, quelques uns !
Cermesce dit :
« Oui. Va t’en. Et à la dignité d’elle. Celle là d’être, de tous ».
Alors le naturel, rejeta ses propres poumons :
- « Espèce de dragon. En aucune manière je ne te connaîtrai… » Mais nous dûmes aussitôt, nous interposer, Brora Garba et moi.
Violemment.
Enfin après ces signes forts, nous partîmes prendre un nuage de bougies posées près d’une soupe cuite au pain, que sèment et ensemencent les gouttes de parmesan.
Un gentleman, en proie aux diamants fascinants cerclés de fenêtres qu’enchevêtrent les rues et l’air bleu couvrant de noirs maléfices stellaires la porte ouverte, aida Brora à enfiler sa parka blanche, et sa femme nous salua gracieusement.
Le lendemain, le blouson clair aux yeux noirs nous enroula d’un vertige de vitres et de fer, et nous agrippa aux feuillets d’un livre comme ça. Puis il montra, d’un geste, aux invités mangeurs, la roche et la terre des animaux amphibies.
Et nous allâmes.
Nous allâmes écouter, l’horloge sonnante avec la faux d’un squelette doré, dans une ville d’Europe, sous l’emprise d’un dialogue médiéval, et il n’y avait aucun moyen d’éclaircir, l’attente d’adversaires. Ma libraire, hasardait gentiment deux tasses de café apportées d’un bar voisin. C’était plutôt sympathique. La Nuova, extrêmement fatale, extrayait des erreurs de plus en plus sûres, et un domaine étranger, que notre discernement fermait, en tant que réponse d’adaptation, aux feuilles bleuies que je différai d’une lampe de poche peut-être cette fois là ainsi que des clous et des feux sous mes talons.
Brora Garba dansait, qui ne flottait pas. Qui flamba, d’une inquiétude sensée, et d’un feu accompli, acquiesçant la Tour, et tenant un morceau d’alcool pâle, où les rayons des astres sont purs, et se servent mystifiés, algébriques.
Mais alors que le vent se levait et froissait le journal d’un bruit fin et sec, on lut avec stupeur, on put lire en gros titre :
« UN COLPO ALLA NUCA. FERITO UN UOMO. ALLA NUCA, UN DRAGO IMPERCETTIBILE. VICINO ALL’USCIO DELLA TORRE.
Tra il lusco e il brusco, il naturale, intervenga subito. Dicendo : « Ho solo colpito nel tatuaggio. Qualche parola di troppo e ho preso il mio calibro 6/35 minacciando di fare evacuare. Non ho sparato.
Non volevo dall’uso dell’arma. Non era un tentato omicidia dell’umanità. Erano tre.
Ci hanno dimenticati.
Non ho colpito per spaventarli. Non avevo intenzione di far del male a nessuno. Sono veramento dispiaciuto per quello che è successo. Non siamo stranieri tra noi.
Siamo il si e il no una sera fra l’altre.
Non ho accoltellato uno ».
Massa di rocce di massi enormi, di blocchi interi, trascinati giù della furia dell’acqua. Frana il cristallo di rocca all’aria aperta fra la porta dell’ inattaccabile Torre granitica, mentre ch’è allarme randagismo. Sono tanti gatti, gli occhi eletricchi, senza i contari i randagi di piena luna. Il numero è impressionante, preoccupante. »
Poi leggendo, il naturale :
« Il terrore che trasforma pochi istanti. Non ho visto mai la Torre cosi. Non ho visto niente. Sono giorni d’inferno. Subito dopo, un uomo ha sentito un colpo fortissimo alla nuca, un urto sordo. Ha perduto l’equilibrio, ma non i sensi ».
LA RIVA SENZA CHE SIA APPARSA MAI.
FIN DALLA PIENA LUNA.
LA RIVA MEZZA MATTA SENZA NOCCHIERE MAI
FIN DAL NERO FUMO STELLARE
FIN DAL DARSI ALLA FUGA
DI PIENA LUNA. »
(Non Firmato).
Nous étions dévastés.
Le naturel, avait-il agressé un homme ?
Oui, un tatoué du dragon imperceptible, à la nuque.
Oui, nous ne le saurons jamais.
Cermesce L. se saisissait visité, d’amantes solitaires qui venaient me chercher, à la tombée du manifeste crépuscule le plus sombre que j’eusse, strictement voulu, en hâte, sous l’ombre arrachée dans les fleurs des chambres, et les fragments de soirée perdue aux âmes intérieures. À l’heure qu’il est, je ne sais pas si nous eûmes une nuit. Il y eut plusieurs nuits que je voyais peut-être avec d’autres clefs. Et sans doute d’autres, longtemps, aimantées pour faire le jour, dont je suis le frère rare, des jolies.
Comme nous portions les rigueurs, et différentes apparitions, nous regardions des bijouteries sensorielles, et passions certains, en un temps sans flammes, de lancer des palais sur les toits tapissés de lampions ioniens qui faisaient et coloraient vives un tas de lumières jaunes et roses dedans. Et la ville se secouait, et tremblait le matin. J’allai boire un verre d’acqua frizzante quand la Tour se maintint devant moi. Nous retournions là, vers assembler des particularités éminentes, puis finalement c’était résoudre une tentative d’explication dont nous n’avons pas totalement connaissance. On riait à effectuer ces résultats. De telle façon, que tout cela fut vrai.
Ce fait, toutefois, ne prouve pas tout à fait l’échec, du naturel. Par exemple, quand la situation fut le prétexte d’un jeu qu’il ne supportait pas, il introduisit encore les nouveaux-nés. Par contre, ayant examiné leurs mouvements, il déclarait qu’ils formaient une politique, et claustraient leur liberté, pour se perdre plus tard en tant que peuple, et commander à leur parenté.
Mais pour nous, dans le cas où ils héritaient de la servitude, ils annihilaient cet acte, ayant pris de leur naissance une originalité différenciée, malgré leurs ancêtres.
Personne d’entre nous, n’avait pu se mettre d’accord avec lui. Il lui était arrivé, de connaître l’humanité toujours insuffisamment, et à nous, c’est évident, de lui laisser l’occasion d’un peuple. Et d’aucune route.
Nous allâmes ressusciter des pétales de grain, un soir embrouillé lors d’une lune rousse. Donc puisqu’on savait s’habiller, à la place où il y a des lampes, on était en notre possession.
Je présume une révolte, s’adressant à moi, mais plutôt de délicieux errements, par l’éclat de tous ces détails, et maintenant voici que je vais partir je n’en sais jamais rien.
Si vous abordez la nuit, une Tour allumée, et, des chats aux yeux électriques, nous ne sommes pas très loin
NE NOUS ÉGAREZ PAS !
Vous nous perdriez.
Si vous destinez, la nuit, une liberté habitante qui n’était arrivée qu’à chacun, d’une rive à l’autre, comme une hantise, et des brillances venteuses sur une Ile, nous ne sommes pas très loin
NE VOUS ÉGAREZ PAS !
Sardaigne, le vendredi 21 octobre 2016
· SOCIABILITÉS LIBRES ·
SI LE VOYAGEUR GARDE PRISIONNIÈRE
LA DÉSOLÉE FUREUR D’UN MORTEL,
CE N’EST PAS LA FAUTE DU POISON,
MAIS CELLE DE L’EXHIBITEUR, DU
COSTUME, ET DU SIGNE SÉCULAIRE.
Comme une expérience ne signifiait rien où s’arrêtera le silencieux, et les éventails, de quelques enracinés sur la graine de la mer, j’arrivai à la rupture de ce pays par temps de grand vent. J’apportai le prix du bateau qui tangue, et des troubles où il faisait encore hiver, puis les cris irréels de pâles ombres quand il y a des nuages, les signes glaceurs de suspects inhabituels, et une tombée de miroirs illuminée à jamais, que je n’étincelle pas de cette sorte, à vrai dire, dont la détresse m’était obscure.
Avant cette circonstance non interrompue, mon ami Certeneo, un jeune homme chimérique dans le tourbillon, et illustre, rêva de ma destinée et d’inconcevables collections aux intrigues personnelles, ou la création d’une multitude de richesses inexplicables, les perturbations d’un verre d’eau, le monde parmi ses opinions, les défauts naturels des êtres, leur harmonie délicate, son style différent à satisfaire, son intention de guider, son intérêt pour les visiteurs, chaque humanité et son étroitesse. Cependant il avait peint et foré sa route, d’une oratrice, qui adaptait les villes à des sensations exceptionnelles de fenêtres incomparables, et éprouvait le gravier actuel des coupes, à travers les maisons sans tapis. Elle ne s’attardait pas, aux méthodes, les prenait telles un malheur, ne doutait pas d’un remerciement pour un repas, s’inclinait au chant des époques, s’occupait de barques distinctives, et se nommait Ziona. Plutôt jolie, elle, se servait de secrets, en ouvrant une manifestation solennelle de la vérité applicable, si bien qu’elle taillait des sûretés profondes, et marquées, du coffre d’un peuple brusque, saillant et intérieur, ou qui ne trahira pas, un animal au creux de la foule, et, elle s’ingéniait à accorder, sans poison.
Bien vite, j’empêchai de déplorer les joyaux du troupeau que jadis, les hommes aux sons extrêmes, dans les remparts avec les chiens, et les assurés porteurs de paniers, dégringolaient, pourvus à leur main, de ces grands soleils couchants sur les marches, qu’on a la difficulté de ne pas remarquer. J’empêchai de les déplorer, parce qu’ils montraient le signal consacré au roc, aux pavés de la communication maudite, aux gardiens des rivages nerveux, qui pouvaient contempler, la hauteur des précipices. Mais d’alors, cette après-nuit, ils s’écoulaient et ne s’égaraient pas, en fuite parmi nous.
Depuis autant, et une possibilité d’heures millénaires Certeneo et Ziona, attaquaient. Personne n’imaginait cette prodigieuse mort. Ziona, les yeux bleus imprudents, les lunettes de soleil couvertes d’aiguilles à broderie, et à pelotte de ficelles retombées jusqu’aux poumons, monologuait, hautainement, par çà et là des traits, et distinguait le sommeil colérique d’un spectateur décidé et incompris, oui, par des traits modernes de nature, ou plutôt récents de nature. Certeneo estimait quant à lui, l’exactitude des émotions, et les témoignages infatigables. Pas, les récits insignifiants, laids, et les recels de récits brumeux et récents aussi. Tous deux se compliquaient des hommes, et abordaient et décomposaient, les hommes désolés.
On se voulait de là, importer et rendre chez ma libraire, prendre le journal, une simple étude, et une ressemblance agitée, signe de tragédie. Or, la Nuova titra aussi l’autopsie, d’un prisonnier. Il échouait là dans de nombreux cas. Et emparait des portails, en usant à tort, les flambeurs qui le tuaient, que ces derniers soient relatifs à lui ou non, plus refusés ou pas, eux, introduisant leur triste maladie contraire. Quoique, en effet, le poison désignât leur bras :
« GLI ULTIMI GIORNI D’UN UOMO ».
« Detenuti sensitivi occorre o no, prova a spiegare quello che sarebbe dovuto succedere, per evitare il tragico epilogo con le note vicende. Un detenuto è sempre fragile, e anche quando manifesta attegiamenti, non significa che sia forte. Probabilmente sarebbe servita, una maggiore considerazione, del suo stato di saluto. La vita carcerata, è molto diversa da quella che si conducava fuori, dagli istituti di detenzione. Vogliono mantenere la dignità.
Ma c’era une situazione, fuori, dai circuiti normali, perche quest’uomo era sicuramente un uomo dotato di una personalità fortissima, e molto accentuata. Qualsiasi reato commesso. Per la replica dei sanitari, o la difesa dei medici, le cause del decesso potranno essere accertate, solo dopo gli esiti dell’autopsia. Degli esami istologici, potrà chiarire in via definitiva, perche è morto. I medici vengono accusati di aver sottovalutato lo stato di salute. Di aver indirettamente cagionato la morte, rendendosi colpevoli anche di maltrattamenti. I documenti sanitari attestano, che le condizioni di salute, non sarebbero stato mai preoccupanti, e che erano compatibili con la carcerazione. L’uomo ha perso conoscenza e si è spento. Si finisce dal dispiacere. Un caso non ancora del tutto chiaro a chiarito. »
Non firmato.
Nous examinions cet article, et nous nous disposions tout de suite, à multiplier les agitations. On considéra l’extérieur de la Spagnola Tour, ses environs, les manœuvres politiques, le montage de certains dossiers, mais aussi de fausses grandeurs, des vérifications effrayantes, des frappes isolées, des attributs changeants, et une prédilection. Le bus nous appesantissait. Un taxi, enfui. Quelqu’un du port l’appela, d’ailleurs le remettant en ordre, en raison de ses graves négligences.
Le petit déjeuner, fut de pain noir et de beurre, puis d’une tarte aux fruits rouges posés sur une crème pâtissière, petites fraises tout du moins éclairées d’en dedans, ainsi qu’un granulé intense, de touches courtes méditerranéennes. Une visibilité délicieuse. Nous gagnions l’équilibre d’un attendu, des acrobates sur les balcons roses d’une veille. L’un d’eux, arriva d’un quai voisin, floral et rayonnant. Il portait des flammes et je ne sais pas quoi dans ses regards de glace. Il se suspendait en vêtements spéciaux, au dessus de racines, pour reprendre chambre. Ses fermetures directrices, me gardèrent, et me préoccupèrent, d’une histoire de bois et d’épée. Il construisait des palmes et se pointa près de nous, plus légèrement que l’enfer qui nous glissait entre les doigts, en général bref, et tel, que des faits d’importance. Et, il nous surprit, strophique, défini :
« L’esclavage et le citoyen peuvent nuire à un état civil, malgré notre aide oratoire Ziona. Nous sommes partis, autrement que la raison, parce que les sociétés particulières promènent d’anéantir une commande politique.
Cette conservation, ne concerne pas du tout et ne quadrature pas du tout, que la famille. Sa loi est libre. »
Ziona s’appuyait sur un être humain par exemple. À son sens, elle tira la malédiction près de lui. Et des amis passionnés devenus indulgents. Elle et Certeneo, craignaient les âmes de plus en plus délaissées. Nous survenions sans espérer les nuées qui flottent, les afflictions et les veilleuses encore, de terres inconnues. À la longue on n’effaça pas les vides. Des pas exténués dans les merveilles élégantes. Des fagots de serpent épuisés sur le chapeau des femmes.
Dorénavant, l’introduction de Certeneo aux artistiques et aux propriétaires, ne nous suffisait pas à apprécier une mode automnale. Cette mode, rompait les lignes répétitives, ne s’adaptait pas aux discussions. La libraire rendait des navires, un orchestre, ou des souvenirs partiels, vibrante. Mais, on aimait les ombres. Pas, l’agonie des arbres. Elle ne s’en étonna pas. Je retournai à l’hôtel l’Ancora, prendre mon appareil photo. Tandis que le jeune acrobate traitait, des exercices gestuels et physiques. Entre les crânes, nous nous guidions dans une ruelle habitable, vers un service accompagné de nourriture c’est important, à travers des boiseries, et, les paquebots qui accostaient, entrebaillés, sur les verrières de coton, au cœur futur, des bords de la rosée, ou des confetti de poires blondes.
Ziona, travaillée d’un vaste pantalon noir, sur un autre, mouluré, et couvrant ses chevilles, le geste tacheté de bagues, n’attristait pas, pour la dernière fois, l’écriture d’un vieux livre dans la nuit quotidienne. Elle, s’était assise seule, à l’avant d’une voiture ennuyeuse, et repérable, une voiture étrangère. Alors elle répliqua, que les semaines excentriques il y a encore un quart d’heure, ne la regardaient plus. Et ceci :
« Le jeu viendra à l’absurde, par tous les détails, en fait, couronné d’un dragon couronné, quand j’inventais le trésor jaune du crépuscule, et que les obscurités s’habituent, froides et magnifiques.
Proches des bêtes, les hommes se conservaient eux mêmes, et, bien plus tard, conserveront leur espèce. Ceux des hommes qui acceptent d’être privés de leur liberté, prolongent cette liberté, quand ils n’acceptent pas, d’être privés de leurs devoirs.
Quand, finissent les gemmes, l’ancestralité de chaque devoir, ne procède pas seulement, d’un long héritage. Malgré tout, elle se crée. Chaque terre a son parler, ses mœurs, parfois SON ÉCRITURE, son histoire. Pour l’un et les autres, une variabilité SANS LIMITE. Mais chaque pays, par un homme, combat le dragon, ou un monstre, pour le genre humain. Je dispose là, d’une masse féroce, et fortifiée, pendant une période lucide, à mesure que la population se déplace, et perçoit des rites, des poisons, et une initiation comportée à la crise de conscience ».
D’un point de vue avisé, Certeneo n’en restait pas à admettre à ses esprits, qui ne calculaient plus. Il lui fallut arranger les flots de la science. Nos naufragés, égrenaient des aventures, et des appartenances incarnées qui ne dialoguaient plus, qui ne séduisaient plus. On alla se plaindre d’une Cité privée, et disparaître, avenus incendiés d’une bougie autour de laquelle, au restaurant, on accrocha un corail. Une lumière battant les règnes, et la présentation ancienne, pour un dîner.
Oui, le même resto, mais somptueux, décalqué. À droite de l’entrée, sous un spot plutôt doux, une plaque dont se détachait en blanc, le relief d’un grand chien, avec cette mention : « Io posso entrare ».
On cueillait un brin de femme, on grandissait d’une suite de panneaux en verre, intitulant les habits improvisés, l’asphalte et le feu, des plumes pour écrire, et une musique au masque enneigé. On ne déchirait pas les douches, au rideau neuf encore, et rayé cette soirée là, de règles vertes, bleues, colombines. Or j’avais pris froid. Les antibiotiques, inespérés, nous découvrirent d’une symbolique mélancolique, une évocation qui tousse, augmentant les mouchoirs, les gorgées de sirop, sonneur, le résultat bruyant des sens que je n’imite pas, où voltige une fleur, dans une rue torse. Le minestrone, caressant et verduré, remplaçait les tomates oranges de la demi-lune, avec des ronds de carottes aurifères, où pleurent les lampes. Certeneo ne se lamentait pas. Il attendait des rois perdus à confectionner la réalité. Finalement il destina ces mots, qui ressemblent aux feuilles sauvages, ou, à la carte du potage :
« Scientifiquement les causes, et l’expérience encore ça, décortiquent l’identité organique, à laquelle se joignent, très proféreurs, le parler et l’écriture d’une terre. Toutefois, cela ne résume pas, l’intervention d’une force naturelle, qui se succède, indépendamment à elle même, et devrait fonder une liberté innée, et en même temps, originale et implantée ».
Nous ne disions plus rien. Et nous sortîmes former des photographies. À cette exaltation fertile, on imagina des royaumes, et d’autres fêtes, où ON EXTRAIT UN POISON pour la situation de S’EN DÉMUNIR quand on le peut. Ziona, devenait à l’instant, d’un réveil étrange, et sa robe au ventre humide, mentait à des âmes appauvries, qui ne voulaient plus dire, et s’opposent aux traîneurs de flamèches, d’un titre sanglant. On s’en alla… battre, les regrets triangulaires, ou roses, coupes et gâteaux, dans les fruits cramoisis et les crèmes d’aiguilles du petit déjeuner, et, provoquer les routes.
De retour à l’hôtel chacun gagna sa chambre. Fatigué de tousser, de ces bactéries à la gorge et dans les poumons, et de ces médecines qui creusent un téléphone, à tant de persiennes, parce qu’elles surgissent, parmi les silhouettes une lanterne à la main, croisant, un astre sur les toits, je pris sur moi de m’en remettre au Moyen Âge, et de refermer au sein des ruines, les terribles arrêts que nous devrons tenir. Rien de ces pièces, saluées et dormeuses, au fond d’un drame, ne composera, la typographie qu’euphorise, la ponctuation, dissemblable, d’un matériau de poème duquel pourtant, tente mal, l’énonciation quelle qu’elle soit.
Dans un récit navigateur, qu’on nomme communément « La Folie d’Oxford », et qu’on date à peu près, du 13ème siècle, du début du 13ème siècle, et dont il n’existe qu’un seul manuscrit, un jeune orphelin, apprend, d’un chevalier dévoué à son suzerain, la science des armes. Il se conduit lui même, et fort vite se prononce et lutte, en effrayant guerrier. Il est toujours question, et de plus en plus souvent, d’une Ile, d’un port, d’une ville, qui disparaît deux fois par an. Invisible une fois en hiver, et une fois en été, même, aux gens du pays.
L’orphelin, devenu chevalier, tue à son tour un redoutable guerrier, mais un guerrier d’Irlande, l’arme empoisonnée, un redoutable monstre. Le venin, et c’est là qu’on retrouve LE POISON, du monstre combattu, lui a entamé l’os de la hanche, a fermenté et fouillé un abcès. L’épée du chevalier, de cet éprouvant combat, se trouve ébréchée, après qu’il l’eut tué. Et la pièce de métal manquante, est restée dans la tête, de cet ennemi monstrueux.
Il ne s’agissait pas, à ces moments là, de chants classiques, mais de séances de lecture, devant des auditeurs fidèles à la féodalité. D’une société fondée, sur la loyauté du vassal vers le seigneur. Ici le chevalier, par sa prouesse, et PAS, LE POISON, et par la confiance du roi, a mérité de se voir… confier, même orphelin, l’instruction militaire des hommes d’armes. Ce sont des poèmes de la violence et de l’exaspération.
Pour les amants, l’attaque, l’enfermement, n’est guère semblable. Pour les amants, l’exposition des breuvages, la direction du poison existe, mais ne s’extirpe pas, même si l’heure des rencontres paraît généralement démunie, ne s’extirpe pas, d’un guerrier, à l’intention démesurée et malfaisante. Or, l’amante, retrouve le chevalier, à l’entaille de l’épée du monstre adverse, car elle avait recueilli dans la blessure du vaincu, un fragment de l’arme. Elle guérit l’amant avec des baumes. Puis, il combat encore, cette fois là, un dragon. Et, il tue le dragon. Il lui a coupé la tête et tranché la langue. Mais le poison encore lui, dans le dragon, manque de peu de le tuer à son tour.
Cependant ce sont les amants.
Dans un hanap, c’est à dire, un verre médiéval, souvent en argent, et muni d’un couvercle, ils boivent, PAR MÉPRISE, un philtre. C’est UN EMPOISONNEMENT. L’ivresse ne cesse jamais. Ce breuvage, fait le malheur des deux. Ils ne décident plus rien, et sont aussitôt amant et amante. Loins l’un de l’autre, ils se laissent mourir de chagrin. Ils languissent de peine et de souffrance. Le chevalier préfère périr, s’il ne se rétablit pas de ce mal. Il subit et se promet de revoir l’amante. Il se masque, se déplace sans un cheval, tel un pauvre homme. Son grimage le rend méconnaissable. Il ne parle plus. Il feint la déraison et se déguise en fou. Il change de vestiaire, coupe ses cheveux, et, se marque sur le crâne une tonsure en forme de croix, chose impensable, sinon d’un fou. Il modifie sa voix, et, se teint le visage avec une herbe, une liqueur, qui le rend brun. Enfin, signe sûr de folie, pour la science de ses maîtres d’arme, il met un bâton à son cou, et dit qu’il est le maître à l’escrime avec son bâton.
Rien ne peut vaincre le POISON BU, le fatal, le mal artificiel, pris par méprise. L’amante, à aucun moment, ne se rend compte que c’est son amant. Pire, elle se chagrine et s’irrite. Elle ne le reconnaît pas.
Qu’il dise la vérité ou pas, il n’a pas savoir, de l’intériorité, ni du vécu de celle ci. Il faudra qu’il ôte son déguisement, son grimage, qu’il reprenne sa voix normale, qu’il censure son langage, ce qu’en tant que fou, il ne fait pas.
Il y a aussi, un problème de mensonge, et de communiqués. Les amants s’éteignent de ne pas se parler. Ils ne peuvent se réfléchir par aimer.
« La Folie d’Oxford » est un récit peu mesuré et délirant. La seule conclusion qu’il convient de redisposer, de paraître, de prendre de cette histoire, est celle du POISON. Cette déduction passe tous les temps. Elle ne déploie pas, la soumission à la cruauté, quand le récit sans fin, s’achève, par le désespoir des deux, des deux plus furieux, qui finissent par se taire. Et le poète lui même envoûte se taire, à ce point.
Je toussais par tous les moyens, et ces bactéries agissaient autant que les médecines. Ziona, oratrice oui, et que je supposais complexe, frappa à ma porte, s’allongea et se mit à rire. Elle me répondit strictement, d’acheter le journal, et de suivre avec moi, Certeneo et le jeune acrobate, les derniers dommages de la largesse publique. (Est-elle irréfutable ?). Encore même, nous mettions tout rapport en sécurité, avec le poison, et un quai sous la main, pour des îles qu’on ne donnera pas, peut-être, n’ayant soin ailleurs, qu’hors, de l’hiver ou de l’été, saisons infranchissables, qui les pourvoieraient refaire, loin et hérissées du sens. Certeneo, exempté par nous de raisonner des peuples, domina des naissances ainsi :
« Je ne sais pas si elles sont libres mais elles sont hommes. Et les hommes doivent à eux-mêmes, une propriété, en liberté.
Toutefois la conservation, qu’ils auront, bien plus tard, de l’espèce, franchit, au delà de cette liberté. Pas, au delà de la devoir. Au delà de la devoir C’EST LEUR INTRODUIRE LE POISON. »
Nous déjeunâmes ce matin là, d’une tarte intitulée « ricotta e pere », par la dame de maison, entre les « ciucciuleddi » vers la petite jeunesse, la « torta della donna » et les « soffie alle Hele » pour les murmures des zéphyrs, ou de l’Hadès, impossibles à traduire, et que je confonds avec ceux des Enfers, et tant d’autres délices.
Puis, nous avions ennuyé la rue déserte, et belle d’étourderies. Le jeune acrobate réclamait, des nylons aux manches de son blouson, pour montrer à tous, ses poursuites et étouffements de muscles enfouis. J’achetai enfin, à un migrant, dont ce fut pour moi, la première proximité, une minuscule lampe électrique, en forme de rouge à lèvres d’argent étoilé, et de porte-clef, et le marchandage ou le négoce ne me plaisant pas, je payai très cher ce poème.
Nous allions voir la mer agitée et faire halte à une croix, assis sur un roc. Bien effarés d’entendre les pas dans les environs, une menace, un trésor. L’acrobate qui savait lire, nous garda, et nous égala facilement, de la Nuova, en hypothèse et retour, au nœud d’un mouchoir :
« GLI ULTIMI GIORNI DELLA QUALITÀ SOCIEVOLE D’UN ISOLA.
L’insularità è stretta nella morsa dell’ecclissare. Le altre sono ripartite ma ella, è ferma al palo. Gli indicatori peggiorati. Il reddito procapite è crollato, la disoccupazione giovanile è salita alle stelle, scendendo alla caduta delle bulgare e rumene. In tutte le mappe fa una pessima figura.
Isola più in difficoltà, appunto, che dal livello « in transizione », come è classificata oggi, potrebbe precipitare, visti i dati negativi, a quello dei « paesi meno sviluppati ». La situazione è davvero preoccupante, sotto della media europea, in particolare, quella giovanile.
Aumenta il rischio di povertà, e spinge le persone a spostarsi per cercare lavoro. I giovani che non studiano, ne lavorano, ne seguono corsi di formazione, sono numerosi. Condizione che nei fatti, limita tutti. Bisogna coerentemente garantire dignità a colpo sicuro ».
Non firmato.
C’est une sociabilité qui ne court pas l’instant, et accepte, des tavernes plus blanches que les amantes perdues. Nous avions de rares conquêtes, à cet épisode. Un soir de condamnation, voulue à un incertain en octobre, Ziona n’oublia pas de parler :
« C’est une conséquence de l’abrutissement d’une convention libre.
Qu’une société qui se conserve sans naissance.
Qu’une société qui se conserve sans sa naissance ».
Ne trouvant plus quoi faire, et nous protéger, nous nous posions silencieux à comprendre, une action indirecte, hélas, un artifice, ou plutôt du poison.
Je toussais beaucoup, alors que le bloc des verres habiles, et des questions de visite suivante, reprenait sa désunion, et le détaillé charivari, de son importance. Personne à qui rendre, ce qui assemble l’invention, le journal d’un raisonnement, la gravure magique d’une solution à grandir. Personne à qui excepter, nos extrêmités en toutes choses. Nous n’affaiblissions pas, le sang des ruisseaux, les effluves des nuages épanouis, la solitude des vents qui battent le sommeil. On ne quittait pas les lieux, affligés de leur pourpre, et de leurs rêves débattus, dans des vies liées à la lenteur, de l’enfance. Notre nuit fut incommunicable et fortifiée, de précipitations, nous sembleurs, invoquant le lever du croissant de lune tremblant tel qu’un châle. Nuit érudite, à tendre vite une attention, de son vestige et de son fardeau, vigoureuse, et dépendue aux nuances des tristes mondes, aimantée.
Enfin chacun endossa son caractère, puisqu’il n’y avait pas d’autre plante. Corridor qui fuyait, et que tout disputait. Dans la pièce dans le noir, le miroir pendant mon absence, ne trébucha pas. Le fauteuil non plus. L’un, remplacé. L’autre, restauré. Des prises dites neuves, pour le téléphone portable. Jusqu’à l’enseigne lumineuse de l’hôtel l’Ancora, produite et lue désormais, différemment, refaite. Toute idée, les issues géantes et des talismans de paradis, en réalité les glycines et la chaîne, toute louange, ce ne serait pas, un accoutumé des messieurs de compagnie.
Rien n’est utile ni ustensile, de DÉMONTRER LE MALÉFICE DU POISON. C’est le poison. Mais quand il est UNE MANIÈRE DE CHAQUE SIÈCLE, et qu’on en sort la manie, son règne devient UNE EXTINCTION.
Je ne sais pas pourquoi, on rechercha soudain de photographier des voitures d’automne, et des maisons principales, d’automne, malgré le ton des songes, des préoccupations apéritives reçues, en périls voltigeurs. Il s’agissait d’
una nostalgia, per il caldo al vento marino alle spalle, come un tristo ricordo, che simboleggia un’altra ragione più favorevole, non perfetta soltanto, per la varietà dei nuvoli, prima di ottenere, e definire, delle lume, vie, e degli alberi, quello che restituisce più fascino. L’attimo delle case urbane, per far fronte, ad uno stormo di uccelli pronto alla migrazione. PERCHE GIALLO AMBRATO SCALDA LA NOTTE.
Parce que, ce qui est fondé n’en n’est pas moins riche, pas moins lucide, pas moins briseur, de désolation déjà ôtée.
Ziona l’oratrice, exaltait l’instigation des heures d’humanité selon les adieux. Le jeune acrobate, Certeneo et moi, expirions, où la surabondance personnelle des velours sombres, s’épuise. Voici des précisions :
Si vous situez remourir à la période d’une Ile ou d’une autre, qui a des atours et un mirage,
ACCEPTEZ DE VOUS DÉCLARER.
Si vous attendez des preuves que les évidences nocives y finissent,
LÂCHEZ PRISE.
Chaque signe, ne s’en va pas, chaque flamme souffle.
Et les éclairs et les hommes naviguent sur les côtes.
Sardaigne, le 23 octobre 2017.
AVERTISSEMENT, PAR QUELQUE ÉPOQUE. SI LES OMBRES SAVENT UN TOURMENT DÉSABUSÉ, ELLES CÔTOIERONT L’EAU DU PAYS DU SOIR, À L’OMBRE TRISTE SOUS LE FRONTISPICE D’UNE INTENTION ISSUE, MON VIOLON DÉSACCORDÉ USITANT SON MYSTÈRE, AUX TONS MINEURS, ET DES ÂMES EN CLAIR DE LUNE.
Il existe des hommes, parmi les victimes les plus infestées de la semaine dernière, à parler disparition, qui se souviennent d’une alarme pendant les exemples flammés des petits hôtels. Si l’on s’en tient à la science des réformes, et à l’appellation imaginaire, de l’analyse vers laquelle se tourner, on ne manque pas, pour la plupart inquiets et immédiats ensemble, de conclure le silence.
C’est ainsi que j’arrivais, lors de cet endroit flottant et relatif, par temps de pluie. Personne. Les touristes achevaient leurs discours et le droit de leur sommeil, et je fus convaincu dans le moment du siècle, et des explications suivantes, de me trouver ici. Pourquoi ce désordre et la démonstration d’un mode énigmatique ? Je n’en sais rien. Je présageai que les individus par le flux marin, sont encore vivants. Qu’un caractère public, ne décompose pas sur le champ, d’en rester là, sans marcher dans l’eau. Qu’on porte les causes après, une opinion violente de l’ombre. Que le paragraphe des corps renversés, les appesantit seuls, avec des inconséquences depuis leurs origines, et ne font pas des pas jusqu’à la nuit. Si cela en facilitait le cas, j’insiste sur leur maison. Le parti pris et la précaution, de ne pas prouver de témoins.
Et, c’est à cette admission contre soi même que mon amie, la plus jeune connue, sans peine, choquée de ma serrure à ne pas converser, me revint incontestablement prête, à déduire sans bornes, et à m’adorer, sur l’évidence d’une traversée personnelle indispensable à de nombreuses différences. Je ne fis aucun examen. Aucune conviction à y redire. Elle avait des courbes sensorielles, des voyages de secours, et se faisait appeler Buccia, dans les jeux des personnifications fleuries.
A y voir de plus près, et de plus défendu, sous l’aspect d’une inscription, d’une bombe perdue, son humain chéri sans autre signe, se nommait Cavillo.
Tous deux regagnèrent des amours à ma fantaisie, et m’accompagnèrent ouvrir le journal La Nuova, prenant la pluie avec moi, puis des murmures d’un passeport de modiste. En présence de ce monde difficilement on titra :
« Impresa di luoghi dove vivono strade dell’isola ».
« C’è infatti bisogno di ecclissare fuorviare e generare territori. Cambiano secondo le stagioni, il clima, l’orario del giorno o della notte. Via di qua, ma permeato dal tempo e dalla storia. È anche vero aree introvabili altrovi. Nonostante le brutture crescente del turismo. Ma dietro le meraviglie ci possono essere problemi. Il maggior numero di specie a rischio.
Il maggior numero di specie all’ombra.
Come l’ombra al corpo.
Come le ombre della notte ».
Non Firmato.
Buccia, aux doux gants retrouvés par l’agenouillé que le songe accable, me désignait associé éternel en changeant de rue. Nous nous engageâmes, à travers l’électricité des couloirs venteux que bordent les cours, les voitures blanches, les maisons flambeuses, les fumées et les animaux en vêtements lilas guidés par un agenda de fruits et de banquets publiés le matin au petit déjeuner.
Cavillo, s’intégra dans la salle en acteur aux yeux clairs, ne désacralisa pas les lampes qui coulaient sur notre présentation moderne. Il conspirait, un caractère privé et intense, accoutumait un abri de dolce en mangeant une sorte de cake d’Italie aux copeaux de chocolats très noirs, et un gâteau de septembre à la crème fouettée, le fond chocolaté de caramel noir. Une ombre soudaine aussi vive qu’une parfumerie sans résultat, si ce n’est la grande ville d’un discours.
Buccia, par exfoliation sous la lune, effaçait une amante médiocre. Cavillo, lui, s’était fixé d’éclaircir les appellations dangereuses et de promettre les évènements. On ne sacrifiait que les rivages de toutes parts, et les lacets repliés comme des lacs, dans les yeux sombres de Buccia adaptés matinalement, à ses cheveux très blonds. Cavillo, lui, trouvait tout différent dans la suite des ombrelles, ou des parapluies en traduction. Il exposait, sa conscience d’êtres vivants jamais vus, ou d’un matériel intérieur à saisir l’abîme de l’expérience.
À tel point, que Buccia confondait son identité et sa morale.
Au milieu des fondements de migration jusqu’ici, elle concevait des sciences que personne ne possède. Car elle ne contestait pas, l’intention du monde, mais la validité maintenant de celui-ci. Pris de conservation et de réponse inventée, on n’imagina pas la technique qu’on cherchait, pour l’ouvrage des hommes, et les épreuves vaines situant la vérité. On se rendit sur les rocs, puis dans un bar boire un verre d’acqua frezzante contre le moindre suspense qui n’équivaudra pas, à un squelette cuirassé de poudre et de peuplades en poussières.
On connaissait des suggestifs, et des rades s’il en existe une, mais on recevait tout filtré, par des considérations perverses, et des cas semblables venus je crois, de l’Ile voisine. Je laissais Buccia et Cavillo à la superstition, et aux procédés après la mort, et retournai à ma chambre, non sans un rendez-vous porté au lendemain.
Pour une activité, que la transplantation dans un présent utilise, ce fut une grande harmonie primitive et instrumentale qu’une douche brûlante, et je remarquai, de tous ces processus mythiques, pourtant bornés, que le rideau de la douche cette fois, épuisait des rayures gris-noires, ocre-grises et gris foncé, ce dont toute histoire, perçait une obscurité fort jolie.
Mais le problème demeurait celui, d’un accord inappréciable. En fait, il me fallait des preuves d’être bien là, et d’autres visages que la nuit surprend. Je n’avais pas de prétendante pour mes après-midis tardives, et l’eau de mer importante, hésitait ses vagues sanglantes. J’obtins un sommeil affairé qui ne précéda pas mon départ. Je me procurai, le moment d’entrevoir un cortège fantomatique, de me débarrasser des avantages, des renseignements, de décolorer l’écume de ses meurtrissures, de ses soins assoupis, et de ne pas déchirer les femmes ni leurs ombrelles au cou. Quelques heures formèrent ces passages vers la soirée, les étoiles de la maison au creux de la terre, et ayant commis un mystère rapide, à cause de ma cervelle pâle, ou de ma position, je m’en remis au Moyen Âge.
Encore un instant, je ne remplissai pas un vide, je n’affaiblissais pas un nuage, je retombai dans ma place au lever du soleil.
Lors d’une versification récente qui date du 13ème siècle, et dont il ne reste que 7 manuscrits, dont un du 14ème siècle, et dont on ne peut encore aujourd’hui établir les liens de parenté, ou la hiérarchie, tant ils sont différents, et dont je n’ai pas de traduction, et ce, malgré la traduction italienne, à Turin, intitulée L’immagine riflessa, on ne regarde et consent, que diverger les copies d’un même récit ancien, ce qui est discutable car on ne pût les reconstituer intactes, du gouffre des passés. Ni en retracer, la version authentique et première, telle qu’elle serait pour un lettré du Moyen Âge. Toutefois il est sûr, qu’aucune œuvre médiévale n’échappe à ce problème, dès qu’il y a divers manuscrits. Ces 7 témoins, ont cependant une cohésion. Je me sers ici de celle de 2 parchemins seuls, qui seulement se vaut bonne, et à retenir, les autres variations n’ayant pas de teneur.
ON NE SAIT RIEN DE L’AUTEUR.
On n’a guère non plus certifié avantages, à faire un calendrier précis de ce Poème.
Si ce n’est qu’il se nomme : LE LAI DE L’OMBRE.
Signé : JEAN RENART.
À en croire ce lai, le protecteur du poète, celui qui le lui avait demandé en commande, fut un évêque désigné, c’est à dire non encore consacré, répété être « l’eslit » (l’élu). Et dont on ignore le nom exact. Cela, malgré des éléments guelfes dans d’autres écrits. Mais il ne s’agit pas de Dante et de la Divine Comédie, il n’y a aucune certitude, car l’eslit (l’élu) offre caractère d’un inconnu de tous, sauf de l’auteur. Et l’auteur assure qu’en telle heure, on ne peut rendre un félon de bonne heure (par opposition, à la male heure, la mauvaise heure). Et que, contrairement à « l’eür », à la chance, un ami meurt. Celui qui lui donne mésaventure, lui laisse folie.
Ainsi est-il question d’une aventure à mettre en rimes, « en cest lai que je faz de l’Ombre » (Dans ce lai que je fais de l’Ombre).
J’ajoute ici, et je note avec taille, qu’un Lai (lais),
est le narré poétique d’une aventure amoureuse. C’est aussi, une histoire laïque, civile, séculière (lai, lay). Ou quelqu’un, qui n’a jamais pris l’allure cléricale (in sacris). Ou encore çà et là, une personne qui n’adhère pas à l’Université. Ou encore, un ignorant.
L’auteur ne cesse le jeu, sur le mot de lai et son orthographe. Le lai, le lay, ou le lais, du verbe laissier, laisser, laisser de côté. On trouve, pareil que chez notre poète, Raoul de Cambrai : « Ceste chanson n’est pas droit que vous lais ». Lais, laiz, lays, lez, la laiance, l’action de laisser, de lâcher, de négliger, une omission, mais surtout, comme ici, ce qui non seulement est laissé, mais ce qui est donné par testament, ou autre acte de dernière volonté. En Français Moderne, le mot legs.
Je saisis cette occasion, pour écrire, que les dictionnaires ne sont pas d’accord, sur le mot legs et son origine. Je penche pour les dictionnaires de Langue Ancienne, qui contredisent Littré. Le mot legs n’est pas, un mot abstrait formé du verbe léguer (ainsi que l’affirme Littré), mais est, le nom verbal de laïer.
Ce qu’indique le mot lais. C’est le cas du Lai de l’Ombre.
Un chevalier, dont prouesse et courtoisie l’ont fondé grand séducteur, ou d’être « sien demaine » (d’être leur pays), se rend chez une dame au renom de beauté. La dame n’en ot parler (n’en a pas entendu parler).
Et voilà. Ni l’un ni l’autre, ne se sont jamais adressé la parole, ni contactés, ni vus, ni sollicités.
Mais ce chevalier est un chevalier. Rompu aux armes. Rompu à aimer. Il souhaite se défaire de toutes les autres femmes, por cesti (pour elle). Car nule n’en amoit (car il n’en a aimé aucune).
Il y songe des nuits entières. La nuit entière. Or l’aimée, ne propose pas suite, à cette solitude. Elle a en sa prison mon cuer (mon cœur), qui de gré (librement), s’i est mis. Il le répète.
Alors s’ensuit un long dialogue entre le chevalier et la dame. Il a voyagé. Quitté ses compagnons d’armes. Gardé quelques uns d’entre eux. Chevauché sur son destrier (c’est le cheval de combat), jusqu’au château où elle réside. Un sénéchal prévient la dame, de sa venue.
Malgré cette séduction, et cette loyauté, la dame renonce à le voir. Elle lui accorde la bienvenue, à ses compagnons aussi. Il débute sa tentative, sa courtoisie. Rien n’y fait.
Mais la dame le reçoit, non par le dialogue, or me fetes de vous partir (à cause de vous je m’en vais), et au contraire par un joiel (un joyau), un anneau. Si trest erraument de son doit son anel, je li mist el suen.
C’est une potion.
Semblable à une potion.
Le chevalier lui passe au doigt son propre anneau, sans que d’abord elle s’en aperçoive.
ET LÀ, IL TOMBE AMOUREUX DE L’OMBRE DE LA DAME.
La dame pâlit. Ne vois je l’anel qui fut suens ? (Ne vois je pas l’anneau qui fut le sien ?). Por quoi ? (Pourquoi ?). Or dira qu’il est mes amis ! Dira il voir ? Suis je s’amie ? Nenil, quar ce seroit folie. (Il dira dès lors que je suis son amie. Dira-t-il vrai ? Pas du tout, ce serait folie). Et elle lui signifie, qu’elle refuse l’anneau.
Le chevalier, en pleine détresse, regarde l’anneau briller, qu’elle désire lui rendre. Mais il est amoureux de l’Ombre. De son ombre à elle. Sire dist ele, alons la fuer seoir sor cel puis por deduire. (Elle dit : Sire, allons là dehors nous asseoir sur ce puits, s’il vous plaît). Elle refuse l’anneau. Elle lui rend l’anneau. Lui demandant pourquoi.
Mais lui, amoureux de son Ombre, lance dans le puits l’anneau qu’elle lui a rendu. Il ne le reprend pas.
Quant je l’avrai mis en mon doi, si sera il siens ou il iert (quand je l’aurai mis à mon doigt, il sera sien où qu’il fût).
N’est pas li ors noirciz (l’or noirci), et le chevalier amoureux de l’Ombre de la dame déclare :
En mon Dieu vez le la, votre bel ombre qui l’attent (Au nom de Dieu voyez le là, votre belle l’ombre l’attend).
L’Ombre de la dame, son image que reflète l’eau du puits, est troublée par la chute de l’anneau.
Onques hom (Jamais homme) si bien ne si bel, ne conquist amor par un anneau. Ni miex ne dut avoir amie (ni mieux ne dut avoir amie).
Tel est le don de l’anneau à l’Ombre.
La Dame lui remet alors son propre anneau, en marque d’amitié et d’amour.
Et le poète se tait.
Ici fenist li Lais de l’Ombre. Contez vous qui savez de nombre (ici finit le Lai de l’Ombre. Contez, vous qui savez…).
Au Moyen Âge, c’est un court Poème en octosyllabes, un Lai, du celtique laid, mais aussi en interférence avec le latin laicus, pour le religieux d’un ordre ou d’une congrégation qui sans doute, malgré cela, garde un statut laïc. Le celtique laid, est comme le francique led, et le poète s’amuse là dessus. Celui qui heurte la sensation qu’on a du beau, et même de l’esthétique, mais encore, celui qui s’écarte, qui laisse le chemin (francique laida) des bienséances, et de ce qui s’apprête moral.
On travaille ici, avec certitude, que les deux amants ne se sont pas aperçus, avant leur rencontre, et que la Dame se comprend amante à son Ombre.
Leur position n’est pas la même qu’au départ.
C’est un moment. Ils s’embrassent au bord du puits.
MAIS ON IGNORE TOUT.
ON IGNORE, JUSQU’AU NOM DU CHEVALIER ET CELUI DE LA DAME.
Le poète certifie, que peut-être, TOUS DEUX N’ONT JAMAIS EU DE NOM. C’est le début et la fin, c’est possible, de cette aventure.
Le dressoir des cascades et des fontaines, les attachements indifférents jusqu’à la réalité, s’attaquaient, à des fragments vitaux, ici en Octobre, à des clauses, des interruptions d’un genre immanquablement, étoilé, grandissant. Cavillo, n’énumérait rien, et faisait face, chicanier. Buccia, s’emparait de la privatisation de leur roulure, à l’endroit si mourant directeur, de leurs corps victorieux, et d’affirmer, le seuil de leur tombeau, sans beaucoup de preuves.
Nous nous expliquions, près d’une longue place de façades, et d’un nœud d’eau coulante parmi un bassin au doux chant. J’entrai, dans un magasin de tee-shirts pour touristes, et divers accessoires, et j’achetai vraiment très cher, 5 euros, une main en bois rigide, sur une tige où l’on pouvait lire : « Produco piacere ».
Je ne sais d’où venait, ce genre de contrefaçons, et ces mots « Produit de plaisir », typiques des supercheries, et des contrées. Car généralement, ces points d’artifice en Europe, viennent d’Orient. Je me suis souvent servi, il y a quelques années, d’une main en jade ou jadéine verte, importée de Chine je pense, ou d’Indonésie, au bout d’une bride rigide elle aussi, apportant des sensations très plaisantes. Non seulement lombaires, et cervicales.
Aussi aux chevilles et au ventre. Sans inscription.
Cavillo, l’esprit visité dans son blazer noir, relativisait, et Buccia, donnait par vigueur, une soirée distancée à revoir ses amis, et se drapa, d’une robe aux manches larges, et à la nudité vertébrée.
Je ramenai cet extravagant cadeau pour moi et ses inspirations, à l’hôtel.
Nous enfilâmes les lampes sur les faits peu concluants. Ce qu’il se passait veillait, à moyen de la lune persistante. À travers les instruments de musique, et les cloches, on statua les pénétrations identiques mais éphémères, les colères des étrangers, dans la trame d’une Ombre définitive, que je désespérai fantasquement. Puis, trop dramatique, pour noter son rapport à ce cycle de vents, et de sentiment géographique.
Cavillo, manifestait une conscience corporelle inconnaissable, des espaceurs de ciel. Il n’en confondait l’aspect, que dans l’imagerie scientifique. Buccia, abrégeait le tout, en franchissant l’insurmontable morale. Elle expérimentait des conséquences significatives. Elle invoquait des gens simultanés, qui décrivent sous silence, l’Ombre qu’il faut écouter avant, et après la mort, ou tout à l’heure.
Les boutiques prenaient l’air d’intelligence, et d’un cercle éclairé par la nuit. La voyageuse que j’aimais émiettait ses provocations, et battait ses yeux, d’un éventail enfin tenu sans soleil, alors que je la revigorais, lui racontant, que l’invvestitura per annulum, l’investiture par l’anneau, se louait souvent, au Moyen Âge, dans le monde de la chevalerie, d’après quoi les phénomènes et les pierres involontaires, se hantaient. Nous la destinions, pour tentée, à l’angle de la rue Roma, et distinguions la rue des ombrelles, presque favorable à suivre.
Où aller avec nos bagages défendus par des hiboux qui grimpent, vaporeux et merveilleux ? J’avais protégé un hibou, qu’un sadique claqua, et des miroirs dans la ville, où poser mes pas. J’invitai des poupées spectrales lorsque la mer salée s’immobilise. Un jour, Cavillo, puisa l’indispensable, atteint de sa nature, la notion d’une irruption, accumulative et active. Buccia, détruisait de le contester. Tant et si bien qu’elle n’historia pas un regard, à la prétention d’apparaître, en arrière, d’exagérer, la totalité des ombres, qui pourtant marchaient là. Car aussitôt La Nuova, caractérisa, au delà des questions avec l’homme. Ce journal apporta l’inappréciable motif et un cauchemar :
« LA SERATA AL COSPETTO DI UN INCUBO ».
(Un incube, du latin moyenâgeux incubus, cauchemar, est un démon masculin qui, selon les croyances médiévales les plus répandues, abuse des femmes, pendant leur sommeil. Il se glisse dans les rêves, et devient réel. Un succube, est un démon féminin, qui abuse, des hommes de la même manière. Beaucoup de peintures les ont aussi, montrés).
« Con mossa fulminea, a ritmo allentato, piogge schioccavano il cielo a giorno. Le foglie fluttuose, hanno immerso la luce, facendo e peggiorando in opera l’incendio. Invito, a mettere la febbre, per una esperianza, ed un itinerario delle ombre.
Mi è parso, di sentire storie, più volte, in penombra fantastica, e stinte dal salso nel ritratto, quaggiù ombrellata cangiante, di combaterre fiaccarsi, sull’iniquità oscuramente umana. Fessure immagineranno le notte, con una forte scritta.
Sarà poi, la causa del impiagato, incantevole, ch’innanzi a lui non venne nessuno, e che il conflitto investe altri rioni o paesi. La scelta d’ogni levata di capo, che coscienza testimonia la singolarità plubblica. Nello stesso tempo, pratica storica, e sapere quel che costa l’invenzione.
Contatti alla qualità, confrontandosi con il terreno. Ciò che del passato, è testa a cogliere di elaborare prospettive di crescita, e rinnovamento. Ma intervento, trasfuzione, possibile trasmutazione e differenziare. Tutto si conquista, nel fare e nella scrittura. L’ereditato, è in una continua ridefinizione, ma importa che ci si riconosca ».
Non Firmato.
De plus, en attribuant l’incohérence de la disparition d’une courte population, qui coïncide par intervalle, à l’argument, et au constat, de points de langue, on n’oublia pas, les différentes vies d’une vérité. On permit la fierté, du présage animé, que commettent les faits.
Un moment notre nuit se brisa, mais on la sécurisa comme on le montre. On l’influença, pesante, pleine de son support, définitive, sans réfutation quantitative, ni négligence.
Par ailleurs, on chercha sur les autres, la municipalité, malgré elle, ayant affublé d’extinction, tous les lampadaires ce soir là, ce qui changea et divisa les ruelles désertes, noires et sans astres, telles des accessoires ou des jardins peuplés d’un long bitume, par des phénomènes plongés, dans l’image nocturne des Ombres.
Le restaurant répondait à des caprices de lumignons aux étrangetés bleues. Moi même, assis en face d’un spot éclairant sur une colonne, un poisson-lune en forme d’assiette bleuie, je m’immobilisai. Nous prîmes, parmi les « primi di terra », une zuppa gallurese, une soupe sarde, récemment appelée sur la carte, suppa cuata. Cela se soutenait en rectangle unique, compact, consisté savamment de tranches de pain cuit, liées par un fromage de pecorino. Les gens dressaient des repas de pêche, des « primi di mare », et de grands poissons brûlants dans de la pâte, ou des croûtes de sel, que découpaient les jolies demoiselles, ou encore, des plateaux de crudités de mer.
Cavillo, s’attardait à reproduire une chose ou une autre impliquant les âmes, et Buccia, s’avançait à des questions dont elle ne se sentait jamais sûre. Pour achever, nous détruisîmes des voyageurs, que les flammes identitaires tracent, eux, de superstitions terribles. Après une viande « al sangue », un vin rose, puis un vin rouge, nous voici gardiens désormais, d’une immense possession.
Nous n’armions pas les pays et les pluies, mais nous ne désarmions pas, les pays et les pluies. Au creux d’un verre.
Déjà, le rendez-vous du départ. Le rendez-vous des bateaux, et un son de racines. On se faisait des effets de bout de soirs infortunés, incontournables à la Spagnola Tour. On sortait de l’hôtel sans aucun monde, sans aucunes mœurs d’endommager les tempêtes. Où aller sans cette précaution ?
Cavillo, plus tard, serrait dans ses mains un poids. Buccia, un châle discerné, qui ne révèle rien. On accepta des pertinences alarmantes. Comment admettre l’Ombre, sinon inconsidérer, le précipice et les éléments distendus qu’on y accroit ? Personne ne dégage où il a lieu. Personne ne dégage où il est lieu.
Donc, n’ensevelissons pas des infusions qui vibrent, et posons nos raisons sur le rivage, avant et après, sa rareté.
Sardaigne le 8 octobre 2018
L’HERITAGE, D'UNE PERSISTANCE NEUVE, ET, D'UNE OMBRELLE, TROUVE, LE TEMPS DE L'AVENUE, POUR UN RECIT OU UN POEME, OUVERT LE DOS TOURNE.
Il y a fort peu de rues, qui n’aient été parfois en apparence, si référées au mystère, et dont la pancarte et le nom, furent une pension hardie des rez-de-chaussée. Je ne pouvais me soustraire à la rue des Ombrelles, dont je me souviens sans discussion et qui, inquiétante à ce sujet, tenait sa disparition de nombreuses personnes, pour en récompenser les émeutes, et en clamer les assassins, d’ailleurs desquels, le tact observait la valeur depuis l’origine, et avançait cette affaire sombre, de ne plus s’infortuner dans cette époque.
Ce fut une décomposition d’au moins plusieurs jours à la surface des peuples, et niée d’un avancement qui paraissait détruire. Les traces principales de la pluie et des chants, très solitaires. Je déposai aussi ma sacoche à l’hôtel où battent les règnes, et la ponctuation ennuyeuse de silences qu’on oublie, avant, de prendre l’armure, sans perdre le cristal du crépuscule.
En fait, ce serait plutôt l’héritage des salons brûlants tel mon passeport, transfusé de roses, à la tête du promeneur. Mais j’ai caractérisé leur désordre, qui nous éclaire. Et les crânes. Des vivants. Je crois que j’ai laissé leurs allumettes en éventail, sur la légende plantée d’eau de mer. Puis, repassèrent ces identités animées qu’on ne peut résoudre.
Je trouvai un jeune homme nommé Latore dans ce cas d’une définition, et qui portait plusieurs présentations je ne sais comment, les indices de sa recherche à traverser ma vie, après la très importante explication de l’aspect, revêtu par moi, quelques minutes avant minuit, d’un meurtre dans un restaurant.
Il avait une fantaisie peu influencée, qui s’appelait Nociva, et hasardait des nœuds d’un laps de temps spécial près de la Spagnola Tour. Sans suite, jolie, différente, et qui dissout les choses. Moins que les incohérences. Maintenant que prévenir ? Un meurtre sur une terre. Et là dessus, des phrases sans un poids, prouvant l’écho de se faire criminel au principe, et, un héritage sans hypothèse, relatif au talent, qui ne se raisonne pas, et s’écarte çà et là, de l’hérédité. Nociva, une fois adoptée, enquêtait sur ses beaux yeux verts à elle, plus vagues qu’incontestables. Les circonstances se permettaient invariables. Comme je me rendais à la région des courses et de la foule, je fus arraché à ma science par une compréhension, et Nociva, se mit à lire les titres pleins de frayeur d’un journal inconnu, actuellement dans les environs. Nous n’avions pas la ville d’hier et les tentatives d’une crainte, ou de ne plus s’alarmer, à manifester la Tour, marquée, par l’opinion, et une grande distance naturelle qui épaississait la mer de soirée.
D’un coup d’œil, on constata ceci :
« LE PRIORITÀ. CITTADINI : STRADA DEGLI OMBRELLINI DA SOLE ».
« Molte delle vertenze sono in stand by. Blocate in attesa di una firma, un documento che deve arrivare da una città. Il primo nodo è di tutti i cantieri i più conosciuti, ma l’elenco è molto più lungo. In questo modo si potrebbero tagliare i tempi morti della burocrazia. Trasporti. È forse la madre delle battaglie, un nuovo modello adottato.
Impossibile pensare in ore cosi strette a un’altra legge, la situazione è ancora caotica.
Difendere il proprio diritto alla strada degli ombrellini da sole.
Siamo tra smentite e turbolenze. Vie nei quartieri sono rimaste al buio. Come immerse in un inchiostro nero. Paura e proteste che hanno viaggiato sui social urbanistica. Poi ci si è messo un violento temporale alla fine del mese scorso, a gettare in una fitta oscurità i cittadini. Cittadini che brancolavano nelle vie o strade, lampioni spenti per ore. L’illuminazione pubblica in quei quartieri non brilla. I residenti non ne possono più, sono da anni che si ripetono.
Una cosa però è certa : far ritornare la luce nelle strade sotto pioggia”.
Non Firmato.
Les habitants infortunés à m’imiter, et qui ne voyaient même pas la pluie, se débarrassaient des étourderies des cadavres, ou de l’ambulancier à toute allure, déchiraient et suivaient une troupe de mousselines au bord des églises, sans gouvernail, se confiant au public qu’ils amarraient, et impliquaient.
Je mis en sûreté Latore à l’hôtel, nous y prîmes avec Nociva un petit déjeuner nombreux de trois gâteaux chacun, détaillé de gorgées de café, dont le résultat fut un souffle éminent et chocolaté, précis d’une crème fouettée, et d’un centimètre de génoise, douce à se perdre de vue. Tous ces délices ne manœuvraient pas. On verra bien. On verra bien le soir la panne d’électricité dans un restaurant peu ordinaire, et la présomption d’identité.
Latore, de longs cheveux blonds dégringolant sur les regrets appuyés à entendre, ne prononça pas un mot puis, actuel à des absences et évadé, proposa ceci, en quittant la Tour qui sinon, l’admettrait à reprendre la mer : « L’héritage de commander, n’a pas d’aliénation naturelle. Ce n’est pas non plus une conclusion de l’égalité. Supposer une naissance libre, c’est supposer des maîtres pour une folie. Mais il faudrait ôter les hommes à cette condition. C’est difficile. J’ai le droit de les avertir sans attendre ».
Ce sont là des réflexions en vérité, et un raisonnement qui a trait à des gènes divergents, pour creuser une époque. Nociva, par exemple, un blouson en laine aux épaules, accusait de corruption, des générations obstinées à d’incalculables individus. Ils fermenteraient selon elle, et elle aurait à vérifier, leurs inconséquences, jusqu’à leur dire, comment prendre leur place. Ce fut là un triste constat. Un droit après une vie violentée. Comment faire une infusion et muter les corps trouvés au rivage, et qu’on ne préfère pas au crime ? Selon sa recherche, Nociva achevait son essayage, de l’énigme des choses naturelles qui vous tombent dessus avec un tas de conventions insensées.
Mais les causes de la liberté, ne s’associaient à rien. C’est difficile.
Latore ajouta cette autre difficulté : « J’ai le droit de me conserver, et d’écarter, ceux qui s’y engagent ».
Nous ne savions comment revenir aux ténèbres de la rue des Ombrelles, où nous ne connaissions que quelques passagers de ce monde, que nous gardions ensuite particulièrement. Pendant ce temps les frasques déposées du matin, notre opinion sur une voiture vide, d’autres gâteaux de fruits au petit déjeuner profondément évasif, et la durée des projets de réverbères non éteints un soir venteux. On veillait à une version des cadeaux dans un cadre doré.
Nociva rejetait les sinistres et les signes d’une chanson funeste, funèbre, fermant les portes des pays voisins.
Mais voyons donc, les lyriques de ces pays là. La nourriture donnée sur les fragments nocturnes, sous prétexte que la structure évidente déserte la tragédie. Comment recevoir les communications les plus récentes ? Leurs conséquences sur les ombres appesanties ? Car il y en a.
Dans un ancien Poème du cycle de Guillaume d’Orange, écrit en vers de la 1ère moitié du 12ème siècle, et dont l’auteur est anonyme, dont de plus, la langue est celle de Paris, le sujet retrace des couronnes épiques : « Bone chanson plest vous a escouter… c’est de Guillelme, le marquis au cort nés,… par le charroi monté » (Une belle chanson vous plaît-il d’entendre… il s’agit de Guillaume, le marquis au court nez : conduisant le charroi). Il existe un manuscrit qui serait de la langue du scribe, plutôt que de la langue d’origine. Guillaume, conquérant d’une ville sur les Sarrasins, chevalier, reproche au roi Louis son manque de reconnaissance.
Sur les conseils de son neveu Bertrand, un bacheler, c’est à dire un garçon, un jeune homme : « Moi et vos oncle,… somes oublié. De moi ne chaut qui suis un bacheler ». (Vous et moi, mon oncle, sommes oubliés. Pour moi qui suis un jeune homme, cela ne fait rien).
Je précise qu’un bacheler, est un apprenti en art et école de la chevalerie, en études d’Arts et de Sciences, en apprentissage d’un métier. D’où l’adjectif « baché », couvert d’habits de guerre. En 1641 bachelereux se dit pour vaillant, et même pour chevalier. Dans l’édition tardive de Perceval (1530) bacheler signifie danser. Enfin en 1593, donc récemment, bachelerie se dit des qualités ordinaires d’un bachelier, bravoure, valeur, savoir, habileté, vigilance, émulation, mérite. Parfois, action de jeunesse, étourderie, imprudence. L’âge d’un bacheler est l’adolescence. On remarque aussi, très tard, le sens de jeunesse guerrière, chevalerie en général. On destine ce nom de bacheliers à de jeunes nobles, qui n’ont pas encore été adoubés chevaliers, et n’ont pas vécu le cérémonial de l’adoubement. Au 16ème siècle, ce mot devient nouveau, celui qui, dans la faculté de droit canon, après 3 ans à étudier, soutient un acte prescrit par la faculté, licence, maîtrise. Avant, le sens contemporain.
En féodalité, c’est aussi le nom d’une terre, d’un rang secondaire, bachelerie.
Mais j’en reviens au bacheler Bertrand, neveu de Guillaume, et sur les conseils duquel, Guillaume se rend au palais du roi. « Looys sire » dit Guillelmes le ber,… « le plus fort home de la crestienté,… De son brant nu me dona un cop tel Desor le heaume… Devant le nés me copa le nasel… Grant fu la boce qui fu au renoer… Maudit soit le medecine, mal soit del mire qui le me dut saner… Por ce m’apelent Guillelme au cort nés ».
Cette malédiction du médecin revient au long du texte. (Maudit soit le médecin qui me soigna). Et, « Seigneur Louis », dit, en traduction, Guillaume le vaillant (… L’homme le plus fort de la chrétienté… De sa lame d’épée nue m’asséna un tel coup sur mon heaume… Il coupa le nasel protégeant mon nez… Il y eut une grande bosse quand on sutura la plaie… C’est pour cela que l’on m’appelle Guillaume au court nez).
C’est ainsi désormais que se présente Guillaume ayant tué le géant Corsolt, en combat seul. Au lieu de voir ses atouts reconnus et refusant tout ce qui ne soit pas conquis de lui, il entre dans une colère. « Par maltalent m’estuet de cort torner » (De colère il me faut quitter la cour). Il rappelle et rappelle au roi Louis bien d’autres services plus moraux, plus humains. « … Ce ne vos membre il gaires, quant vos sanz moi departistes vos terres ». (Vous ne vous souvenez guère, quand vous distribuez vos terres sans penser à moi). Il remémore au roi toutes sortes de joutes, avec discrétion, car des milliers de guerriers furent concernés.
Louis Le preux, lui propose le domaine de Foulque, un comte. Mais il a laissé 2 enfants et Guillaume n’en veut pas. « Quant ceste terre ne volez retenir ne as enfanz ne la volez tolir » (Puisque vous ne voulez pas vous occuper de ce domaine, et puisque vous ne voulez pas l’ôter aux enfants).
Le roi propose alors un autre domaine en héritage. Puis un autre. « Ge n’en vueill mie, bien vueill que tuit l’oies » répond Guillaume. (Je n’en veux pas. Je tiens absolument à ce que vous l’appreniez tous). Enfin le roi propose de lui remettre la moitié de son royaume.
Guillaume refuse.
Il le quitte et rencontre Bertrand, et lui annonce, outré « Por mon servise me velt rendre loier ». (En échange de mes services il veut me rendre un salaire !). Mais Bertrand lui remémore aussitôt, la loyauté due au suzerain. Et lui suggère de quérir les cols d’Espagne, quelques fiefs, et Nîmes, car cela n’impliquerait aucune compensation. « C’onques escuz n’en fu par toi portez n’i afiert mie grez » (Car jamais vous n’y avez commandé de troupes).
Ainsi fut conclu.
Et Guillaume au roi Looys (Louis) « Done moi… Nîmes et le fort mandement… Chevaucherai au soir et a la lune… S’en giterai la pute gent tafure » (Donne moi… Nîmes et sa solide fortification… Je chevaucherai le soir et au clair de lune, Et j’en délogerai la pute engeance sarrasine).
Mais le roi Louis déclare ne pouvoir restituer ce qui ne lui appartient pas, la terre est aux Sarrasins « El n’est pas moie, ne la vos puis doner ». Guillaume monte sur une table et s’écrie : « Ice dige as povres bachelers… Ge lor dorrai deniers et heritez… S’o moi s’en vienent Espaigne conquester… si seront adoubé » (Je le dis aux jeunes gens pauvres… S’ils viennent avec moi conquérir l’Espagne,… ils seront armés chevaliers).
La chevalerie est en effet, le seul ordre de la noblesse au Moyen Âge où par l’adoubement, par le seul courage ou la seule valeur personnelle, on hérite. Quelles que soient son origine sociale, et sa famille.
Voici qu’arrive auprès du roi Louis, le vieil Aymon, un conseiller. Et il explique qu’il faut se méfier de Guillaume. Guillaume met le roi en garde contre son conseiller, et tue Aymon : « L’os de la gueule li a par mi froissié, Mort le trébuche devant lui a ses piez » (Il lui brise la nuque par le milieu. Et l’abat mort à ses pieds).
À nouveau, il se réfère à ses hommes « Je m’en irai en Espaigne estraier » (Je vais partir à l’aventure pour l’Espagne. Et Libérer l’Espagne).
Puis, « Vet s’en Guillelme o sa compaigne bele » (Guillaume part avec sa noble compagnie). Et « Au gué des porz sont venu a un vespre » (Ils arrivent un soir au pied des cols). Brusquement, Guillaume n’est plus appelé comte, ni marquis, ni baron, ni le terrible, ni le vaillant, mais « Del mostier ist Guillelmes au cort nes » (Guillaume au court nez sort de l’église). Il interpelle ses hommes « Vez ci les marches de la gent criminel » (Voici les terres de la race criminelle).
Tous partent combattre.
Et voici qu’à moins de 4 lieues, ils rencontrent un vilain avec son chariot. Bertrand aborde le vilain « Di nos, vilain, par ta loi dont es né » (Dis nous, vilain, au nom de ta religion, où tu es né ?). Le vilain répond « Par Mahom, sire…," (par Mahomet, seigneur). Et tous le reprennent « Or as que bris parlé… L’en te devrait toz les membres coper » (Tu as parlé comme un sot ! On devrait te couper tous les membres).
Guillaume intervient auprès du vilain. Il le sollicite pour qu’il lui parle de la ville de Nîmes. Ce dernier lui conte alors d’un vavasseur. C’est à dire, au Moyen Âge, le vassal d’un vassal, celui qui tient sa terre d’un seigneur qui dépend lui même, d’un suzerain. L’homme regarde le chariot, les quatre bœufs, et s’exprime : si on emplissait les tonneaux de ce chariot, de chevaliers, on pourrait prendre la ville. Le vilain est sommé de faire halte, et on lui apporte à manger un copieux repas. Là, il y a les bons et les mauvais vilains, ceux qu’on pend par la gorge. Les bons vilains rénovent les tonneaux et laissent les chevaliers entrer dedans.
Un auditeur du 21ème siècle se rend très mal compte, de ce que représente, au Moyen Âge, pour un chevalier, monter sur un charroi, entrer dans un tonneau, et… se déguiser en vilain ! Et en marchand !
Les hommes de Guillaume éloignent alors tous les vilains. « Toz les vilains firent ils en sus trere, Par nul de ceux que novele n’en aille Com fet avoir feront des tonneaux trere » (Ils éloignent tous les vilains Pour qu’aucun d’eux n’aille révéler Quelle marchandise ils sortiront des tonneaux). Faisant croire aux païens que ce sont de riches étoffes de soie, des hautbers et des heaumes, ils pénètrent avec le chariot dans la ville, chez le roi païen Otrant. Le roi Otrant se méfie le premier, et interroge Guillaume. « Dont estes vous, beaux amis marcheant ? » Et Guillaume (Sire, nous sommes de la puissante Angleterre) « Nos somes d’Angleterre la grant ».
Mais le roi Otrant, l’observe attentivement et le reconnaît. « Lors li remembre de Guillelme au cort nés » (Il se souvient alors de Guillaume au court nez). Cependant, le sénéchal du roi Otrant pense que la porte du palais est très encombrée par les chariots « De cel vilain qui ceanz est entré, L’huis del palès nos a si encombré, Que l’en n’i puet ne venir ne aler ». (Par la faute de ce vilain qui est entré ici, il nous a si bien encombré la porte du palais Que l’on ne peut ni entrer ni sortir).
Les païens, dont Harpin le roi félon qui l’ordonna, tuent les deux bœufs qui guidaient le charroi. Guillaume ne comprend pas « Por quoi deable ? Que lor a demandé ? (Mais pourquoi, diable ? Quel mal leur reprochait-il ?). Guillaume est humilié. De plus, le roi Harpin le prend pour un vilain misérable, et misérablement vêtu, et il lui tire la barbe. Pour ces dérisions Guillaume le tue. « L’os de la gueule li a par mi froé, Que a ses piez l’a mort acraventé » (Il lui brise la nuque par le milieu Et l’étend mort à ses pieds).
Puis, il sonne 3 fois de son cor.
Les chevaliers bondissent hors des tonneaux dans les rues. Un homme de la maison de Guillaume leur apporte leurs fougueux destriers. (Ce sont les chevaux de combat). Otrant s’enfuit. Guillaume le rattrape et lui requiert de renier son Dieu. Ce qu’il ne fait pas. Il est tué. « Et li vilain… Ainz n’en perdirent vaillant une denrée » (Aussi les vilains ne perdirent-ils pas la valeur d’un denier).
Ils retournent dans leur pays. Nîmes est libérée.
On l’a vu avec L’HÉRITAGE.
Guillaume ne veut exclure les Sarrasins que des villes qu’il conquerra lui même.
Il semble que ce Poème, toutefois, ne soit fondé sur aucun fait d’Histoire. Et ce, malgré les savantes hypothèses allemandes là dessus.
Nîmes est au pouvoir des Sarrasins en 719 et en 737. Ils en ont été chassés (Charles Martel et Pépin le Bref). Ils n’opérèrent que de courtes incursions. Ce Poème est donc mobile alors qu’il entonne un chant de CROISADE. Il encense un héros avec des accents ÉPIQUES et une rêverie MODERNE.
Latore en convint présentement, et sans attention aux alentours, il se mit à rejoindre le crépuscule, drapé d’une longue veste bleue afin de nager sur les nuages abritant la Tour. Je lui prêtai une terrible beauté, et des poignards d’oiseaux au bec rubis pointant l’eau de la rive.
Il racontait qu’il n’HÉRITERAIT PAS de Guillaume, ni de ses terres en récompense. Mais donc, des lois et du courage de son père à lui, ajoutés à ses biens, et ses bienfaits. « Car le roi d’une société égale, n’est pas, son propre maître. L’égalité n’efface pas, la richesse non plus. Seule la volonté d’un esclave, s’il juge qu’il est esclave, peut ôter la richesse. Et supprimer l’identité. Dont la langue…, pour une population libre. J’ai le droit d’un homme à la perte supérieure de l’égalité des dieux ». Autre difficulté encore.
Nociva elle, renonçait encore aux équivalences. Pour elle donc, la guerre ne constituait pas un fait d’Etat. Mais sur le terrain, des actes d’homme à homme, et hélas, une grande nature. Mais elle était d’accord sur ce point « L’HÉRITAGE N’EST PAS un droit d’esclave ». N’est pas un droit, pour une colonie. C’est bien difficile.
Nous n’avions plus qu’à nous éclairer la nuit, et dévouer cette lumière aux bouquets de fleurs de la pleine lune, et à la fontaine de la Tour, pour la rosée fétichiste qui transforme les urgences, d’une vérité à la fois. Après un verre d’ « acqua frezzante » dans un bar orné de mannequins, de rappeurs, et autres enfants pêle-mêle ayant pris cas d’un soleil en détresse, et d’un précipice, on glaça ces blessures, des carreaux du soir.
Or ce serait se tromper, qu’interdire l’intuition.
L’obscurité fut telle qu’on n’eut ni à prouver, ni à empêcher, les symboles peu connus, au gré de la réalité.
De vifs débats sur l’homme, issu d’une lignée animale, ou le contraire, d’une lignée animale issue de l’homme, ont échoué et gagné en même temps. Le dragon, par exemple, ravive la science que l’homme ait vécu au milieu des sauriens de l’époque secondaire. La présomption d’identité, n’est qu’un penchant. Mais un penchant régent, blasphémateur, et guère social. Et pourtant le sentiment d’identité explique l’expérience de l’ombre, et midi, une menace de la vie, parce que l’ombre disparait ou rétrécit.
Nous désespérions de cette espèce, moins inévitable, que les fournitures de soi même, et la cour criminelle des erreurs de la pleine lune. Le dragon. Je résolvai, l’écho positif d’une recommandation apparentée au soir, où chacun se posait en question. Et j’insistai, sur les adhérences des particuliers ayant quitté les étoiles. La conclusion, s’attachait au relief des fontaines avec des cordes. Où est l’ennui qui s’adonne à un appartement considérable ? L’adresse poursuivait des ailes émerger du sol de la mer. Je viens d’une ville et d’un vase de cailloux volcaniques. Je l’ai déjà réfléchi, on rencontrait la nuit qui reparait à la place du vent. Comment aborder un effet, qui distend et peut être change, des modes d’investigations ?
Nous étions forts et superflus. Alors qu’on récoltait, un départ indispensable, sans l’oublier. Immédiatement pourquoi les assassins se révèlent absents ? Je ne recueillai pas d’influences, mais un bateau qui dut être confié aux chargements du domaine de la nuit. C’est important, et près de motifs pareils. J’obtins l’assurance de déduire minuit. Tout explosait dans les rubans des murs. Nous n’inspirions plus de statuettes colériques aux salons. Alors on ne laissa pas passer, cet article, et les couleurs de cendres périlleuses sur la table des blancheurs sévères.
« FUMATA NERA NELLA NOTTE NERA :
Sul luogo dell’accoltelamento violenza e sangue, movida di fine settimana. Durante un tentativo di narghilé, da parte di giovani, il ragazzo ferito in maniera grave, è stato accoltellato, da quelli che intendevano portagli via portafogli e smartphone, utilizandi anche uno spray. La lama non ha leso organi vitali, guarirà in 15 giorni. I giovani sono stati accerchiati, da quatro sconosciuti che si sono rivolti. In mano a uno dei agressori è comparso un coltello. Il ferito è stato portato con un’ambulanza. Tutti sono ricercati.
La notte nera incanta.
Cittadini hanno affollato le strade e le piazze della città. Migliaia di persone, di presenze. Il centro cittadino, le vie costellate da una miriade di eventi che, dal tardo pomeriggio fino a notte fonda, hanno animato la manifestazione, all’insegna dello svago. La lista di tutti coloro che, direttamento o indirettamento, hanno contribuito alla realizzazione della NOTTE NERA, è lunga.
Tutti gli esercenti, gli enti, loro grande disponibilità. Una serata che trasmette i concetti di sostenibilità, di fumata nera nella notte nera, e di incontro tra cittadini ».
Non Firmato.
Or, soudain, chaque jolie lampe cristalline individuelle, sur chaque table du restaurant, s’éteignit. Les lumières des murs, en bleu à cause des assiettes de porcelaine décorée, et les gigantesques réverbères, couverts dehors, et peuples, sans se prononcer. Aussi. Ce fut une clarté de la lune noire qu’on voyait, et qui inspirait les ombres. Même les explorateurs prirent peur.
J’avais à ma droite, une pyramide d’animaux d’Académie, et les derniers nés hurlaient, hissés par panique sur les chaises, aux hurlements de leurs parents. Et, à ma droite, un Eurasien, et deux Eurasiennes le décolleté au dos quasiment nu, agrafé ou plutôt noué, d’un maillot bustier, conformément à la mode, selon la mode, circonstancielle, de l’endroit, et, qui parlaient italien.
Plus rien, du côté de l’air en construction.
Mais l’électricité suspendue revint, au bout d’un quart d’heure, qui ferait une échelle de luxe, sur une terreur si longuement.
L’Eurasien fut retrouvé mort, quelques ruelles avec fond, plus loin, un verre de champagne à la main.
Les deux Eurasiennes, ne s’en préoccupaient pas, mais de savoir comment elles allaient payer l’addition, et la boisson. Cet enlèvement ou ce meurtre pourquoi ? recherchait la marque d’une chauve-souris légendaire.
La sécurité s’y trompait. Et une aide à l’imagination fut vaine.
Un mensonge au puits des gouttes d’eau, peut-être pour les civilités. Garbata, encoquillée à la salle du fond, en habits de poète, reporta des plats silencieux. Lautezza, changea les perles profanées, et un homme sur une haleine de parfum au galop. Il y eut un livre, et des grâces plus pâles qu’un foudroiement. Notre nuit nous parut cataractée, une pointe de fumée et des étincelles sur un lit. Le lendemain, on remplaça en bleu ciel, les légers rideaux délicieux de la salle des petits déjeuners. On prit un gâteau au chocolat, pour se souvenir d’un branchage plus profond, qui tente les citoyens un instant, dans la robe des villes.
Au revoir, sans crainte, de notre interruption.
Au revoir, la quête des brûlures qui ne sont rien.
Au revoir, les rayons flamboyants, sans témoignage.
Au revoir, quoi que ce soit, sans une parole, attentive où flotter.
Maintenant si, innombrables, vous revenez sur une île qui n’a pas lieu, et est échouée par le vent, gardez votre ombrelle là où vous êtes.
On peut y perdre fortune. On peut y perdre vie.
Nous n’en hériterons pas.
Sardaigne, le 26 septembre 2019.